Journal de bord

dimanche 18 février 2007

Les boules de Jean-Luc

J’ai les boules, comme on dit maintenant pour faire bref. La gauche sombre. [Jean-Luc Mélenchon, “Plus bas tu meurs !”]

On peut le comprendre…

1. Le 18 février 2007,
Vanch’

Mélanchon est une racaille politicienne. Il n’a jamais respecter le vote démocratique au sein même de son parti (europe, Ségo, etc). Sa parole sent bon la politique politicienne, le militant “stalinien” repenti. Au bord du rouge/brun (cf l’épisode avec les plombiers polonais dont il a popularisé “le dévouement”).

C’est le premier à “gerber” sur les sondages, estimant (à juste titre) qu’ils se sont tj tromper concernant la présidentielle… Et là miracle ! à l’instar de tout une gauche boboïsé (dont le maître des lieux, que j’apprécie et admire au passage) ne voilà t-il pas qu’il estime que c’est grave !?

Perso, je me réjouis de la suprématie de Sarko et de la montée en puissance du chouchou blogosphèrique (l’ami des mémés, des toutous, des papas et des mamans, des racailles, etc.) dans les sondages… cela ne peut être que bon signe…

2. Le 19 février 2007,
Miam

Vanch’, désolée de vous contredire, Mélenchon a parfaitement respecté le vote démocratique au sein du PS. Savez-vous seulement ce qu’entraîne le vote majoritaire ? Visiblement non, alors je vous en informe : cela ne signifie certainement pas que la minorité doive clore définitivement son bec — et heureusement, car une entité qui bâillonne ses minorités n’a plus rien de démocratique. Cela veut juste dire que tous les moyens financiers de la campagne (campagne du référendum, campagne présidentielle, etc.) seront mis à 100 % au service de la cause majoritaire. En l’occurrence, pas un centime du PS n’a été versé aux opposants à la ligne officielle : Mélenchon et les partisans du non au référendum ont encore le portefeuille en sang deux ans après la campagne (qui n’a rien eu d’indigne). Votre mot de “racaille” me semble pour le moins inapproprié. C’est juste votre culture politique qu’il faut compléter : dans un parti, une minorité n’est pas condamnée au silence mais au manque total de moyens. Les minoritaires qui persistent à s’exprimer sans disposer d’aucun moyen matériel sont certes criticables pour leurs opinions comme tout un chacun, mais pas susceptibles d’êtres traités de “racailles” pour avoir persisté à s’exprimer.

3. Le 19 février 2007,
Miam

Vérification faite : critiquables, avec un Q.

4. Le 19 février 2007,
pauvresse de la technologie

Vanch’, désolée mais Mélenchon ça s’écrit comme ça, même si je ne suis pas sa meilleure copine

Blah ? Touitter !