La calomnie, pourtant diffusée à très grande échelle grâce à Twitter, n’a pas freiné le succès de la pétition, qui compte aujourd’hui 1 600 000 signatures. Maître Eolas, qui a décidément les nerfs fragiles, a écrit : « Je me torcherais bien avec l’Institut pour la Justice si je n’avais pas peur de salir mon caca ».
Que reste-t-il, après ça, de l’image d’avocat guidé par la seule Raison, qu’il a si patiemment cherché à construire ? Ce n’est pas à nous de nous prononcer. La question est de savoir si sa maîtrise de la procédure pénale lui suffira pour échapper à une pitoyable condamnation au Tribunal Correctionnel, pour diffamation et injure. Car il est sous le coup, aujourd’hui, d’une plainte de l’Institut pour la Justice, diligentée par Maître Gilles-William Goldnadel.
Mais le plus triste dans la personnalité cachée de Maître Eolas, n’est pas là. C’est la façon dont cet avocat privilégie l’anathème au débat contradictoire, alors qu’il se voudrait être un modèle pour de nombreux jeunes qui se destinent à la profession. A tant attaquer ses ennemis sur la forme plutôt que sur le fond, Maître Eolas ne craindrait-il pas, tout simplement, la confrontation des idées ?
Atlantico, Xavier Bebin, délégué général de l’Institut pour la Justice : “La face cachée de Maître Eolas”.
Je suis extrêmement déçu par ce texte, on nous promet la face cachée d’Eolas, et puis, en fin de compte, rien.
Christophe D.
J’avais beaucoup aimé cette cartographie participative de Rue69 : http://bit.ly/v17pNk
Blah ? Touitter !