Romance villageoise
Dans la commune de Puy-Saint-Pierre (Hautes-Alpes), l’union d’une figure locale, un vieux-garçon de 67 ans, avec une jolie Parisienne fait jaser. Localement, on est persuadé que cette femme de 42 ans, agente immobilière, en veut au portefeuille du retraité, grand propriétaire terrien. A tel point qu’une enquête a été diligentée et que les noces, finalement autorisée par le procureur, ont été célébrées samedi sous les huées.
Avec ses 520 âmes, Puy-Saint-Pierre n’a guère l’habitude des mariages. Et le dernier en date, dans ce village accroché à flanc de montagne au-dessus de Briançon, ne cesse d’alimenter les conversations. « On m’aurait dit ça il y a deux ans, je ne l’aurais pas cru », témoigne une habitante. Car le marié, tout le monde le connaît : Marcel Amphoux, 67 ans, agriculteur à la retraite, est un vieux garçon apprécié, mais au profil atypique. Il s’habille comme l’as de pique et « vit sa vie comme il l’entend », résume un villageois. Signe particulier : c’est le plus gros propriétaire terrien de la commune, où il possède cinq bâtisses en plus de la sienne.
Le Parisien, Louise Colcombet : “Leur mariage indigne les villageois”.
zerchove
ne pas négliger la suite
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/09/08/01016-20110908ARTFIG00438-l-etrange-disparition-du-marie-de-serre-chevalier.php
Morgan
Laurent, n’aurais-tu pas oublié la phrase suivante dans ta citation au début du 2e paragraphe : “Avec ses 520 âmes, Puy-Saint-Pierre n’a guère l’habitude des mariages.” ? Du coup, le début de la phrase suivante perd de son sens : “Et le dernier en date, […]”.
Laurent Gloaguen
Ah, copier-coller foiré…
Blah ? Touitter !