Où l’on découvre que l’essai contre le mariage gay et l’homoparentalité du grand rabbin de France, texte qui a beaucoup plus au pape, est aussi une imposture…
Plagiaire en série et faux agrégé… tricheur et menteur, voilà bien une belle autorité morale, un bel exemple pour la jeunesse.
Méfiez-vous toujours de ces corbeaux qui, au nom de dieu, veulent s’ingérer dans vos familles.
Par ailleurs, il semblerait que la saison de la chasse à l’homo soit ouverte en France. On parle de “printemps facho”…
Pire que dans une métropole chinoise, l’air de Paris semble irrespirable :
Ça fait des mois qu’on se réveille en entendant ces pantins de l’UMP et de l’église catholique nous chier à la gueule. J’étouffe, et pourtant je suis costaud, je suis militant, je suis entouré.
Le Roncier : “Les eaux troubles”.
Vous ne pouvez pas savoir mon bonheur de vivre au Canada.
Large photographs are impersonal. In order to see them, you have to stand far away. It’s as if the photographer doesn’t want you to get close to his image or establish a close relationship with it. It is not an arm’s length relationship. It is a way across the room relationship where the viewer must worship from afar. Whether it’s a deliberate tactic to separate the audience from a photograph or just a reflection of the artist’s ego that demands his work cover as much wall space as possible indicates to me the artist is not really interested in getting close to his audience and connecting with them. “Worship my Art from afar, you are not worthy to occupy the vicinity of my Art. Sniff.”
I am uncomfortable when my art gets too big. I’m pretty sure than stems from making silver gelatin prints in the darkroom. Big prints were expensive because everything needed to be big – negatives, enlargers, enlarging lenses, papers, trays, drying racks, dry mount presses… It was a major investment to jump from 11 x 14 to 16 x 20. And the worst part about it was you didn’t know if your negatives were good until it was too late. We all printed small. 8 x 10 was a standard size, 11 x 14 was a big print. 16 x 20 was for the accomplished artist. If you made prints bigger than 16 x 20, your name was Ansel Adams. I tried the bigger prints and they just didn’t work for me. I could not create the quality I wanted in a larger print, so my work stayed small.
I choose to make small photographs because I want you to be able to hold the picture in your hands and be able to look closely at it. I want you to spend some time looking at details and develop a relationship with the image.
Joe Lipka: “When Bigger Isn’t Better.”
Je souscris. Le 16 x 20 m’a toujours semblé un grand maximum en photographie.
je ne suis pas d’accord sur tout. Un poster d’une image classique oui, bien sûr, ce n’est pas agréable à regarder si ça doit se faire de loin et qu’il n’y a rien à observer dedans.
En revanche il existe de grands tirages qui sont faits pour présenter une richesse, à la fois accessible de près avec plein de détails fins, et de loin avec une ambiance d’ensemble. Ces images là, conçues pour la taille à laquelle on les tire, me semblent tout à fait adaptées et très intéressantes. Ce sont même celles que je préfère. C’est le cas par exemple de certains grand portraits ou de vues architecturales, de paysages, et même de macros…
Cela dépend en fait du type de photographies.
Les panoramas d’Hiroshima sont à voir en grand format pour trois raisons (au moins)
En sortir devient extrêment difficile. Émotionnellement.
Le panorama est une exception.
Celui que tu lies est en fait un photomontage de 5 photos carrées. Donc, suivant ma base, un 16 par 80 (5 fois 16), soit 40 x 200 cm, me semblerait suffisant.
À moins de vouloir agrandir du grain argentique et couvrir un mur style cyclorama. Ce qui conviendrait certes à un musée mais pas à une habitation standard.
flor
le “four women wanted”, c’est votre pire cauchemar? ;-)
Laurent Gloaguen
Peut-être pas le pire, mais certainement un. ;-)
Off Topic
4x “200 pounds”. Le gars a probablement cru mourir sous une montagne.
Blah ? Touitter !