Journal de bord

lundi 2 mars 2009

Finesse dans un monde de brutes

Citroën, la voiture du Canadien.

[Via Coolopolis.]

1. Le 2 mars 2009,
Damdam

Go Habs Go !

2. Le 2 mars 2009,
C’est Raoul

Haha! Cool en effet! Elle est laide, mais c’est un beau morceau d’histoire (la tentative de Citroen dans le marché nord-américain). La DS a frappé fort chez les Américains. Ca reste un mythe, ce qui est très rare, pour une voiture importée.

Parlant de cette époque. J’ai vu le Mesrine 1. Qui se passe en bonne partie a Montréal. Très bon film! J’ai adoré!

3. Le 2 mars 2009,
Réjean Houle Junior

Y’a déja eu des Citroën au Québec ?!

4. Le 2 mars 2009,
C’est Raoul

Certain! La DS et aussi la SM ont eu bcp de succès (d’estime surtout). la DS s’est assez bien vendue je pense sur le nb d’années. On voit encore qq renault 5 (Le Car), des 11 (nom?) et des 9 (Alliance) aussi. ya eu la Fuego, la 12, la 18. Ya meme eu des 12 Dacia (la Roumanie payait son blé canadien en R12 dacia, et c’était pas fameux!). La r21 a été vendue ici par AMC je crois (Renault Medaillon).

On voit qq CX ici (import privé je crois), qq deuches aussi, méhari. Mais je suis pas sur qu’elles été vendues (officiellement). Les 504, 505 et la 405mi16 (la dernière) ont été vendues aussi.

La SM a p-e été la dernière Citroen vendue. P-e que la GS et la CX ont été vendue ici mais je suis pas certain. Aux US, il y avait souvent qq importateurs/concessionnaires excentriques qui pouvaient importer n’importe quoi sur demande, surtout avant 1980-85, ou ils ont commencé a resserrer les normes de sécurité.

A part pour Renault, c’était surtout le haut de gamme qui était vendu. (et qui pouvait concurrencer un peu les autos américaines.

La 5 a surement été la plus vendue et la plus populaire. La Smart de l’époque.

La rouille a mangé la plupart de ces voitures la. La 5 est surement celle qu’on voit encore le plus aujourd’hui avec la 9 p-e. On blame aussi que les voitures étaient pas trop adaptées au fait que les nord-américains entretiennent pas vraiment leur voiture préventivement. Et n’acceptaient d’aller faire une révision régulièrement/préventivement. Et ensuite, la disponibilité des pièces (en semaine ou mois) a tué l’affaire.

5. Le 3 mars 2009,
marie-hélène

Elle n’est pas laide. Elle est superbe au contraire. En revanche, les couleurs …

Blah ? Touitter !

Âges d’or

Et puis le modèle s’est épuisé. Quand on réussit à gagner de l’argent sans talent particulier et avec des compétences de gestionnaires plus que médiocres, forcément, le jour où ça s’arrête on crie à la catastrophe. Ceux qui étaient et sont encore aux manettes, n’ont pas d’autre choix que d’annoncer la mort du secteur pour se dédouaner. Internet n’a eu qu’à donner une pichenette pour que tout s’effondre. [La Plume d’Aliocha : “La fin des haricots !”]

Cela s’applique aussi avec justesse à l’industrie du disque.

1. Le 2 mars 2009,
Grégoire

Plus j’y pense, et plus je me dis que la partie de l’histoire qui dit que “Internet n’a eu qu’à donner une pichenette pour que tout s’effondre” relève d’un hasard du calendrier.

Surtout pour ce qui concerne l’industrie du disque : je crois que la débâcle aurait eu lieu avec ou sans internet.

2. Le 2 mars 2009,
ol

tiens le streaming qui tue la tv : clique sur le lien films chrétiens en français en ce moment il y a des rappeurs qui chantent de l’espoir…. fraternet quand tu nous tiens…

heureux c’est gratuit

3. Le 3 mars 2009,
marie-hélène

La fin du journalisme et bla et bla et bla : ave des journalistes tellement incompétents sur les sujets dont ils discourent que les articles les plus pertinents sont les publirédactionnels ou les recopies intégrales de communiqué de presse. et des supports de presse sans autre ligne éditoriale que caser la pub le mieux possible, remplir, mousser.

Je n’y vois pas une mauvaise nouvelle.

Malheureusement, je crains que dans le chavirage, ne disparaissent aussi de très bonnes choses parce qu’on peut être un grand journaliste, avoir du talent, des compétences et du sérieux et ne pas savoir gérer son passage de l’ère Gutenberg à l’ère numérique.

4. Le 3 mars 2009,
Ostide

Pour en revenir à la Citroën DS, en plus de ne ressembler à aucun char de l’époque (elle a été produite entre 1955 et 1975), on n’avait besoin que de 2cm à chaque bout pour se parker en parallèle entre deux chars grâce à sa silhouette de poisson.

Demandez à une calotte d’essayer d’en faire autant avec une Honda Civic.

Blah ? Touitter !