Noël juif
What Jews will do on Christmas?
“I think Loren is a tasteless slob”. [Shel Israel.]
What Jews will do on Christmas?
“I think Loren is a tasteless slob”. [Shel Israel.]
Si, comme moi, vous avez passé décembre dans des endroits plein de charme comme les soins palliatifs, les salons funéraires et autres fanfaronnades de la vie, vous voyez peut-être venir “les fêtes” avec toute la joie et l’excitation que l’on accorde généralement à la tête dans le four à gaz ou à une biopsie de la prostate […]
Pour les filles, mères de famille et travailleuses, le « temps des fêtes » est tout sauf une période de joie et de calme. Avec la participation sadique des magazines féminins, Noël se conjugue à l’impératif; « soyez la plus belle », « recevez sans stress », « offrez les plus beaux cadeaux ». Vous remarquerez la pression insoutenable qu’aucun magazine pour hommes ne se permettrait sous peine de faire fuir son lectorat horrifié. Vous remarquerez aussi que si on propose le « sans stress », jamais on ne va jusqu’à l’indigne « osez ne pas recevoir pan toute, restez en pyjama et faites des mamours à ceux que vous aimez vraiment ».
[Chroniques blondes : “Esprit de Noël, es-tu là ?”]
Pour moi aujourd’hui c’est ça l’esprit de Noël: cette amertume de ceux qui ont souffert qui est parfois interprétée comme une insulte par ceux qui n’ont pas souffert ou qui veulent protéger une vision lisse de Noël, quasi foetale, PèreNoëlesque… Attention Ebenezer Scrooge t’attends au tournant là ;-)
Euh, la remarque n’est pas de Mr Gloaguen, hein…
@diripouf en effet… il y souscrit seulement…
décidement, après la proposition d’une banniere “anti-feldman”, j’aurai bien rempli mon quota de commentaire à la con ce mois ci…
C’est curieux. Pour ma part, mon grand-père, que j’aimais beaucoup, est mort au mois d’août, en pleine canicule, dans des conditions pénibles.
Pourtant, je vois arriver l’été avec joie, même si les magazines emploient aussi l’impératif (perdez 5 kilos…)
Sans doute ai-je oublié de blâmer le calendrier.
Où l’on constate le peu d’influence des impératifs des magazines sur Maître Eolas.
Pour que le parallèle soit moins fallacieux: le jour même du décès dudit papy êtes vous obligé de recevoir la famille au grand complet, avec tout le boulot (et courses) que ça inclut, après avoir claqué une fortune dans des cadeaux achetés dans des magasins bondés? Et s’attend t’on à ce que vous soyez plus appétissant que jamais, précisément ce soir là? Même pas en sueur?
@sic : voyons, il ne fait aucun doute que notre Maitre à tous est appétissant, même en sueur. A la réflexion, peut-être surtout en sueur, que ne le sais-je point en vérité ? (soupir pensif)
J’avoue entretenir une relation je t’aime/moi non plus avec noël. Autant je me réjouis de faire une pause dans le boulot, revoir une partie lointaine de la famille, autant supporter le rituel des mômes submergés par des cadeaux dont ils n’ont rien à foutre au bout de 10 secondes ou par les éternelles mêmes remarques de l’oncle/cousin/neveu (de la tante/cousine/nièce, pas de jalouse les filles), que l’on doit se taper…
Mais c’est devenu tellement à la mode d’être ’anti-noël’ que je ferme ma grande gueule, voilà…
J’aime bien la pub en bas de page : « Soirée du nouvel an - Pour un réveillon inoubliable Réservez votre soirée à Bobino ». Moi je cherche un 4è pour une touze de Noël sur le thème « venez mettre votre petit jésus dans nos crèches ».
Oh ! Tu m’invites, Padawan ? ;-)
n’auraus-tu pas oublié “goinffrez vous à Noël sans prendre un kilo” ?^^
“Un blogue, c’est l’expression d’un égo masturbatoire. Beaucoup d’énergie à projeter sa semence en pure perte. Mais ne vaut-il mieux parfois se branler que d’être mal accompagné ?”
