Journal de bord

mardi 29 juillet 2014

Train raté

[…] C’est sans doute ça devenir âgée. Comprendre enfin que sur personne, pas même soi, on ne peut compter. 

Tentons donc d’en rester à la loi première, de supporter, stoïque, les emmerdes, savoir qu’au fond elles peuvent aider et que le train qu’on rate est peut-être celui qui s’en va dérailler. Veiller à ne pas manquer les occasions de remarquer qu’à quelque chose malheur est bon.

Traces et trajets, Gilda Fiermonte : “À quelque chose (petit) malheur est bon”.

1. Le 29 juillet 2014,
karl, La Grange

Blah ? Touitter !