Ah oui les autochromes viennent des collections du musée Albert-Kahn (Boulogne-Billancourt, Hauts-de-Seine). Sur le site Paris 1914 les couleurs des autochromes font beaucoup plus chatoyantes que sur le site du musée (comme si on avait un peu trop forcé sur le nitrite de sodium pour exagérer le rose des tranches de jambon), mais comme je n’y connais rien je n’insisterai pas. C’est bien émouvant.
Compte tenu de l’époque présumée (a priori quelque part entre 1960 et 1975) et du fait que la gente locale n’est pas réputée pour ses poitrines amples: oui, je dirais que le collectionneur avait un intérêt particulier pour les gros seins et/ou les occidentales…
Ce qui est fascinant, c’est qu’il s’agit de vrais clichés imprimés sur papier photo, pas de gravures…
Vraisemblablement importé par du GI stationné dans les parages.
karl, La Grange
Des photos tout en couleurs
Joachim
karl : tu trouveras plus de photos, des dates précises et des explications (les patates sont nos amies, le RVB aussi)
Laurent : Où est le bouton commander ?
oss'buc'
Ah oui les autochromes viennent des collections du musée Albert-Kahn (Boulogne-Billancourt, Hauts-de-Seine). Sur le site Paris 1914 les couleurs des autochromes font beaucoup plus chatoyantes que sur le site du musée (comme si on avait un peu trop forcé sur le nitrite de sodium pour exagérer le rose des tranches de jambon), mais comme je n’y connais rien je n’insisterai pas. C’est bien émouvant.
xave
Je voudrais pas faire mon vieux con, mais les nanas sexy de l’époque, c’était autre-chose que les anorexiques d’aujourd’hui.
Maxime
@xave: ou alors on est juste tombés sur un fétichiste des gros seins de l’époque.
Cela dit, j’avoue que moi aussi elles me plaisent, mais je veux pas passer pour un vieux con non plus.
Offtopic : Du cheval dans des steaks de bœuf.
xave
Ué enfin, j’aime pas tellement les gros seins non plus, mais qu’est-ce que j’adore cette courbe qui va sans angle de l’aisselle au genou…
Dave
Compte tenu de l’époque présumée (a priori quelque part entre 1960 et 1975) et du fait que la gente locale n’est pas réputée pour ses poitrines amples: oui, je dirais que le collectionneur avait un intérêt particulier pour les gros seins et/ou les occidentales…
Ce qui est fascinant, c’est qu’il s’agit de vrais clichés imprimés sur papier photo, pas de gravures…
Vraisemblablement importé par du GI stationné dans les parages.
OlivierJ
@Dave : sur ce blog dont le tenancier aime la précision, je me dois de signaler qu’on parle de la “gent” (sans “e”) et qu’on prononce comme “l’agent”.
ossobuco
Ça me revient ! Comme la « gent ailée » du quatrième jour !
Blah ? Touitter !