Journal de bord

DHTML Arkanoid V1.2B, an attempt at recreating the classic Arkanoid entirely in Javascript.

1. Le 16 septembre 2007,
Yann

Respect.

2. Le 16 septembre 2007,
Cédric

Ah excellent… Les vieux souvenirs, la borne d’arcade, l’argent de poche claqué à chaque ” insert coins “…

3. Le 17 septembre 2007,
AlSquire

Il faut tout de même Flash pour les effets sonores. Prouesse technique sûrement, mais animation pas régulière sur mon Firefox, ce qui limite pas mal l’intérêt d’un jeu d’action. En tout cas c’est concluant comme expérimentation. Je vais tout de même voir si ca passe sur le navigateur de la Wii :p

4. Le 17 septembre 2007,
Laurent Gloaguen

Ça marche très bien dans Safari, et il paraît que ça marche très bien sur iPhone.

5. Le 18 septembre 2007,
AlSquire

Alors j’ai testé avec le navigateur de la Wii (opera), et c’est plutôt pas mal. La console tout entière étant consacrée au javascript, il n’y a pas vraiment de ralentissement parasite dû à autre chose que le jeu en lui même. Et c’est assez sympathique de jouer à la wiimote pour le coup. Pas de son par contre.

6. Le 19 septembre 2007,
vincent

Challenge, oui ! … mais je me dis qu’avec un peu de chance, le code source de l’arkanoïd original est moins bien foutu et conçu dans un langage plus pourri que cette version DHTML !

Blah ? Touitter !

[AFP.] “Ce n’est pas parce que l’on est à 2% qu’on est mort !”, lance samedi un chanteur de rue, Jean-Marc, au public d’un stand à la Fête de l’Humanité qui affiche cette année une vitalité sans commune mesure avec les scores du PCF, même si les doutes militants sont bien réels.

Merguez, collections de Pif le chien, manèges à sensations fortes, concerts et débats par dizaines: le folklore est impeccable et le public nombreux dans les allées du parc de la Courneuve, qui ont pris le temps d’un week-end le nom des héros du Panthéon progressiste, de Guy Môquet à Yasser Arafat en passant par Sacco et Vanzetti.

“Hier vendredi, au stand de la Haute-Savoie, on a servi 139 raclettes. C’est un record après les 150 d’il y a deux ans”, compte Pierre Boukhalfa, 42 ans et le tee-shirt Che Guevara de rigueur.

[…] “Toujours plus haut, encore mieux que Ségolène, Delanoë. C’est la fausse gauche!”, hurle à l’attention du maire de Paris Jean Orthiz, universitaire à Pau et membre du syndicat Snes-Sup.

“Ca fait plaisir aux bobos”, ironise Charles, interrogé sur la présence de M. Delanoë et d’autres ténors du PS. “Mélenchon est le bienvenu. Bartolone, non, parce qu’en Seine Saint-Denis ses copains essaient de se payer les dernières municipalités communistes. Hollande recevra un accueil poli”. Poli sans plus parce que “c’est la riposte que l’on veut, pas un PS à droite”.

The space that we’ve researched as a new medium for the last ten years has turned into the most mass medium of them all. Nothing more than a mass medium, permeating our daily lives to the point of becoming invisible. Its numerous users are busy working, having a good time or expressing themselves, and they have almost perfect tools and services at their disposal. Connection never breaks, distinction between a server and a hard disk, between your desktop and that of another person has almost vanished, and there’s nothing that could contribute to the development of user-media relationship, nothing to provoke us.

Web 2.0 propagandists can’t stop talking about the multitude and power of today’s web amateurs, the new users who love to dance, compose songs, write encyclopedic articles, take photos and film videos, write texts and publish it all on the Web. And yet, they are rather indifferent to the Web itself.

So, here’s the question: how does the Web look now, when it’s no longer seen as the technology of the future, when it’s intertwined with our daily lives and filled by people who are not excited by the mere fact of its existence?

At a first glance, this question looks like a purely aesthetic one. One might think it’s almost unimportant. But in fact, nothing demonstrates the state of the Web in general and the state of its services, in particular the ones that follow the Web 2.0 ideology, as clearly as the style and look of ordinary users’ home pages.

Olia Lialina, August 2007: “Vernacular Web 2”.

Gays Without Borders. “An informal network of international GLBT grassroots activists working to make the world a safer place for GLBT people, and for full GLBT equality in all aspects of legal and social life…”

1. Le 16 septembre 2007,
Gabrielle

Bonjour,

votre RSS ne marche plus chez moi depuis un petit moment (je crois que le dernier billet que j’aie eu est “Gestapo”).

Si on vous l’a déjà signalé, toutes mes excuses pour la répétition.

2. Le 16 septembre 2007,
Laurent Gloaguen

Vous utilisez quelle adresse ?

3. Le 16 septembre 2007,
Gabrielle

Au temps pour moi, j’ai souscrit à la nouvelle adresse hier pensant que j’en avais une mauvaise, et je m’aperçois à l’instant que mon agrégateur n’a rien voulu entendre. Il m’a gardé l’ancienne. Je vais essayer de lui faire entendre raison ; en attendant, toutes mes excuses pour le dérangement…

4. Le 18 septembre 2007,
eric

Bonjour

J’aime beaucoup ton site.

:)

Je peux mettre un lien vers ton blog?

Peut-etre que tu aimeras aussi le mien, et surtout la cause qu’il defend: “sauver l’amour dans les couples gay”

Tu peux aussi ajouter un lienvers mon blog si tu veux:

http://www.restoringlove.com

N’hesite pas à me donner ton opinion et ton fedback car je suis un débutant.

:)

Kisses and Hughs

Erik

Blah ? Touitter !

“We might have predicted that the whole thing wasn’t very sustainable,” says Kevin Rose, founder of one of the social news networks suffering from the crisis, “It wasn’t programmed very well, mostly PHP, and in the end it just wasn’t really thought through.” Kevin argues however that the 2.0 bubble burst might be healthy for the industry, and is keen to move on to MetaDigg, a site aimed to aggregate and vote on news submitted to various social news aggregators. “There are still too many people who actually read the news stories, and then get active outside their homes to implement real change, instead of helping us push relevant headlines to the top. We need more human filters and smart mobs, we’re all missing out on a whole lot of interesting news bits these days.”

Susan Tolwinsk, a Ruby programmer from Portland, Oregon, who doesn’t own an iPhone, says today she decided to shut down the computer to go outside to get “a coffee, and a break.” Her PC, Susan stated, was running for the 3rd consecutive year as she was in the final stages of releasing an ad-powered and invite-only maps mashup integrating AJAX todo lists, but Susan realized that “most people actually only have 8, 9 items max on their todo lists, and evolution allowed us to store that amount of items in our brains, natively.” Asked about what might replace web 2.0, Susan argues it’s time to “go back to web 1.0” as that “pretty much worked,” though she suggests for marketing and adoption purposes the moniker “web 3.0” may be more appropriate.

Google blogoscoped: “How Web 2.0 Die”.