Journal de bord

mardi 28 octobre 2014

Master Embruns

Master Embruns

J’aime toujours autant le blog d’Embruns et je suis toujours flatté quand il me cite (c’est bête, je sais) mais c’est un peu mon Master à moi.

William Réjault : “Mes 10 ans de blog : 2004/2014”.

Soudain, un blogueur vous jette des fleurs. (Fleurissez-moi ou fouettez-moi, l’essentiel est que vous pensiez à moi.)

J’ai toujours eu une relation ambiguë, ambivalente avec William, il y a des moments où il m’agace et d’autres où je le trouve très attachant. (Je suppose que je dois faire le même effet à certaines personnes, nous allons dire que c’est le lot des personnalités riches.) Cela dit, je préférais le regretté Brad Pitt Deuchfalh comme blogueur.

En tout cas, joyeux bloganniversaire.

Ah, j’oubliais l’info importante :

Je n’ai jamais couché avec un blogueur (à ma connaissance).

Ibid.

En 10 ans ? Ciel, c’est au-delà de mon entendement ; comment cela est-il possible ?

1. Le 28 octobre 2014,
karl, La Grange

Difficile à comprendre en effet.

2. Le 28 octobre 2014,
William Réjault

Bah, j’ai été dénicher quelques perles dans d’autres contrées, moins exposées :)

3. Le 29 octobre 2014,
Carlos Carmelo de Vasconcelos Motta.

Moi, j’aimais bien les photos de William Réjault en survêtement dans les sous-bois, quand il faisait des tutoriels de remise en forme sur le défunt, regretté et regrettable “Le Post”. J’étais alors au chômage et ça mettait un peu de sourire à ma vie. J’ai été lui dire sur son blog, d’ailleurs. Je crois que “Le Post” (et Guy Birenbaum), ce sont un peu ce qui l’ont lancé dans Paris.

4. Le 30 octobre 2014,
William Réjault

Euh, oui mais non. Mon blog, plutôt.

5. Le 30 octobre 2014,
padawan

Bah, j’ai été dénicher quelques perles dans d’autres contrées, moins exposées :)

Mais ce n’est pas faute d’avoir essayé en France, hein William ? ;-)

6. Le 30 octobre 2014,
William Réjault

Euh je t’ai jamais rien proposé, dis donc, qu’est-ce que tu insinues :p

Blah ? Touitter !

Gloire trifluvienne

Years of running drugs and boosting cars left Frank Bourassa thinking: There’s got to be an easier way to earn a dishonest living. That’s when he nerved up the idea to make his fortune. (Literally.) Which is how Frank became the most prolific counterfeiter in American history —a guy with more than $200 million in nearly flawless fake twenties stuffed in a garage. How he got away with it all, well, that’s even crazier…

GQ, Wells Tower : “The World’s Greatest Counterfeiter : Frank Bourassa.”

Cette histoire est incroyable, le bonhomme extraordinaire (François Bourassa de son vrai nom). Il n’a passé qu’un mois et demi en prison, on peut dire qu’il a baisé le système. Les médias québécois n’en ont que peu parlé, contrairement aux américains.