[Écrans : “C’est quoi, un blog ? À l’occasion des 10 ans du mot « blog », nous avons demandé à 23 blogueurs français leur propre définition.”]
Mais quel est le blogueur crétin qui a dit ça ? C’est vraiment n’importe quoi.
(Note à moi même : ne plus répondre à une journaliste en rentrant d’une soirée trop arrosée — avec des gens bizarres en plus. Ça en parle ici ou là.)
Tiens, les 21 blogueurs ont fait deux petits ? Avec qui t’es-tu accouplé, Lolo ?
PAs bon pour ton ego, tu “définition” à droit aux honneurs du header de “Ecrans”.
Mon collègue François Bonhomme se plaint que les élèves ne croient pas en l’existence du passé simple. Quand il prétend leur faire apprendre une forme telle que “nous fûmes”, on lui répond “mais ça n’existe pas, ça, vous inventez.” Plusieurs fois, il a dû montrer son Bescherelle pour vaincre le scepticisme général. Les élèves n’avaient tout simplement jamais entendu une chose de ce genre.
[…] Les principales victimes de cet appauvrissement sont la phrase —je ne dis pas la phrase complexe, mais la simple proposition comprenant un verbe conjugué—, la ponctuation et la nuance. A l’oral, tout se crie ; à l’écrit, l’affirmation sommaire écrase tout. La distinction entre oral et écrit n’est d’ailleurs plus vraiment pertinente. L’influence des skyblogs, de MSN, des SMS et d’autres plateformes de bavardage inconsistant est directement observable dans les copies. De façon plus générale, les nouvelles technologies font passer la nécessité de parler juste et de bien écrire pour des archaïsmes. Lors des évaluations, un nombre croissant d’élèves n’écrit plus du tout : ils entourent ou soulignent des extraits de l’énoncé, en pensant que cela répond à nos questions. On doit leur expliquer, souvent en vain, qu’on ne peut pas utiliser une feuille de papier comme un écran d’ordinateur plein de liens hypertextes.
A la longue, cette contestation ouverte ou implicite de la norme linguistique induit un malaise certain chez ceux qui la défendent. Après tout, la langue, c’est un contrat passé entre tous ses locuteurs, un contrat constamment révisable ; alors s’il n’y a plus qu’une poignée de puristes pour défendre l’existence du passé simple, n’est-ce pas à eux de convenir que leur acharnement est vain ? Exit nous fûmes, adieu ils allèrent, du balai vous apprîtes. Mort aux vieilleries. Faisons le ménage.
[Au collège : “Ils s’enfermèrent“…]
Déprimant.
Cela cité, il demeure cependant quelques isolées lueurs d’espoir dans d’autres établissements, plus provinciaux : “Alphonse versus Gustave”.
Il manque une question essentielle, sur les méthodes. Enseigner les mêmes choses, d’accord, mais de la même manière qu’il y a 20 ans (moi) ou 30 ans et plus, je ne suis pas certain.
Je le suis d’autant moins que, responsable pédagogique dans une école accueillant des 20/23 ans, les élèves verbalisent très bien qu’ils n’en ont rien à faire des cours dont le contenu se trouve sur internet (avec un filetype:pdf ou ppt, dans google, on trouve les cours des grandes écoles …).
A mon avis, ce n’est pas le contenu le problème, fusse-t-il très technique.
Ah oui, Off Topic, un texte particulièrement intéressant. Qu’il ne soit pas écrit au passé simple ne lui enlève rien de son expressivité. (merci, l’autre m’aurait presque démoralisée)
Huuuu, c’est cru mon Off Topic… Elle n’est pas remboursée par la sécurité sociale ?
Tu trouves ça cru, Laurent ? Moi je trouve que c’est une belle histoire de partage et d’espoir tout à fait dans l’esprit de Noël cher à Eolas.
Ok, alors… si une “golden shower” est compatible avec l’esprit de Noël, je m’incline.
Le vieux monsieur lui offre des oranges (traditionnel cadeau de Noël) et elle conclut en disant : “Je leur apprends à être de meilleures personnes, et ils m’apprennent ça aussi.” (typiquement espritdeNoëlesque)
Mais le seul que je trouve pervers dans sa liste, c’est l’avocat.
