Journal de bord

jeudi 24 avril 2008

Abscons

Message d’erreur Smultron.

Ce message d’erreur lors du lancement de Smultron me laisse rêveur…

P.S. Ah, j’ai trouvé la VO, toute aussi claire : “The managed object model version used to open the persistent store is incompatible with the one that was used to create the persistent store.” Et la solution.

1. Le 24 avril 2008,
keewixi

et pourtant il est presque clair :-)

2. Le 24 avril 2008,
Scykhan

d’autant plus que sur la page d’accueil, il est indiqué “It is designed to neither confuse newcomers nor disappoint advanced users”

:-)

3. Le 24 avril 2008,
narvic

Blah ? Touitter !

Assise du numérique

Daniel Glazman fait des propositions à Éric Besson.

Or à mon avis, la croissance que veut impulser Besson dans le domaine des TIC ne pourra venir que des PME fortement innovantes, pas des grosses entreprises déjà installées. A l’heure où Orange taille dans le gras de ses labos de R&D en France et où l’emploi classique des gros entrepreneurs informatiques installés dans l’Hexagone part vers d’autres cieux, je considère qu’il s’agit d’une erreur stratégique gravissime de ces Assises du Numérique. Ce n’est pas sur la base des gros équipementiers et des SSII qu’on fera de l’Innovation dans ce pays.

SSII accolé à innovation, ça fait toujours rire. Non ?

1. Le 24 avril 2008,
Gus

ça dépend de quelle innovation on parle.

Dans le domaine fiscal, social ou du management, on peut, je crois, parler d’avance technologique.

2. Le 24 avril 2008,
âne

L’Etat est-il capable de s’adresser à autre chose qu’à de grosses boites ?

3. Le 24 avril 2008,
Gus

L’Etat sait s’adresser à toutes les entreprises pour lever l’impôt. Mais les politiciens ne s’adressent guère qu’à ceux de leurs électeurs les plus susceptibles de les servir : question de bon usage de la ressource la plus contrainte : le nombre d’heure dans la journée.

4. Le 25 avril 2008,
bituur esztreym

et une arène de plus pour tenter laquadrature.net, quoi, en quelque sorte… faire du rond avec du carré, etc. o tempora o mores couinait-on déjà il y a une paye, à buter sans cesse ni sans autre sur ce genre de bran… et adviendrait que tout soudain un secrétariat d’Etat changeât tout… ya qu’à voir ce qu’il en est du site dédié, aussi : tristan en est tout rouge

Blah ? Touitter !

Citation du jour

“Au Québec, il n’y a pas d’objectivité possible, tout le monde se connait.” [Chroniques Blondes : “Faste semaine”.]

1. Le 24 avril 2008,
brem

C’est très vrai que tout le monde se connaît. Ce n’est même pas une exagération!

2. Le 24 avril 2008,
Manu

Bruler des voitures de police après un match, ça crée des liens.

3. Le 25 avril 2008,
karl, La Grange
4. Le 25 avril 2008,
Damien B

Trace de tout et n’importe quoi au sol, mais propre de détritus : check.

Chaise pour sieste : check.

Bocal à infusion : check.

Paire de gants pour la tâche d’après la sieste : check.

On est bien en Chine :-)

5. Le 25 avril 2008,
magoua

On se connaît tous ? Pas si sûr. Plateauïque comme réflexion. Mais il y ces réflexes, le nous contre eux, les français, américains ou canadiens. Montréal contre les régions. Le Québec est un pays qui doute de son existence, c’est peut-être sain, et à raison, puisqu’il il n’existe pas. C’est un sentiment commun au pire adéquiste comme au pire montréaliste.

Mais ils ne le savent pas.

6. Le 25 avril 2008,
Guy

Pas d’accord, moi non plus. Tout le monde, sur le Plateau, pourrait peut-être se connaître. Et encore… Évidemment, à six millions d’individus, les collisions sont sans doute probables, et puis après? J’ai dans mes souvenirs des hasards qui dépassent les frontières. Je connais probablement davantage de monde au-delà des limites territoriales québécoises que je ne connais ma propre famille. Le texte de la blonde est une boutade, car je ne pense pas que, en Chine ou en Inde, on arrive à être si objectif que ça… L’objectivité serait une affaire de courage, et ce ne serait pas l’anonymat du nombre qui la favoriserait. Plutôt le contraire. On peut tellement s’en faire accroire quand on se perd dans la foule… Celui ou celle qui veut s’affranchir doit forcément entrer en contact, franchir les barrières. Ça vaut pour celui ou celle qui vit dans un village comme ceux et celles qui vivent dans les grandes villes.

Et puis, c’est quoi, ça, l’objectivité? En philosophie, d’après le savant Antidote, c’est qui ce existe en dehors de l’esprit. Autrement dit, c’est une lubie. En journalisme, c’est qui est impartial. Encore là, c’est un faux soleil.

Les Québécois ne sont pas objectifs? Qui l’est? L’important, c’est d’être sincère! Amen.

Blah ? Touitter !