Journal de bord

jeudi 27 mai 2010

Fichage

Les commentaires n’épargnent pas les élèves et parents d’élèves; un père est estampillé « gros con », une mère est traitée de « raciste », un fils de « saloperie de gamin ».

slate : “Acadomia épinglé pour ses fiches injurieuses”.

Il est de ces vérités qui ne doivent pas être enregistrées dans une base de données.

1. Le 27 mai 2010,
Maxime

Ca me fait penser à Free.

2. Le 27 mai 2010,
Pascale
3. Le 28 mai 2010,
politoblog

A un de mes petit neveu, un de ses professeur a marqué sur son bulletin de note ; ” A fait des efforts ce trimestre … pour se rapprocher du radiateur”

4. Le 28 mai 2010,
Laurent Gloaguen

Un prof de Jacques Chirac au lycée Carnot avait écrit sur son bulletin : “parle beaucoup pour ne rien dire”.

5. Le 30 mai 2010,
TDM

Vraiment top je trouve cette décision de la CNIL de déballer tout en public plutôt que de mettre une amende ou je ne sais quoi… je crois que c’est la première fois qu’elle fait ca.

6. Le 31 mai 2010,
Gilles

C’est pour qu’Alex Turk brille bien en recevant son Big Brother Award :)

Blah ? Touitter !

Lucidité féminine

Convenons en, mes seins sont très certainement plus attractifs que ma conversation, mais comme je ne suis qu’une féministe aigrie, je refuse à ce qu’il ne m’écoute pas pour une paire de nichons, même si c’est la mienne.

Le Monde Tranquille de Marion : “Savoir faire des concessions”.

1. Le 28 mai 2010,
Maxime

Je n’arriverai pas à tomber amoureux juste d’une paire de nichons. Et ça doit être pareil pour 99% des hommes.

S’il prérère regarder tes nichons, c’est par politesse : il trouve la conversation chiante, mais n’ose pas te le dire, et son attention est donc détournée par la moindre futilité qui passe sous son nez. Comme on fait tous quand on est coincé dans une conversation chiante.

Donc s’il regarde tes seins, c’est uniquement par politesse. Et s’il fait ça très souvent, c’est peut-être parce que tes conversations sont réelleement chiantes (de son point de vue au moins), et qu’il n’ose pas te le dire pour pas te blesser. Mais c’est le propre des féministes aigries de ne voir que des violeurs en puissance qui ne pensent qu’au cul parmis les hommes, ce qui cache le vrai problème.

2. Le 28 mai 2010,
Eolas

Je comprends le point de vue de Maxime (encore qu’il prenne la revendication du féminisme aigri de Marion un peu trop au premier degré, je le crains) mais je constate qu’une fois de plus, l’homme est la mesure de toute chose. S’il regarde les seins de Marion (qui pourrait l’en blâmer, cela dit ?), c’est forcément que la conversation de la belle est chiante. On sent revenir le cliché de la femme bavarde et frivole, superficielle et pipelette. En tout cas, ce n’est pas lui qui peut avoir tort de ne pas écouter ce que lui dit Marion, en préférant concentrer son attention sur ses deux hémisphères non cérébraux. Pourtant, avec un peu de pratique, il est possible de faire les deux. Quand je discute avec le Capitaine, il ne me regarde que peu dans les yeux mais surtout entre le nombril et les genoux. Néanmoins, il m’oppose des réponses pertinentes. Il m’écoute donc bel et bien. Je ne puis dès lors li en vouloir. Et puis c’est vrai que le vélo, ça fait un beau cul.

3. Le 28 mai 2010,
Off Merguez
4. Le 28 mai 2010,
Gilles

@Marion : ses seins ou bien http://lcg.net/-/tf ? Si elle préfère le 2nd cas…

5. Le 28 mai 2010,
politoblog

Je pense que les femmes surestiment largement l’impact de leur poitrine sur les hommes. Très sincèrement ce n’est pas une chose que je regarde chez une femme. anecdote ; un jour alors que je rentrais chez moi, je pris l’ascenseur avec une jeune voisine étudiante. Elle lisait un recommandé d’huissier à hauteur de poitrine. Par une curiosité, mal placée, j’ai regardé laissé trainé mon regard sur le recommandé. Et dans le même temps, elle a eu le réflexe automatique de se couvrir le décolleté avec le courrier, croyant certainement que j’étais entrain de plonger dedans. Très vexé qu’on puisse croire que j’étais pervers, je lui ai dis ; “Non rassurez vous je ne regardais pas votre décolleté mais plutôt l’acte d’huissier”. Je ne crois pas qu’elle m’ait cru. Morale, à être trop curieux on peut passer pour un vicieux.

6. Le 28 mai 2010,
Gilles

Ou faut assumer. Moi j’aime bien “remarquer”. Après, de là à être un pervers… (merci Capt. pour l’URL shortené :) )

8. Le 29 mai 2010,
user.von

luxe calme et volupté et toussa (avec un peu de condrieu) pour celui-ci qui a bien mouillé sa chemise (et pas que) : [Huit éprouvantes semaines plus tard, Hopper est de retour avec les bobines. Il tient son film dont l’idée le hante depuis des années. Il y incarne un cascadeur engagé pour un western réalisé par Samuel Fuller dans son propre rôle. Après un tournage avorté, le cascadeur reste au Pérou et tâte toutes les drogues qui passent à portée avant de devenir l’acteur principal d’un autre film que des Indiens qui ignorent même l’idée de la fiction «tournent» devant des caméras en bois. Un simulacre baroque et visionnaire sur le cinéma agonisant, mais que personne ne comprend.](http://www.liberation.fr/culture/0109634244-dennis-hopper-class]

10. Le 29 mai 2010,
user.von

pardon, j’oubliais la phrase d’après :

“Pendant presque un an, il s’enferme dans son ranch de Taos, au Nouveau-Mexique, pour concocter un montage qui provoque l’affliction générale chez les pontes de la Universal, mais le contrat dit que Dennis a le director’s cut.”

Blah ? Touitter !