Si je peux me permettre de reparler du texte initial (même si le témoignage de la copine d’Off-Topic est étonnant, troublant et émouvant): le propos sur “le niveau baisse”, “tout fout le camp” et “les jeunes ne sont plus ce qu’ils étaient” est vieux comme le monde. Il avait déjà cours chez les Grecs, il y a 25 siècles.
C’est une réaction naturelle de vieux, quand il se rendent compte qu’ils ne sont plus jeunes…
Les jeunes ont exactement le même discours au sujet des vieux cons, tellement déphasés avec le monde moderne qu’ils n’arrivent même pas à comprendre pourquoi, pour éteindre Windows, il faut cliquer sur “démarrer”, et que pour allumer un téléphone portable il faut appuyer sur la touche rouge, avec un téléphone barré, là où c’est écrit “no”… Ah les cons ! Pourtant tout le monde sait ça ! (merci à Christian Morel pour les deux exemples: “L’enfer de l’information ordinaire, dernièrement chez Gallimard).
@samantdi : “Mais le seul que je trouve pervers dans sa liste, c’est l’avocat.” Cela ne m’étonne pas une seconde. Ais-je déjà parlé d’un avocat de Boston ici ? Hmmm, naughty boy.
Laurent, je ne me souviens pas avoir entendu cette histoire. Peut-être à réserver pour la veillée du 24, surtout si elle est édifiante et si les méchants sont punis.
Tardif, en effet ! Un livre a même été consacré à ce sujet, “Le niveau monte” par Christian Baudelot et Roger Establet (Seuil, coll. Points Actuels, 1989) qui regroupe un florilège des lamentations, parmi lesquelles :
«D’où vient qu’une partie des élèves qui ont achevé leurs études, bien loin d’être habiles dans leur langue maternelle, ne peuvent même pas écrire correctement l’orthographe?» (Lacombe, 1835).
«J’estime que les trois quarts des bacheliers ne savent pas l’orthographe.» (Bérard, 1899).
«L’enseignement secondaire se primarise… Les élèves des lycées n’ont ni orthographe, ni vocabulaire exact et varié, ni connaissances grammaticales, ni analyse logique, ni méthode d’exposition écrite ou orale» (René Soudée, professeur au lycée Louis-le-Grand, 1936)
On peut aussi lire l’excellent article de Olivier Bouba-Olga sur le sujet. Clair et précis.
Il avait déjà cours chez les Grecs, il y a 25 siècles.
On a retrouvé ce même discours dans l’empire perse, à peu près à la même époque.
Cela dit, ce n’est aucunement une raison, ce n’est pas du discours “mes parents sont des cons” dont on parle, et qui est effectivement intemporel, on parle du minimum vital pour connaitre la société dans laquelle on évolue, pour comprendre le monde qui nous entoure, on parle d’anaphalbétisme, on parle d’impossibilité d’écrire autrement que dans un sabir inintelligible.
Au moins, les jeunes à une époque, envoyaient leurs parents se faire voir avec style, ça avait une autre gueule.
@ Samantdl:
Je trouve Bouba-Olga TRES optimiste de penser que le niveau ne baisse que de 10% pour ceux qui ont le Bac entre t et t+n.
En outre, tout dépend de quel baccalauréat on parle. Il faudrait vérifier, mais je ne serais pas étonné de constater que le taux d’illetrisme à l’entrée en 6e ne cesse de s’accroitre.
Laurent : c’est remboursé par la sécurité sociale aux handicapés dans le pays où je me trouve :)
Je m’occupe de ceux qui ont justement le plus de mal avec le langage écrit, et ce qui devient de plus en plus fort dans mon esprit c’est : pourquoi le français écrit n’a pas changé depuis le XVIIIe siècle ? On a eu le système métrique pour simplifier et rationaliser les mesures, pourquoi ne pas rationaliser la mesure du langage écrit ?
Le coup du “Faut pas de ’s’ à l’imparfait” dans les commentaires, la première fois, ça surprend.
