Sarkozy negotiationibus impedit
Die Martis Unio Europaea officialiter aperuit negotiationes cum Turcia, statum membri UE petente, in duobus novis capitibus sermonum, quae capita attinent ad rem statisticam et inquisitionem rationum fiscalium. Vehementer reclamanti praesidente Francogallorum Nicolas Sarkozy, ultima in minuta e mensa negotiationis retractatum est caput tertium, de politica oeconomica et monetali. Quae actio certe politicis Turcicis minime placuit.
Caput tertium e mensa “diplomatice” evanuit postquam Sarkozy minatus esse traditus est Francogalliam id officialiter vetaturam. Negotiator Turcicus, minister oeconomiae Ali Babacan, qui Bruxelles venit se credens de omnibus tribus disciplinis locuturum, dixit actionem a Sarkozy peractam nocivam esse et Turciae et imagini ipsius Unionis Europaeae, nam monstrat hanc minime adhaesuram principi “pacta sunt servanda”.
[Ephemeris, “Sarkozy negotiationibus impedit”.]
Ephemeris, l’actualité du monde en latin, via Sale Bête.
Lancelot
A tes souhaits …
Jujupiter
Francogallorum! Ils nous prennent encore pour des Gaulois!
Bon, en gros, ils disent que Sarko est contre l’entrée de la Turquie, et la Turquie dit que les engagements doivent être tenus.
Édouard
J’avais remarqué moi aussi qu’on y appelait les Français « francogalli ». Eh bé, Gallia reste divisa in tres partes (peut-être plus ?)
Philomène
PARIS, 3 juil 2007 (AFP) - Le député apparenté PS René Dosière a saisi mardi François Fillon de l’utilisation par Cécilia Sarkozy d’une carte de paiement dont les sommes dépensées sont directement débitées sur le compte du Trésor public ouvert à la présidence de la République, s’appuyant sur une affirmation du Canard Enchaîné de la semaine dernière. Dans une question écrite adressée au Premier ministre et diffusée mardi, M. Dosière souligne qu’il s’agit d’une première “dans l’histoire de la République française”. Il demande donc à François Fillon “à quel titre l’épouse du chef de l’Etat peut gérer l’argent public, dans la mesure où elle n’a pas d’existence juridique (…) et qu’elle ne fait pas partie des services de la Présidence” ainsi que le montant “des plafonds de dépenses et de retraits en liquide autorisés pour cette carte de paiement”. Pour lui, “les sommes en cause n’étant soumises à aucun contrôle extérieur, ni de la Cour des comptes, ni du Parlement, de telles pratiques ne peuvent que susciter l’inquiétude de tous ceux que préoccupe la bonne gestion des fonds publics”. M. Dosière, qui a fait du budget de l’Elysée une de ses spécialités, est partisan de donner un statut spécifique au conjoint du chef de l’Etat.
Blah ? Touitter !