Nocturne
Étrange, j’ai peur de mourir.
Cela doit-être ça de se sentir aimé.
Étrange, j’ai peur de mourir.
Cela doit-être ça de se sentir aimé.
Le prof d’histoire au collège Félix-Djerzinski de Staincy-en-France a bien voulu répondre à quelques question de Blogonautes : “Au collège, blog du jour sur Blogonautes”.
Il fallait que je nourrisse ma famille, qui commençait alors à s’agrandir. Et c’est ainsi que je me suis retrouvé, un beau matin de septembre 2005, dans un collège de Seine-Saint-Denis, pour y assumer les fonctions d’éducateur-dresseur, et découvrir en retour les réalités du multiculturalisme français. C’était évidemment très différent de tout ce que j’avais connu jusqu’à présent ; je ne me destinais pas à cette forme d’enseignement, je ne suis pas passé par l’IUFM et mon expérience pédagogique avait surtout consisté, avant cette date, à assurer des TD dans des facs de province (ah ! le pôle universitaire de La Roche-sur-Yon, ses étudiants, ses vaches - souvent les mêmes, d’ailleurs).
[…] J’ai commencé à bloguer très récemment, en septembre. Je soupçonnais un peu le caractère addictif de cette pratique ; mon intuition a été largement confirmée par la pratique. Je souffre quand je ne peux rien poster pendant plus de trois jours ; le matin, la première chose que je fais est bien souvent d’aller jeter un coup d’oeil sur les commentaires de la veille et les statistiques de fréquentation. Pourtant, on ne peut pas poster tous les jours : il faut attendre d’avoir des choses intéressantes à écrire, et de pouvoir dégager une heure ou deux pour les mettre en forme. Quand on a un petit garçon, de longs trajets domicile-travail, des copies à corriger, et une ou deux activités associatives, c’est souvent compliqué. Mais en même temps, c’est une garantie contre la tentation de publier n’importe quoi pour générer du flux.
Je blogue pour plusieurs raisons. J’écris d’abord tout simplement ce dont je veux me souvenir quand, dans quelque temps, j’aurais changé de métier. J’espère aussi que certaines personnes découvrent un peu de la réalité des ZEP en me lisant. Il y a également, de toute évidence, un attrait narcissique très puissant dans la tenue d’un blog : quand vous écrivez un texte, qu’il est lu par un millier de personnes, que vous êtes cité et complimenté par des inconnus, l’ego s’en ressent vivement. Et quand on s’aperçoit en plus que ces lecteurs vivent en Roumanie, en Afrique du Sud et au Mexique, on exulte - surtout quand, comme moi, on n’a jamais été foutu d’inviter son voisin de palier à venir prendre l’apéro.
La suite à lire chez Blogonautes…
Euh il y en a pas quelques uns plus anonymes que lui qui se sont fait virer (enfin muté ou autre) pour avoir tenu un blogue ? (ou alors j’ai raté un truc ?)
Ah oui ok, Felix Djerzinski, bien sûr. Mais enfin ça m’étonne qu’il n’ait pas encore eu de soucis.
Authueil était monté sur ses grands chevaux à propos du nom du collège :
pas très charitable, Mussipont… D’autant qu’Autheuil a eu le courage de laisser ce post, sans l’éditer…
Sans l’éditer ? Cela ne veut rien dire en bon français. Le billet et non le post (des franglolâtres) a bien été publié, mais non changé, corrigé, amendé, rectifié, amélioré, supprimé. Quand donc finira cette manie stupide d’appeler édition ce qui est en fait une modification ?
Oser filer le nom de Djerzinski à un lycée alors que Djerzinski avait déclaré qu’il fallait fusiller toute personne qui n’était pas d’accord avec la Révolution, bravo..
Faut suivre un peu mon Glazou, Djerzinski est bien entendu un pseudonyme…
@âne : mea culpa, vous avez raison, Authueil fait preuve d’une classe certaine en laissant disponibles sur son blog son billet et les commentaires.
Le glazou suit ce qu’il peut en ce moment, mon cher capitaine….
