La direction de la rédaction, qui a décidé de cette Une dimanche soir, n’avait pas réfléchi aux conséquences en termes publicitaires. La régie du quotidien a très peu apprécié de ne pas avoir été prévenue de cette décision éditoriale. Elle ne peut que constater aujourd’hui l’ampleur des dégâts.
Dès la parution du numéro, les différentes sociétés dépendant du groupe LVMH ont fait savoir qu’elles retiraient leurs opérations publicitaires prévues d’ici à la fin de l’année. En tout, le manque à gagner s’élève à 150 000 d’euros pour le quotidien.
Mais ce n’est pas tout. D’autres entreprises du secteur du luxe, qui ne dépendent pas du groupe LVMH, ont annoncé qu’elles allaient retirer leurs campagnes par solidarité.
En tout, le préjudice pour Libération pourrait aller jusqu’à 700 000 euros, selon des sources internes.
Le Monde, Xavier Ternisien : “Lourdes pertes publicitaires pour Libération après sa Une sur Bernard Arnault”.
jrm
Le tunnel dans l’oreille (trois sur trois) serait donc un vecteur de tendresse ?
Krysalia
ça fait drôle de voir une holstein grasse du cou… celles qu’on voit dans les élevages industriels sont si maigres qu’elles n’ont pas de double menton !
padawan
Ah génial, il se prépare son propre bœuf Wagiu. La viande sera super tendre !
Gagarine
Ce que nos sociétés sont décadentes. Il faut lire le site de ce refuge pour animaux de ferme, c’est assez délirant.
@padawan, il ne compte pas la bouffer, sa vache.
Maxime
Sa maman ne lui a pas appris à ne pas jouer avec la nourriture ?
Blah ? Touitter !