Nul doute que Laurent aura dû adapter les relations qu’il pouvait entretenir avec le barreau de Boston au contexte de son équivalent parisien.
Il y a quelque chose qui me frappe dans l’évolution du français parlé, c’est la disparition des liaisons. Ce n’est pas nouveau, mais ça s’est accéléré depuis 2 ans, à commencer par les gens qui ne font pas la liaison avec les euros. Quand j’entends “di-eu-ros” au lieu de “di-zeu-ros” (10 E), ça me fait toujours sursauter ; idem pour les centaines (200 “Heuros”). J’ai parfois fait la remarque qu’il n’y avait pas de “h” à euro, et que si on disait “deu-zoi-seaux” on doit lier de même avec les Zeuros. Un jour, on va dire “tou-a-fait” au lieu de “tou-ta-fait” !
Sur la perte des liaisons, les présentateurs radio ou télé ne sont pas en reste, par exemple Ruquier qui un français relativement correct a décidé de bannir un maximum de liaisons.
mais pas du tout. Swann, qui n’est pourtant pas notre contemporain, omet certaines liaisons, et dit “commen allez-vous?” et non pas “comment tallez-vous ?”. ;))
La liaison n’est pas per se un signe de savoir parler ou de “correction ” de la langue, en fait elle reste un marqueur social, comme l’accent. Les “upper class” tendant par exemple à détacher les mots et à effacer les sons qui “traînent” (d’où liaisons phonétiques atténuées ou non faites), le parler “populaire” à lier les mots et à allonger le son. On retrouve ça aussi en anglais —mais il y a beaucoup de variantes, et les marqueurs de “situation socio-culturelle” no nseulement son t variés mais en plus ne sont pas la seule explication à l’existence d’une faço nde parler.
di-euros n’est pas plus ou moins correct que dizeuros, la sonorité ou le mutisme des phonèmes est une question de tendance.
Pour quelques pistes sur la “disparition” du passé simple, on pourra lire à profit un article d’Émile Benveniste… daté de 1959 ;-)
Magie sérendipitesque du blogage, par la grâce de la fée Samantdi, me revoilà plongé en plein Flaubert. (Est-il bien utile de préciser que Gustave fait partie de mon Panthéon personnel ?).
Un Flaubert moins connu est le critique littéraire… Dans nos contemporaines et mollassonnes époques littéraires pétries d’un “consensualisme” gluant qui se conjugue avec les jeux d’intérêts croisés au bénéfice de la promotion commerciale, et qui se résout quasi-invariablement en jets de fleurs mutuels, comme il est possible de les observer en certains carnavals de la Côte d’Azur, (et, au pire, en silence poli,) les jugements d’un Flaubert au milieu du XIXe siècle n’ont cesse de me réjouir de leur verdeur de plume sans ambages. (Note à moi même : penser à envoyer un paquet de merde au professeur de français qui, si elle vit encor, m’avait traumatisé avec un “Phrases beaucoup trop longues !” rageusement écrit au stylo-bille rouge… Maintenant que j’ai un blogue, j’écris comme je veux et je vous merde tous.)
Donc, rien que pour partager mon bonheur, un peu de Gustave :
“Quel homme eût été Balzac, s’il eût su écrire ! Mais il ne lui a manqué que cela. Un artiste, après tout, n’aurait pas tant fait, n’aurait pas eu cette ampleur.” (1852.)
“Je connais le Rouge et le Noir, que je trouve mal écrit et incompréhensible, comme caractères et intentions.” (1852.)
“Causons un peu de Graziella.. C’est un ouvrage médiocre, quoique la meilleure chose que Lamartine ait faite en prose. (…) Et d’abord, pour parler clair, la baise-t-il, ou ne la baise-t-il pas ? Ce ne sont pas des êtres humains, mais des mannequins. Que c’est beau ces histoires d’amour, où la chose principale est tellement entourée de mystère que l’on ne sait à quoi s’en tenir ! L’union sexuelle étant reléguée systématiquement dans l’ombre, comme boire, manger, pisser, etc. ! Ce parti pris m’agace. Voilà un gaillard qui vit continuellement avec une femme qui l’aime, et qu’il aime, et jamais un désir ! Pas un nuage impur ne vient obscurcir ce lac bleuâtre ! O hypocrite ! S’il avait raconté l’histoire vraie, que c’eût été plus beau ! Mais la vérité demande des mâles plus velus que M. de Lamartine.” (1852.)