@Dominique : vieux con à ton age, t’as pas honte ? ;-)
@Dominique : C’est en effet très juste. Le problème provient sans doute des interfaces informatiques anglo-saxonnes qui ont détourné le sens originel du mot « to edit », qui signifie la même chose qu’en français. Malheureusement nous autres traducteurs francophones avons repris ce terme tel quel, au lieu d’utiliser modifier. Mais nous tentons de faire davantage attention maintenant (même si vous ne verrez pas disparaître le terme Édition de la barre de menus de vos applications).
Je n’enlève rien sur mon blog, sauf les propos qui, après relecture (et remarques) peuvent s’avérer blessants pour une personne. Je suis (comme le maitre de ces lieux) bourré de contradictions et je les assument.
Ce billet m’a beaucoup amusé, car il tient à la fois du troll, mais aussi de l’opinion. Jamais je n’irai habiter avenue Lénine ou rue Maurice Thorez. A quand le grand nettoyage ?
@authueil : “A quand le grand nettoyage ?”
Je me demande si tout ce folklore communiste des noms de rue de certaines villes de banlieue ne finit pas par leur donner un peu d’idendité et de caractère dont elle manque tant. Préférez vous aller du Centre Culturel Pablo Neruda au Square Louise Michel en passant par l’Avenue Lénine ou bien aller du Centre Culturel Paul claudel au Square Dalida en passant par l’Avenue des Fleurs ?
Nommer l’espace public est un geste très politique. On marque ainsi sa volonté d’emprise, ou au contraire, le refus de l’emprise d’un groupe sur l’espace public.
Les noms de rues et de lieux publics doivent absolument faire l’objet d’un consensus (même si on peut trouver le résultat fade et mou). Cela m’agace de voir les militants de tout poils demander à débaptiser des rues pour y mettre les noms de leurs symboles à eux.
“Nommer l’espace public est un geste très politique”, certes, et changer le nom d’un espace public est un geste politique encore plus fort! Laissons donc tranquilles les “avenues Gagarine” et autres lycées “Marcel Paul”, il y a mieux à faire que déclencher des polémiques inutiles. Bon, “Félix Djerzinsky”, d’accord, on ne pouvait pas laisser passer.
Bien sûr, débaptiser un nom de rue, ça peut être difficile pour ceux qui y vivent. Mais enfin, sans même parler du collège où je travaille, il y a dans la commune où je vis des écoles primaires Maurice-Thorez et Marcel-Cachin. Et la laïcité ? Et la neutralité de l’école à l’égard des partis politiques ? Quand je serai maire, je les ferai renommer “Kravchenko” et “Jean-François-Revel”.
“Quand je serai maire, je les ferai renommer “Kravchenko” et “Jean-François-Revel”.”
Et votre successeur les fera renommer “Hugo Chavez” et “Regis Debray”, et ainsi de suite…
La seule solution serait de “neutraliser” les noms de lieux publics façon “rue des Eglantines” et “Square Mireille Mathieu”, pas sûr qu’on y gagne…
Heeeello Laurent
Un simple petit mail car on c’est dit, tiens tapons un peu à sa porte voir si elle nous l’ouvre lool
En fait pour faire cours on a eu quelques ptits soucis avec le site (fermé pendant trois semaine) mais la on repart de plus belle mais un peu comme un renouveau car besoin de se refaire connaître lol
On voulait jute savoir si tu pouvais nous offrir un ptit coup dpouce pour écrire quelques ptites lignes sur nous, si le cœur t’en dit. Vas voir le site, il y a eu pas mal de changements et notamment une nouvelle rubrique Sweat et un new modèle arrive très bientôt. (pour noel).
En espérant une ptite réponse de ta part, bien entendu lol
A très vite
Thiuz
www.olowshop.com
Thiuz, c’est le nouveau pseudo de Julien V. ? Julien s’est-il recyclé dans la fringue ?
Julien s’est fait cloner. Ils sont des millions…
Ahtiens je l’ai eu celui-là aussi. Moi qui croyais que c’était un mail personnalisé et qui m’apprétais justement à faire la promo de leur super truc. Oh, je suis vexé.
Voyez donc le côté positif: il aurait pu mettre “kikoo” au lieu de “heeeeeello”
Moi je crois que ce mec est très intelligent en fait… Il savait que son message était sûr d’être publié sur Embruns et je parie que vous êtes tous allés visiter le site en question ;) Il manie le buzz mieux que personne en fait : lol
“On voulait jute savoir si tu pouvais nous offrir un ptit coup dpouce”
Jute une fois alors…
cf billet du dessus : juste le pouce ?
