Journal de bord

jeudi 9 décembre 2010

Tempête blanche

Lorsque j’ai entendu l’expression “tempête de neige”, j’ai souri intérieurement. Personnellement, penser que la neige puisse être vécue comme une bourrasque m’était difficilement envisageable. Les trois flocons français m’avaient rendu si joyeuse, en quoi la neige montréalaise pourrait être tempétueuse ? Or, en observant la danse frénétique des flocons, le revêtement blanc des trottoirs et les gens encapuchonnés, j’ai accepté l’idée.

Le Lab /, Marie : “Il souffle blanc à Montréal”.

J’avais oublié que l’expression “tempête de neige” m’avait aussi fait sourire la première fois que je l’avais entendue.

La neige, c’est quand il fait doux (autour de 0°). Demain matin, il fera beau et sec, alors couvrez-vous bien, -26° à 7 heures.

Le xkcd du jour, je m’y suis reconnu. Allez, un petit coup de radar

1. Le 9 décembre 2010,
politoblog

Et dire qu’avec -2C° et la nuit à 17 h à Paris, je suis entrain de déprimer, à -26°C, je demande tout de suite où est le gaz (double sens). Le Québec … mais le Québec !!! N’importe quoi le Québec !!!

Blah ? Touitter !