Journal de bord

Je cherche un équivalent français à OMG et OMFG…

J’ai songé à OMED (Oh mon enculé de dieu). Vous avez mieux ?

1. Le 24 août 2009,
François

Putain de bon dieu Bon dieu de merde

2. Le 24 août 2009,
Laurent Gloaguen

Ah, oui, PBDM, pourquoi chercher midi à 14 heures !

3. Le 24 août 2009,
Macsym

Le français, plus paysan que chrétien aurait tendance à privilégier la référence bovine qui nous donnerait donc OLVSM pour “Oh La Vache Sa Mère !”

4. Le 24 août 2009,
Pep

Paysan, paysan… Ce bovidé-là me semble plus issu d’une cité quelconque que du milieu rural. :)

5. Le 24 août 2009,
Pep

Sinon, je rejoins assez François. Avec une déclinaison toute paternelle : “Putain de vérole de bon dieu de merde”…

6. Le 24 août 2009,
xave

Par les couilles de Jésute ! On blasphème icite ?

7. Le 24 août 2009,
Anne Onyme

pour moi qui fait peu référence à dieu, athée oblige, mais très porté sur la vulgarité, PBDM veut dire “putain de bordel de merde”

8. Le 24 août 2009,
Romain

Je ne crois pas que PBDM puisse convenir, OMG et OMFG sont le plus souvent utilises pour exprimer l’etonnement; je seconde Macsym quant a l’analogie fermiere.

OMG: Oh la vache!

OMFG: Oh putain (la vache)! (avec l’exclamation)

9. Le 24 août 2009,
pierre

Si on s’en tient au sens seulement “ca me troue le cul” ferait bien l’affaire mais ca manque de reference divine.

10. Le 25 août 2009,
padawan

J’aime bien le « que dieu me tripote » de Desproges. Mais je dis plus souvent « putain de bordel de merde à la con, chier ! ». Tu peux remplacer merde par dieu sans que le sens change. Etonnant, non ?

11. Le 25 août 2009,
Franck

Et OMC : « Ô mon Capitaine ! » ?

12. Le 25 août 2009,
erwan

J’aime bien dire “Mes Dieux !”, mais à l’oral, ca passe pas aussi bien ..

13. Le 25 août 2009,
Damien B

Personellement j’utilise OMG (Oh Mein Gott), c’est plus classe que l’anglais. Si on veut faire plus français, on peut partir aussi sur Nom De Dieu, ou Nom De Dieu De Bordel De Merde :-)

14. Le 25 août 2009,
Damien B

Y’a pas à dire, c’est pas terrible ce blog sans bandeau, et c’est assez gênant le truc gris transparent vu qu’on est toujours obligé de scroller sur cette blog.

15. Le 25 août 2009,
MGZA

Gast ar chast !

16. Le 25 août 2009,
Laurent Gloaguen

@Damien B : que proposes-tu ? :-)

17. Le 25 août 2009,
Nicolas B.

De virer cette bordellerie à cul de Dieu de transparence !

18. Le 25 août 2009,
Laurent Gloaguen

Moi, j’aime bien…

19. Le 25 août 2009,
Xavier

Morte-couille, mais jusqu’où ira-ce ?

20. Le 25 août 2009,
Emaber

Sainte-Merde !

21. Le 25 août 2009,
celui

Moi aussi j’aime bien. Mais c’était mieux avant (quand il ne changeait pas d’opacité au passage de la souris). Et pourquoi tu ne le mettrais pas en bas de page ;-)

22. Le 25 août 2009,
Laurent Gloaguen

Ah, enfin un jeune homme qui a bon goût.

23. Le 25 août 2009,
Nicolas B.

Bon goût ? Cette lèche de celui ? fais moi rire !

24. Le 25 août 2009,
celui

NicoB : Mais j’ai bon goût ! La preuve ? J’ai copié le graphisme de ton blog et j’ai rajouté un bandeau transparent à la embruns !

25. Le 25 août 2009,
Laurent Gloaguen

Où ça ?

26. Le 26 août 2009,
krysalia

Sinon il y a le très marseillais “oh pute vierge !”, mais je préfère PSMSR : putain sa mère sa race.

27. Le 26 août 2009,
Damien B

Moi je suis d’accord avec BeRewt d’abord.

28. Le 27 août 2009,
william

Bon Dieu Sainte Merde !

= BDSM ? :x

Blah ? Touitter !

Le temps de prendre un café, un bus et de traverser le 13e arrondissement de Paris, j’émerge, mal réveillée, boulevard Blanqui. Heureusement, la maison mère a gardé le goût des vieux imprimés. Le long des murs du service de documentation s’étalent des centaines de dossiers classés. J’espère trouver mon bonheur au milieu de ces milliers de pages consciencieusement dépouillées, mais j’ai beau chercher, le Groenland fait rarement les gros titres de l’actualité. Direction le sous-sol.

“Ici, m’explique la documentaliste, c’est l’antre du journal, sa mémoire vive.” Mis à part quelques habitués, rares sont les journalistes à y pénétrer. Nous longeons les armoires coulissantes. Quatre niveaux entiers sont consacrés à Jacques Chirac, mais pas la moindre trace de l’île nordique. Je commence à perdre espoir quand la documentaliste extrait une fine pochette d’un vieux dossier cartonné. A l’intérieur, une cinquantaine de coupures jaunies. Je tiens mon trophée, ma dose d’info.

Le Monde, Élise Barthet : “Un grand sabordage professionnel”.

P.S. Hum… C’est une épidémie dans les rédactions ?