On voulait jute savoir si tu pouvais nous offrir un ptit coup dpouceVous ne voulez pas un whisky d’abord ?
Il veut un cours court ?
Vu la finesse de sa promotion, je pense que laisser son lien ne fait que lui apporter autant de pub qu’il pouvait en espérer non ? En même temps je suis pas allé vérifier si l’adresse était réelle.
Ils auraient dû choir oLOLshop.com comme nom, çà aurait été cohérent :op .oO(et disponible à l’achat)
Vinvin découvre la vie homosexuelle à San Francisco.
Pour Vinvin le beauf, les pédés, c’était facile à reconnaître, ils portent des chaps en cuir et ont le cul à l’air…
Mais à fréquenter un quartier gay comme Castro Street, il découvre stupéfait que les gays sont des gens comme tout le monde, qui font des choses extraordinaires comme faire leurs courses… Voilà donc Vinvin, intrépide hétéro au pays des homos, qui vacille… Pire encore, il y a plein de pédés qui ne font pas pédés, du genre qui n’aurait pas passé le casting de figuration pour la “Cage aux folles VII”.
Putain, les traîtres, ils n’ont même pas le look homo ! Mais, Vinvin est un observateur très fin, deux hétéros qui se tiennent la main sur Castro, ben, c’est pas des hétéros ! Trop fort le Vinvin.
Quand même, deux mecs à moustache qui se frenchent en public, ça le met un peu mal à l’aise le Vinvin. Il a beau être “aware”, il y a des limites. “C’est pas un peu fini ce déballage ?”. Dans la rue, un petit mec qui roule un pelle à une blonde un peu pute aux seins siliconés, Vinvin, il trouve ça normal, même que ça doit le chatouiller un peu au niveau de la braguette. Mais deux mecs qui n’ont même pas l’air tapette, c’est un peu embarrassant.
Comme je suis un gars sympa, je vais expliquer les probabilités à Vinvin (qui devait probablement dormir au fond de la classe de mathématiques au moment où ce sujet fut abordé…)
Cas n° 1. Tu vas dans un bar quelconque dans l’espoir de trouver quelqu’un pour satisfaire tes pulsions sexuelles homosexuelles. Probabilités : quasi nulles (je parle d’expérience).
Cas n° 2. Tu vas dans un bar gay dans l’espoir de trouver quelqu’un pour satisfaire tes pulsions sexuelles homosexuelles. Probabilités : au moins 50 % (je parle d’expérience).
Ensuite, il y a le phénomène bien connu du commerce qui fait qu’il est plus intéressant de se rapprocher de ses concurrents. Par exemple, aux alentours de la rue de la Paix, tous les grands joailliers s’assemblent. Cela explique aussi le quartier du Marais à Paris. Ça a débuté avec Haute Tension et Le Broad aux Halles, Le Central et Le Village dans le Marais, au tout début des années 80. Avant, le quartier gay, c’était à Palais-Royal, rue Sainte-Anne. Un commerce attire l’autre, c’est une géographie mouvante.
Et cela explique tous les quartiers gays de toutes les grandes métropoles. Aucune volonté de ghettoïsation, juste du pragmatisme de boutiquier. Il est vrai que si tu veux changer de bar, il est plus agréable de faire 50 mètres à pied que de prendre le métro. Si tu as une librairie gaie, il est plus intéressant de se rapprocher d’un bar, de se rapprocher des fluxs de clientèle. Ce qui fut le cas de la librairie Les Mots à la bouche qui déménagea de la rue Simart dans le 18e vers le Marais.
Alors, il y aura toujours des hétéros pour poser la question “n’est-ce pas un peu communautariste, un peu sectaire, ces lieux gays ?”. Je leur réponds que quand tu as envie d’être à quatre pattes avec une bonne grosse bite dans le cul, c’est juste une affaire de probabilités.
A quand le groupe Facebook : “Longeons les murs” ?
