Cet interlude vous est offert par Georges, aka Les Autres (qui a manifestement été éprouvé par sa dernière participation à Paris Carnet). La maison décline toute responsabilité quant à le teneur des propos tenus ci-dessous.

Tout le monde a l’air bien heureux dans ce petit port de Terre Abinouze. Verres pleins contre verres vides, le binouzier fait danser ses putes les pintes et glou-glou, glou-glou, bla-bla.

Une journaliste a choppé Maia dans un coin de la taverne. Et Maia se laisse volontiers faire. Elle sourit même.

Avec Laurent, on regrette toutes celles du clan des pédés qui ne sont encore pas là ! Matoo, Garoo, et puis aussi Gvgvsse ou Mennuie que j’aimerai bien rencontrer. Ou encore David Madore de Mars ! On regrette rapidement presque tou(te)s les absent(e)s, en fait !

Et je retrouve Manu le Visitor : ce genuine geek déguisé en classieux, il a capté Maia comme l’aurait fait un papier attrape-mouche avec… euh…

Capter Maia ! A-t-il utilisé une méthode manuelle d’agrandissement du pénis terriblement efficace ? Connaît-il les techniques ancestrales des arabes du Soudan ? Et bla-bla Epita. Tiens, j’ai encore glissé dans un nid :-) Nous sommes partout, décidément partout, et dans tous les bars aussi ! MouhahahaHAHAHAH ! C’est nous, nous sommes partouuuuuttt !!! MOUHAHAHAHAHAhaha haha ha :) Glou-glou.

- Et Jean-Luc de mediaTIC, pourquoi il est pas là ?

Ben ouais, c’est vrai ! Quand est-ce que tu viens cogner ta pinte à la nôtre, Jean-Luc ? C’est quand même un comble qu’on ne te rencontre pas au ParisCarnet !

Bla-bla, glou-glou bla-glou. La soirée coule comme les discussions qu’elle porte. On se lève, on se bonjoure, on se aplutare. Chaleureuse ambiance dans un café d’un genre pas si nouveau, un café blogaire.

La fille aux gants m’apparaît soudainement. L’héroïne mythique de ma blogoromance préférée ! Alors on évoque Yarrow autour d’une assiette de frites. bla-creeuchh-creuch gou-glou glou.

Le capitaine tourne la tête dans cette ambiance embièrée. Ce soir, le cuistot a sorti son gros tonneau, et les yeux du pacha sont embrumés. Il voit des blogueurs partout, des blogueuses à perte de vue ! Il est étonné, je crois, étonné et heureux. Le germe - son germe - a pris et ParisCarnet se réunit !

- Un jour moussaillon, un capitaine a quitté son navire.
- Quitté son navire ?
- Ouaip !
- ???
- Pour un lapin !
- Un capitaine qui a quitté son navire pour un lapin ?
- Ouaip. Il s’agit du MousseNavire, un célèbre galion qui charge de la cervoise en Terre Abinouze.

Parisienne, francilien, francienne ou francophonien, pointe ton nez au prochain ParisCarnet : tu as encore une chance d’y rencontrer un capitaine qui pour un lapin, pourrait choisir la route des embruns !

Fin de l’interlude.