On peut faire des choses magnifiques avec des moyens limités : The Sad Song, par Fredo Viola. À voir, à entendre. [Via Martine.] La vidéo, dans un format très original, est composée de mini-clips réalisées avec un Nikon Coolpix 775 (un appareil photo numérique à 160 euros). Le découpage en cases colle de près aux canons uni-vocaux de la chanson.
Découvrez aussi les d’autres chansons de Fredo Viol en MP3, elles méritent aussi le détour.
Lu chez CCN, parmi d’autre perles adressées d’une rive à l’autre de l’Atlantique :
Real Americans aren’t interested in your pansy-ass, tea-sipping opinions. If you want to save the world, begin with your own worthless corner of it.
[Guardian, Dear Limey assholes.]
Voilà qui devrait rafraîchir les Atlantistes de la Perfide Albion.
Ah, et la citation du jour :
Comme vous le dites, les choses changeront “si les Américains le veulent”, mais, pour mettre les choses de manière un peu sèche et brutale: d’un point de vue purement *statistique*, les Américains sont des cons; des cons ignorants et facilement manipulables.
[drDave, qui doit gagner la palme du plus long commentaire de mon carnet.]
(Oui, c’est sorti de son contexte, mais c’est pour revenir sur un fil de commentaires diablement intéressant).
Loïc se livre à des ébats sado-maso homosexuels dans un sauna :
It was a real pleasure to whip Joi (and get whipped too of course) with birch branches. We stayed some time naked outside with an outside temperature of just a few degrees without even feeling it just before cooking our own sausages. The whole, amazing experience, took several hours.
[Loïc Le Meur, alias “Jolies cuisses” (Google).]
Traduction libre : “C’était un vrai plaisir de fouetter Joi (et bien sûr d’être fouetté par lui aussi) [Encore, encore, fais moi mal, Joi.] avec des branches de bouleau. Nous restâmes nus [Hmmmm.] quelques temps dehors, avec une température de juste quelques degrés, sans même le ressentir, avant de faire cuire nos saucisses [Double sens ?]. L’entière et étonnante expérience dura plusieurs heures. [Plus c’est long, plus c’est bon.]”
Aujourd’hui dans le Journal du Net : CFDT.fr - CGT.fr : le match.
Je propose un autre match amusant :
- CGT : “No DOCTYPE Found!”
- CFDT : “No DOCTYPE Found!”
Bilan : égalité, aussi nul l’un que l’autre.
(Avec un Doctype, la CFDT serait un peu moins mauvaise que la CGT.)
et on ne peux pas faire un include asp avec une variable à l’intérieur… donc l’a dans le cul et il faudra penser à rajouter en dur dans le cas d’une troisieme marque !
Chic, j’ai grillé Totalement crétin sur ce coup là. Merci à Neuf Télécom pour ce grand éclat de rire de la journée. [Via un informateur qui souhaite garder l’anonymat.]
Volé ce commentaire chez Les petits carnetiers du Devoir :
Le debat sur le sujet de la langue au Quebec devient d’autant plus epineux lorsque l’on doit confronter ses vues a celles de francophones a l’etranger. En effet, malgre la diplomatie qui empeche la majorite des gens de s’exprimer sincerement devant un Quebecois, il n’en demeure pas moins que pour eux, nous avons un parler creolise, envahi par l’anglais et un accent de paysan sous-instruit. Douloureux, mais c’est neanmoins une opinion tres repandue. D’accord pour la creolisation, d’accord pour l’omnipresence de l’anglais, et meme d’accord pour l’accent d’habitant. Mais un instant quand il s’agit de nous prendre pour des non-eduques et des sous-developpes du cerveau! Lorsque qu’un peuple reussit a garder sa langue malgre les millions de locuteurs anglophones sur le continent, lorsqu’une culture litteraire et musicale continue a susciter le plus grand des orgueils chez ses exportateurs, je crois qu’il est plus que legitime d’etre fiers d’etre plus que de pauvres anglophones, dans une mer d’anglophones.
Si on ne cesse de critiquer l’usage courant que l’on fait de notre langue, on finira par la detester et la laisser mourir… Ce n’est pas la langue qui fait vivre le peuple, mais le peuple qui vit sa langue!
Anne, assistante de francais, Irlande du Nord.
(Il n’y a pas d’accents sur les claviers en Irlande…)
Lire aussi : Jean-Luc Gouin, Québécois ou Québec coi ?
Blah ? Touitter !