Train raté
[…] C’est sans doute ça devenir âgée. Comprendre enfin que sur personne, pas même soi, on ne peut compter.
Tentons donc d’en rester à la loi première, de supporter, stoïque, les emmerdes, savoir qu’au fond elles peuvent aider et que le train qu’on rate est peut-être celui qui s’en va dérailler. Veiller à ne pas manquer les occasions de remarquer qu’à quelque chose malheur est bon.
Traces et trajets, Gilda Fiermonte : “À quelque chose (petit) malheur est bon”.
karl, La Grange
De Montréal
Blah ? Touitter !