Journal de bord

mardi 16 février 2010

Fougère d’argent

New Zealand Blue Ensign 1869.

Ce petit billet est dédié à maître Eolas qui est, et c’est moins connu, un vexillologiste-héraldiste. Nous y parlerons même de rugby, c’est dire la qualité de l’hommage. (Ce qui permettra au passage de corriger quelques imprécisions dans son billet d’octobre 2007.)

Alors que la France s’enlise dans le débat de l’identité nationale (qui doit répondre à la question existentielle des attributs qui font d’un noir ou d’un arabe un bon Français, si j’ai bien compris l’enjeu), à l’autre bout de la planète, la Nouvelle-Zélande est en plein débat de l’identité graphique nationale, en l’occurrence, rien de moins que son drapeau.

Il convient tout d’abord de rapidement connaître l’histoire de ce drapeau, qui débute de façon assez pittoresque.

[Lire la suite : “Histoire et avenir du drapeau de Nouvelle-Zélande”.]

I Killed Someone Once

And maybe this is the time to share a secret that I’ve kept for quite a long time. I killed someone, once…” So begins BBC journalist Ray Gosling’s televised confession in which he briefly describes the time he smothered his lover who was dying of AIDS. Police are now investigating.

MetaFilter : “I Killed Someone Once”.

Voir aussi.