Moi aussi. Nous avons donc des points communs. Ses séides m’ont traité d’antisémite et de misogyne (mais je veux bien admettre partiellement le second adjectif d’un point de vue sexuel). Sa seule réaction fut “il m’attaque, c’est que je suis une femme”. Du Ségolène Royal avant la lettre.
Je suis entièrement d’accord avec Natacha quand elle dit “la réputation devient un enjeu important aujourd’hui sur le Net”…
Je n’ai rien à ajouter sur le sujet que je n’aie déjà écrit.
Et, qu’ajouter de plus à la crasse bêtise de la clique de défenseurs de Natacha Quester-Séméon… Connards ? Pourquoi me faire aussi vulgaire qu’eux et m’abaisser à leur niveau de débats.
Sinon, il y a la “République des blogs” mercredi. Je n’en serai pas, non parce que je craindrais de tomber sur une Natacha ou quelconque autre “journaliste citoyen”, mais car je me trouverai à Montréal.
Critiquer le travail de Natacha Quester-Séméon n’avait rien d’une “polémique de basse-cour nauséabonde” (pour reprendre les termes d’une certaine Liloo), il s’agit de se questionner sur une certaine pratique du vidéoblogue et du soi-disant “journalisme citoyen”. La basse-cour nauséabonde, ce sont les caudataires de Natacha qui occultent complètement le fond pour m’accuser d’être motivé par l’antisémitisme, le sexisme et de dieu sait quoi encore.
J’ose critiquer le travail de Natacha Quester-Séméon, pour des raisons tout à fait recevables (éthique, déontologie, savoir-vivre, droit à l’image), et voilà que je me trouve face à un déchaînement de haine dans les commentaires de Loïc.
Tous ces mecs qui s’acharnent sur une belle fille pleine de talent, qui n’a eu d’autre tort que celui de montrer (bien involontairement !) que le captain était un tout p’tit mec, dans tous les sens du terme. On dirait que cela cache autre chose. Lutte des classes, misogynie, antisémitisme… et quoi encore ?
Être belle n’est en rien une excuse et n’a pas été, jusqu’à plus ample informé, un critère d’intelligence. De plus, je suis pédé et insensible à ce genre d’argument.
Je ne mesure que 170 cm, et, en effet, j’ai l’air d’un nain à côté de Loïc Le Meur.
La lutte des classes… qui peut encore appréhender le réel avec un concept aussi éculé ?
Oui, je suis misogyne. (Comme je suis anti-félidés et misanthrope.)
Natacha ayant oublié de porter son étoile jaune, ne la sachant donc juive, il m’eut été hélas difficile d’être animé par mon antisémitisme bien connu.
Avant d’être réactionnaire, misogyne et antisémite, je suis atterré par la connerie. Il semblerait que le lectorat de Loïc Le Meur en soit une mine inépuisable.
Je n’aurais d’ailleurs pas eu à karchériser mes commentaires si Loïc ne m’avait pas envoyé sa racaille.
Vous aurez compris que les séides de la Natacha commencent à sévèrement me casser les couilles.
P.S. Citation du jour. “Peut-être que mon tort est celui de poser des questions ‘difficiles’ ou tout simplement d’être une femme ?” — Natacha Quester-Séméon.
Groumpfff… J’invite Natacha Quester-Séméon pour son édification à aller voir du côté demesgroupies.
P.S. bis. Je note également que Natacha Quester-Séméon est négligente au regard de la loi pour :
publier des images de personnes ayant clairement manifesté leur refus. (Je ne parle bien entendu pas de moi, j’ai implicitement accepté en répondant aux questions — même si j’avais aussi dit non avant.)
Héberger des commentaires très diffamants à l’égard de ma personne.
Pour quelqu’un qui se targue de faire la promotion de l’éthique sur le Net (nethique.info), cela me fait un peu sourire.
Enfin, le problème, ce n’est plus Natacha, qui semble rétive à toute compréhension et regard critique sur son travail, ce sont ses thuriféraires acrimonieux.