Journal de bord

mercredi 6 juillet 2005

C’était Tom

“Tom ne se plaignait jamais. Tom n’évoquait jamais sa santé. Tom acceptait les autres tels qu’ils étaient, et demandait juste qu’on lui rende la même tolérance.” [Lisbeï.]

1. Le 6 juillet 2005,
cossaw

Le mois dernier, quand Tatou m’a dit qu’il était mort, je n’y croyais même pas. Je savais qu’il était assez fragile, mais plus par observation qu’autre chose. C’est la deuxième personne, après François, que j’aie rencontrée au Paris Carnet… et il était véritablement d’une grande gentillesse et d’un grand intérêt dans ses paroles comme dans son écoute.

2. Le 6 juillet 2005,
Tristan

Quelle claque je viens de prendre-là… La discretion de Thom, sa gentillesse et son engagement (le Libre, l’associatif…) sont pour beaucoup (et moi le premier) une leçon de savoir vivre et d’humilité, pour toutes les fois où nous oublierons de savourer la chance qu’on a d’être vivants et en bonne santé, pour toutes les fois où nous regarderons nos nombrils avec un peu trop d’intensité.

Adieu et merci, Thom.

Blah ? Touitter !