“Il ne restera pas de Lamartine de quoi faire un demi-volume de pièces détachées. C’est un esprit eunuque, la couille lui manque, il n’a jamais pissé que de l’eau claire.” (1853.)
“Je ne trouve dans ce livre [Les Misérables ] ni vérité, ni grandeur. Quant au style, il me semble intentionnellement incorrect et bas. C’est une façon de flatter le populaire. Hugo a des attentions et des prévenances pour tout le monde. Saint-simoniens, Philippistes et jusqu’aux aubergistes.” (1862.)
Sur la forme, c’est plaisant. Sur le fond, par contre, il est un peu à côté…
Sur le fond, c’est plaisant. Sur la forme, par contre, je l’ai connu meilleur.
Et pour ton plaisir personnel, Gustave étant normand, l’université de Rouen lui a consacré quelques pages.
Et pour ceux qui veulent lire la prose de Flaubert sur leurs « carnets nomades »
The Lakota People have withdrawn from their treaties with the United States, citing numerous violations of those treaties by the US. They plan to start their own country, issuing passports and drivers’ licenses and living tax-free. [MetaFilter.]
Pour moi, Lakota, c’était juste ça.
Vous pensez sérieusement que je vais me réveiller samedi à 7 h 08 pour me branler ? Vous vous brossez…
D’après Wikipedia, le seul truc remarquable du 22 décembre 2006, c’est le gagnant de la star ac. Wèè, ça motive.
Bon, ça va être dur de trouver une raison plausible pour avancer l’heure du réveil.
« Chérie d’amour, et si nous observions la rosée couvrir délicatement les fleurs du jardin, tout en nous chatouillant mutuellement les zigouigouis ? »
Ça va jamais passer, ça.
Se réveiller si tôt alors que c’est le soir du Rêve planétaire ? Non merci !
Eliot Jay Stocks: “Destroy The Web 2.0 Look’ @ Future of Web Design, New York”.
[Via Pierre Carion.]
J’approuve à 100%. J’ai d’ailleurs le blog sans doute le moins look web 2.0 de la blogosphère.
A part peut être celui d’Etienne Chouard (mais lui c’est du non-point-zéro).
Je n’avais même pas remarqué que la Rondelle twittait… en même temps, Twitter, c’est une petite mort clinique, ça n’est pas si surprenant que ça de l’y retrouver :-D
+1, je redécouvre l’esprit de la Rondelle - de son fantôme devrais-je dire - dans touitteur avec bonheur et stupéfaction.
D’où l’intérêt de touitter.
Daniel Glazman
J’ai honte.
OX
Moi, j’ai mal pour lui: ça doit être douloureux d’être aussi con.
Manu
Ah heu non, a priori c’est d’être sage/intelligent qui rend triste/qui est douloureux.
scope
Dans 6 mois ce mec va finir sur Seesmic TV, peut etre est il deja investor ?
MamboJoel
Mais c’est juste de la provoc les mecs, pourquoi vous bectez?
Dav
Très bon!
gasper
@MamboJoel
provoquer quoi à ton avis?
MamboJoel
Bah du trafic sur ses sites à la con… C’est même pas du “web2.0”, enfin il me semble que c’est vieux comme le monde ça non?
gasper
provoquer du trafic donc… et non pas du rire, ou du divertissement, voire de la “dénonciation” de réflexes impérialistes. ce mec ratisse large en jouant sur l’ambiguïté d’une caricature du Texan moyen. ça génère du trafic, certes, mais ça reste un con.
scope
“voire de la “dénonciation” de réflexes impérialistes” : ici aussi on en entend de bonnes.
Marion
stupid question for this christmas we should all live in peace, with love and tolerance!
Blah ? Touitter !