Journal de bord

mardi 19 septembre 2006

Ségolène versus Nolwenn

Alors voilà, mon impression aux images n’a rien à voir avec ce que j’ai entendu sur les ondes : Nolwenn n’est pas une victime : c’est une nouille inconséquente. [Judith Bernard, “Ségo versus Nolwenn, après coup.”]

1. Le 19 septembre 2006,
Dominique

Je hais les phrases où il y a une suite de deux points ! Quand Ségolène sera élue, nous établirons enfin un contrat de la ponctuation juste qui évitera de tels abus.

2. Le 19 septembre 2006,
Guillermito

Je vois que le debat presidentiel en France prend de la hauteur. “’tain t’as vu, Sego elle est trop mechante”.

Ca promet.

3. Le 20 septembre 2006,
Celui

Nolwenn : «Cassé, oh oh cassé»

4. Le 20 septembre 2006,
Aranno

Intéressant comme article et le fil des commentaires est pas mal non plus, la rhétorique est un sport de combat tout ça… Amusant. Evidemment quand on replace tout ce buzz dans un contexte de débat présidentiel, ça devient assez affligeant. Ceci dit, cela participe bien de cette tendance à vouloir à tout prix faire passer Dame Royale pour un effet médiatique sans consistance (qui ne fait que refuser le débat). A force, ils vont réussir à me la rendre sympathique.

@ Celui : Marrant! Quand j’ai entendu la brêve, d’une oreille distraite à la radio : j’ai cru qu’il s’agissait de Nolwenn Leroy se fritant avec Ségolène Royale :-)

5. Le 20 septembre 2006,
gerard

“ils vont finir par me la rendre sympathique”

ç’est du chantage? A combien tu fixe la rançon?

6. Le 20 septembre 2006,
martin

Enfin quelque part où l’on semble prendre un peu de distance avec ce buzz noloweno-segolenesque. D’accord avec Guillermitto et Arranno pour dire que savoir si Sego est un peu beaucoup ou pas méchante à partir d’une image ne permet pas d’enrichir le débat politique. Ce qu’il y a de plus étonnant est que ces graves questions soient posées par la bande à Schneidermann. Ils foncent tête baissée dans le piège du buzz sans comprendre que c’est justement le but de la manip au départ. Or justement leur émission dominicale se voit comme le grand bol d’air frais destiné à élever nos consciences au dessus de la mélée médiatique. Tu parles !

Blah ? Touitter !