Embruns > Quelle conclusion poétique…
Croquette > C’est un peu lourdingue comme humour, surtout pour quelqu’un de ta génération…
@XIII : Je te l’accorde. Mais l’humour se mange à toutes les sauces.
ouais… la chute est un peu dure à mon goût. (Oui, j’m’essaye à la blague de seconde main. re.)
Les hétéros sont ghéttoïsé par les homos !
Ben ouais, mais si les gays se ghéttoïse (pour raison commerciale si tu veux), de fait, ça ghéttoise les hétéros? non? C’est une honte !
Je plussoie pour la chute.
D.Crokayte : ça dépend si tu es dos au mur ou non
Je leur réponds que quand tu as envie d’être à quatre pattes avec une bonne grosse bite dans le cul, c’est juste une affaire de probabilités.
pour la france la probabilité est de 100% pour 53% de la population
C’est sur que la communauté gay se créé autour des commerces. Et puis les commerces c’est la vie… C’est comme Auchan.
Vinvin est mal placé pour faire des commentaires sur le communautarisme, il travaille actuellement dans cyberblaireau land. Dans le genre plus ghetto, la silicon valley, on ne fait pas mieux.
Beauf moi ?!? Beauf ?!? Faut absolument que je file un lien sur ta note à ma mère… Sinon mort de rire les commentaires. A part ça je dis pas que je découvre, je suis sûr que je traînais chez les gays t’était même pas né. Et que les mecs s’embrassent ne me gênent pas, c’est juste que j’ai pas vu ma femme depuis 45 jours… Enfin bref, les hommes viennent de vénus, et les autres hommes d’uranus… Elle est pas si mal celle-là…
Le beauf
Embruns-Vinvin, forts sur les conclusions dites-moi… Bon Vinvounet, il a quand même bien résumé le truc l’Homme à la Pipe. Et puis quand même si tu veux mater dans la rue en étant presque certain que le mec en face est homo, le Marais c’est pratique… (Parce que sinon “ay ay ay la cabeza…”).
C’est marrant, sur la page perso de Vinvin, y’a plein de photos d’un mec avec une tête de bite : c’est pour faire fantasmer ?
Je prends la défense de Vinvin sur un point au moins : quand il dit “c’est pas un peu fini ce déballage”, cela doit se lire avec la phrase suivante qui lui donne tout son sens : “Non mais, pensez à ceux qui n’ont rien, ai-je envie de dire.” Donc c’est le célibataire qui jalouse un couple, pas l’hétéro mal à l’aise de voir deux hommes s’embrasser, fut-ce avec des moustaches. Ne vois pas l’homophobie là où elle n’est pas.
Sinon, le phénomène des quartiers gays expliqué par le fait de ne pas avoir à marcher pour aller draguer, je ne suis pas entièrement convaincu. N’est ce pas avant tout le fait de créer une ambiance spécifique dans un quartier qui permet tout simplement de sortir en se tenant par la main, et de s’embrasser en pleine rue, sans se faire regarder de travers par tout le monde (sans parler de se faire insulter ou molester) ? Parce que les gays de Vinvin, ils n’allaient pas au bar chercher un partenaire, ils allaient, bras dessus bras dessous, faire leurs courses.
Eolas> je crois que la reponse a ta question se trouve dans le debut de ton commentaire : il faut bien commencer celibataire avant d’etre en couple.
“…il découvre stupéfait que les gays sont des gens comme tout le monde…”
Ca me fait penser a Bill O’Reilly qui découvre avec surprise qu’un restaurant de Harlem, tenu par des Noirs, avec une clientèle de Noirs, est … comme n’importe quel restaurant.
“There wasn’t one person in Sylvia’s who was screaming, ’Motherfucker, I want more iced tea.’”
C’est curieux comment nos sentiments latents, inconscients, enfouis parce qu’un peu honteux (racisme, homophobie et autres préjudices), se révèlent, sans le vouloir vraiment, au moment ou l’on s’aperçoit soudainement que l’Autre est en fait exactement comme nous.
C’est cool qu’un post comme ça sur un post comme ça ne parte pas en live, non ?
