Il est de ces réalités que les Québécois ont tout le loisir de déplorer et de décrier haut et fort, mais qui, mises en bouche par un Français, deviennent immédiatement intolérables d’arrogance.
Je suis déçue par mes compatriotes. Le racisme latent qui existe au Québec n’est pas qu’imaginaire. Il est palpable et bien réel. Et affligeant.
[Ebb.]
Pense-bête. Ne pas oublier le premier tiers des impôts ! (Moi et la paperasse…).
Mensualisation, prélèvement automatique ? Des solutions existent, parlez en à votre inspecteur des impôts ou aller sur http://www.impots.gouv.fr/
“So no what?” C’est la question que pose Martine après s’être inscrite sur Orkut.
Cela fait déjà un bon moment que je n’ai plus aucune nouvelle de LindedIn : quelques contacts au moment de mon inscription, depuis, silence radio complet. Et maintenant que j’ai créé mon réseau d’amis chez Orkut, je me pose exactement la même question que Martine : “Et alors, maintenant ?”
Si Orkut semble rencontrer un bien plus grand succès que LinkedIn, sans doute par ses aspects ludiques, et que mon réseau y est bien plus important, je fais quoi maintenant ? Cela va me servir à quoi ? Je n’en ai fichtrement aucune idée.
Tentons de dégager les points marquants de mon expérience avec Orkut :
C’est déjà ça de pris. Mais ça ne va tout de même pas bien loin…
Et si finalement Orkut n’était qu’une affaire d’ego mal placé ? Et si finalement toute cette mode des “logiciels sociaux” était une vaste connerie ?
Laurent, je t’ai déjà dit d’arrêter tes viles flatteries envers Nicolas ! Fais attention ou tu t’exposes à une troll war ;-p
Je n’ai rien trouvé de nouveau sur ces sites, rien qu’on ne pouvait pas faire avant avec la messagerie instantanée, les forums de discussion, les wikis, le courriel ou même le cybercarnet. Les logiciels sociaux ont l’avantage de rassembler toutes ses possibilités en un seul endroit mais ils arrivent un peu tard à mon avis, alors que nous avons tous déjà établi d’autres patterns de communication et qu’il nous est difficile - voire inutile - d’en adopter de nouveaux.
Leur intérêt pour l’instant réside en cette construction du réseau “d’amis” et tient sa force à même notre désir de découvrir les “6 degrés de séparation” qui nous rattachent à des gens connus. Je ne leur prédis pas un grand avenir, mais bon, il m’arrive de me tromper…
Pour l’instant, j’ai trouvé quelques liens utiles dans les communautés et je vois ça comme un gestionnaire de mailing-liste assez interessant. Non, ce n’est pas révolutionnaire, mais on pouvait s’en douter.
Les commentaires anonymes continuent de fleurir chez Loïc Le Meur, je ne peux m’empêcher de les reproduire ici…
On voit que Laurent n’est nullement un faiseur d’opinion (bien qu’il veuille en etre un). Que lui et sa petite bande jouent aux flics municipaux qui decernent des brevets de bonne reputation, ca les regarde. Ce n’est pas des abrutis usant des methodes de basse police qui vont faire la loi. Sa reputation a lui, c’est celle d’une hysterique, pleine aux as, qui a ses regles.
Méfiez-vous, je suis le Sarkozy de la blogobille francophone, tenez-le vous pour dit !
Pendant ce temps, Loïc réagit :
Je trouve ces propos ridicules parce que je ne suis pas d’accord avec le petit club qui s’en prend à moi sur cette note !
Les blogs sont un espace d’expression, la “revue produit” positive ou négative comme je l’ai faite ici va beaucoup se développer sur les blogs et les marques vont réagir.
Pour l’anecdote, mon post sur le même sujet sur mon blog en anglais n’a pas déclenché ce genre de messages au contraire… quelqu’un que je ne connais pas m’a tout simplement mis en relation avec un des concepteurs du Treo pour m’aider !
Juste une conception différente des blogs…
Ce qui me fait furieusement penser à une vieille publicité pour les rillettes du Mans : “nous n’avons pas les mêmes valeurs”, et c’est là que le bât blesse. Mes salutations à mes copains du “petit club” (ils se reconnaîtront).
Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas fait traité en si peu de temps de facho, de cafard, de connard, de donneur de leçons, de flic, d’abruti, d’hystérique, et que je ne m’étais pas fait prié d’aller me faire foutre. Ah, ça me rappelle le bon vieux temps…
Blah ? Touitter !