Apostasie, n. f., XIIIe siècle. Emprunté, par l’intermédiaire du latin chrétien, du grec apostasia, “abandon”. Abandon public de la religion que l’on pratiquait. Se dit surtout de l’abandon de la foi chrétienne. Faire acte d’apostasie. Par ext. Abandon d’une doctrine qu’on a professée publiquement.
1 500 demandes d’apostasie ont été déposées jeudi à Madrid pour dénoncer “l’homophobie” de l’Eglise.
COGAM (Colectivo de Lesbianas, Gays, Transexuales y Bisexuales de Madrid).
“Quand je vois le lecteur du fil RSS clignoter au rythme des mises à jour, quand je lis des billets comme on mange des petits pains tout chauds sortis du four, quand je sais que chacune de mes connexions à un blog peut être comptabilisée, voire localisée par lauteur du blog, jai, face au texte, le même sentiment que Thomas lObscur. Le sentiment dêtre happé par quelque chose de vivant.”
Isabelle Vodjdani.
Tellement facile, qu’on rencontre encore des développeurs professionnels se demander l’intérêt qu’il peut y avoir à remplacer <b> par <strong>, vu l’allongement du code que cela représente, ou <i> par <em>, étant donné que l’un comme l’autre aura pour effet d’afficher le texte en italique. Dans la plupart des navigateurs, du moins.
Normand Lamoureux, chez Cybercodeur.
Si quelqu’un peut effectivement me trouver de l’intérêt à la substitution… Pour ma part, je n’ai toujours pas trouvé.
Car, proposer ce genre de substitution automatique est un non-sens. L’italique n’a rien à voir avec <em> (sauf cas particuliers, et, comme par hasard, plutôt en anglais). L’italique en français (et autres langues latines) est rarement une emphase, mais appartient presque toujours à un corpus de règles typographiques, façonnées par le temps, destinées à faciliter et rendre agréable la lecture.
Quant à se faire chier avec les <abbr>, <acronym>, et autres subtilités… seulement quand mon éditeur me les proposera automatiquement, parce que j’ai des choses plus intéressantes à faire.
Dernier Paris Carnet, vu par H. : “Le manque de filles et de gens intéressants fut récurrent toute la soirée.” (Via Michel). Paris Carnet est une beuverie entre blogueurs, pas un café-philo chez Angelina. Et pourquoi tous ces mâles hétérosexuels et féministes à deux balles me fatiguent ? Autant que je me souvienne, les filles après 23 heures (et pour certaines, même plus tôt), étaient loin d’être les dernières à faire dans le salace. Car, je revendique le droit aux femmes à être beurrées et vulgaires.
Blurps.
The Raspberry Reich is a film about “radical chic”, specifically the phenomenon of the modern left in Germany adopting the signifiers and postures of extreme left wing movements of the seventies, particuarly the Red Army Faction, also known as the Baader-Meinhof Gang. The movie starts off with the abduction by a gang of bumbling, would-be terrorists of Patrick, a young man who is the son of one of the wealthiest bankers in Germany. A scene of chaos and slapstick humour ensues in which Clyde, one of the aspiring terrorists — or activists, as they prefer to refer to themselves — accidentally hand-cuffs himself to the kidnapping victim and is forced to join him in the trunk of their stolen BMW.
The Raspberry Reich, le dernier opus de Bruce LaBruce. (Photos).
“Like I said, this movie is terrible. The editing approaches epileptic proportions. The dubbing doesn’t even come CLOSE to syncing up. It’s loud, sloppy, and ugly. Even if it wasn’t a porno, the brazen disregard for any sort of craftsmanship should get everyone involved blacklisted from the film industry. It is that bad.”
[MoviePie]
Je meure d’envie de voir ça ! C’est mon côté trash-kitsch.
(Message perso : non, mon lapin, ne soit pas consterné ;-)
Mena fume et Loïc tente d’écraser les enfants. Ai-je bien compris ?
Je suis bien content de ne pas être dans la catégorie “Pédéblogueurs, chroniqueurs, mythomanes, génies, atrabilaires, névrosés, misanthropes, bavards, etc.”.
Oneiros Thanatos
A la lecture de l’article de Libé, il semblerait donc que l’Eglise espagnole refuse la démarche. Ce en quoi, elle joue sur les mots. Il y a effectivement une nuance entre l’acte d’apostasie (qui n’a pas valeur juridique stricte) et la demande de débaptisation. Pour plus de renseignements, voir là : Campagne de débaptisation V.A.P.
Si, si… ça marche ! Débaptisée depuis 1997 !
Thomas
Ces débaptisations me rappellent les délires des raëliens et ça m’irrite, mais ça n’a sans doute rien à voir (ceci n’est pas un troll).
Sur un plan plus général, et en dehors d’une perspective anarchiste, je ne suis pas sûr que ce genre de démarche soit un moyen valide et efficace de faire changer les choses.
S’il avait, par exemple, fallu demander à se faire rayer des registres de l’état-civil à chaque fois que l’État adoptait une position inacceptable, il n’y aurait plus beaucoup de français…
Blah ? Touitter !