Mon lapin est arrivé à Paris. Il m’a ramené de Montréal le coffret DVD de la seconde saison de 6 feet under. (Inutile de préciser comme j’aime cette série, qui a détrôné dans mon panthéon télévisuel les Sopranos et Sex & the City — oui, je suis très HBO.)
Je ne sais pas si j’ai déjà lié ce magnifique photoblogue chez Flickr : Underbunny. Petite sélection de clichés : funeral coach, blue & green cots, needle injector, foot end, preproom mop, after the service, eyecaps (je ne connaissais pas ces accessoires…), 69 (ils explosent à la cuisson), decomp, scissors, no calls, autopsy compound (ashes to ashes), raised vessels II (plomberie), ember, 102-year-old, draped, dryene… J’ai toutefois le sentiment que les plus belles photos ont été supprimées.
Cats do not taste like chicken. À priori, cela devrait plutôt goûter comme le lapin. Il faudra que j’essaye un jour… (Le pâté de chatons, ça doit bien valoir le lapereau). En tout cas, on dit qu’il n’y avait plus beaucoup de chats à Paris dans les années 40…
(…) quand je me présenterai pour le jugement dernier, j’aurai finalement au moins comme circonstance atténuante de n’avoir pas été le con à déclarer : “on ne gagne pas l’argent : on perd l’or”. CCN.
PS. Citation bonus :
Je suis entré et j’ai rencontré un garçon. J’ai du mal encore à en parler parce que je ne sais pas encore en parler. On est resté longtemps à parler, dans un anglais maladroit. Il ne s’est rien passé. “Il ne s’est rien passé”. C’est amusant cette phrase. Comme si ce qui devait se passer ne pouvait être que sexuel. Si, il s’est passé quelque chose. J’ai senti vaciller. J’ai caressé la fêlure. Je l’ai titillé comme on agace une dent de lait qu’on sait devoir tomber. Il ne s’est rien passé pourtant. Faut trouver un nom au blog.
Un billet exemplaire d’une relation client maîtrisée et de communication en période de crise : Chers blogueurs de 20six, merci de vous être mis en grève. [Max Niederhofer, via PointBlog.]
Vous ne pouvez pas commenter sur Embruns, et c’est normal, OVH me fait des misères, la date de la machine étant actuellement : 2004.01.22 (ce qui perturbe le script gérant les commentaires). Grrr…
Mise à jour, 20 h 30 : le problème est résolu, vous pouvez à nouveau commenter.
cossaw
Merci pour ces liens. On a fini de la (re)voir cette deuxième saison il y a peu… toujours formidable… et on attend la 4e sur Jimmy d’ici peu.
Chryde
Commencé à regarder la quatrième, par des voies peu orthodoxes. Elle commence très fort, très violent. Le premier épisode coupe le souffle. Plus que tous les films que j’ai été voir ces huit derniers mois au cinéma.
manur
La deuxième saison, elle est quand même assez chiante, non ? Enfin je n’ai pas eu l’énergie d’aller au bout. Mais la troisième est plutôt bien repartie.
Morgan
Pour ma part, je viens de finir la première saison, je vais enchaîner sur la seconde. Je suis enthousiaste, c’est une série à la fois intelligente (par les thèmes abordés, par la manière dont ils sont abordés) et captivante (le suspense, bien que différent dans sa nature, n’a rien à envier à un 24 ou un Alias). Et je suis bluffé par le jeu des acteurs.
Martine
Dis-donc, tout le monde est en train de regarder la deuxième année de la série! Nous en sommes au 4ième disque que nous louons au club vidéo du coin. Ça me semble moins fort que la première année mais c’est rassurant de savoir que la série ne perd pas vraiment son rythme. J’espère qu’il ne faudra pas attendre deux ans avant de voir la 3ième saison!
Ah, faire partie d’une équipe de scénaristes comme la leur! Mais au Québec on ne travaille pas en équipe. Tout est écrit par une personne et souvent cette personne perd le souffle…
Laurent
Tu parles en connaissance de cause ;-)
Martine
Je suis plutôt du type solitaire, quand vient le temps de parler de l’écriture, mais j’aime cette manière américaine de construire une série sur un véritable travail d’équipe. J’aimerais bien tenter l’expérience un jour mais il faudrait très très bien s’entendre avec les collègues…
Matoo
Je suis sûr que Laurent fantasme à DONF sur Keith ! Hein Laurent… allez vas-y avoue !!! :-)
Michel Dumais
Tiens, moi aussi je débute la seconde année de… “The West Wing”. Sans vouloir rabaisser l’excellent travail de l’équipe de scénaristes de 6 feet under, dans mon panthéon des séries américaines, West Wing demeure “LA” série à posséder.
Laurent
Oui, Matoo, j’avoue : Keith Charles est très à mon goût… Comment tu as deviné ?
[ Privé : bonne soirée avec Mr P., ne profite pas de la salle obscure pour le peloter… ;-) ]
Martine
Aaaah, Keith!
Blah ? Touitter !