Probabilités, suite… Cas n° 3. Tu vas dans un bar quelconque dans l’espoir de trouver quelqu’un pour satisfaire tes pulsions sexuelles hétérosexuelles. Probabilités : quasi nulles (je parle d’expérience)
Ce post est hâtif. Vous faites concurrence aux rotatives de libération ? Défendre sa bannière est formidable, cependant, hurler au feu pour un pétard mouillé… tout cela, à cause d’un malentendu ridicule. Vinvin est maladroit, vous l’êtes autant quand vous l’assimilez “beauf”(hétéro de base comme on dit). Décidemment, il faut vraiment peser ses mots en ce moment.
“You know me Marge. I´m a simple man. I like my beer cold, my TV loud and my homosexuals FLAMING.”
Homer Jay Simpson
J’ai pas suivi : c’est qui qui a le pétard mouillé ?
Dans mon immeub, y a un artissse, ben l’artissse, c’est notre Vinvin à nous. Il a entendu dire que les homos ça existait, il en invite même à ses vernissages, histoire d’assurer le buzz, mais qu’au dessus de sa tête, il y ait des couples monsieur/monsieur ça le dérange.
Je ne suis pas un garçon porté sur le sexe, il y a même des moments où je me définis comme “asexuel”. Je peux passer des mois sans baiser, des semaines sans me branler (oui, je sais, ce n’est pas recommandé pour le bien être de ma prostate).
Mais, comme dit l’adage, il faut se méfier de l’eau qui dort. Mes pulsions sexuelles sont donc explosives, impératives, aléatoires. Je ne sais si je dois les vouer à quelconque cycle lunaire, mais le rythme de 21 jours me convient bien.
Et je me fais alors l’effet de Dr. Jekill et Mr. Hyde… De séminariste, je me transforme en salope assoiffée de sexe. Mes fantasmes n’ont pas de limites… même à explorer des territoires glissants, fessée, sm, cbt, ff, et autres sigles barbares.
Dans mes rêves, je me transforme alors en mâle dominateur, prêt à emplir tout trou disponible. Dans la nuit, je poursuis un jeune homme, prêt à déchirer ses vêtements et à le violer…
Et puis je bascule dans la biche craintive, le cul offert et les couilles pendantes, avide d’un membre pénétrant.
Enfin, je jouis. Et tout cet orage me paraît immédiatement si lointain, et de redevenir séminariste, pour quelque temps.
Tout cela n’était que le fruit de mon imagination.
P.S. Désolé pour les commentaires supprimés, fausse manœuvre…
The U.S. House of Representatives on Wednesday overwhelmingly approved a bill saying that anyone offering an open Wi-Fi connection to the public must report illegal images including “obscene” cartoons and drawings—or face fines of up to $300,000.
Le sexe représente la danse universelle liée à l’éternité. S’en priver, c’est ne plus danser, c’est devenir boiteux, à claudiquer dans le rêve.
Pour participer à une oeuvre artistique humanitaire
Un mois lunaire c’est 29 jours, pas 21. Vous êtes quand même un peu excité…
je suis choqué par cette véhémence, véhémance, vais eh mans ? vais hey, Mense ?
Exquis ce billet. J’aime cette spontanéité.
Sauf qu’il y a de l’arnaque : “je me transforme en mâle dominateur, prêt à emplir tout trou disponible”.
Bien ma foi, fort bien, cela !
Sauf que… la suite m’a quelque peu déçue.
Je tiens donc à rappeler que l’ensemble formé par les trous disponibles provient des deux sexes. Oserais-je même rappeler qu’un certain sexe offre plus de trous que l’autre.
Signé : une qui refuse de tomber dans l’oubli
Fabio
C’est une jolie définition de cette réalité assez difficile à cerner sinon
Kozlika
Pour paraphraser mes petits camarades sur un autre billet : « à qui le dis-tu » !
mry
oui, c’est exactement cela. Des vertiges de mort aussi ?
paroles
Sentir la vie ,respirer l’amour le defit d’exister c’est craindre la mort!
entropik
j’ai peur tout court, c’est çà l’amour…?
Jujupiter
Je sais ce que tu veux dire: je suis narcissique.
Esurnir
L’inverse est vrai.
MGZA
Oui, peur pour ceux que tu aimes aussi, tant mieux si c’est pour mieux profiter des instants partagés.
Val
C’est tellement beau l’amour et de sentir le soleil des deux cotés…..
Blah ? Touitter !