Une étude portant sur 87 650 patients met en cause les inhibiteurs sélectifs de recaptage de la sérotonine, connus sous les marques de Prozac, Zoloft et Paxil. Ces anti-dépresseurs seraient responsables d’un doublement des tentatives de suicide. [British Medical Journal.]
Les Québécois, manipulés depuis des décennies par le lobby pro-amiante, leurs médias et leurs gouvernements provinciaux et fédéraux complices, pouvaient encore croire aux bienfaits du chrysotile et à l’utilisation raisonnée de l’amiante. L’amiante est proscrite dans la plupart des pays industrialisés (dont toute l’Europe et les états-Unis). Résultat, Québec et Brésil exportent de l’amiante dans les pays du Tiers-monde, où; justement, il n’y a aucun usage raisonné de l’amiante.
Vendredi soir, un courageux reportage était enfin diffusé sur Zone Libre de Radio-Canada.
Réaction : “La mairesse d’Asbestos, Louise Moisan-Coulombe, a qualifié le reportage de Zone libre de « destructeur ». Celle qui est aussi conjointe du président de Mine Jeffrey se dit en désaccord avec l’angle du reportage, qui ne démontrait, selon elle, que le côté sombre de l’amiante.”
Il serait bien temps que le gouvernement québécois dise “stop, on arrête tout” et que le Canada reconnaisse les fautes passées et sa criminelle complicité. à quoi bon s’acharner pour une industrie déclinante, maintenue en vie à coup de subventions publiques ?
Rappelons que le Québec est l’endroit du monde où; l’on relève la plus forte incidence du mésothéliome pleural (hommes et femmes confondus). Sur 180 Québécois mourant d’accidents du travail chaque année, 60 sont des victimes professionnelles de l’amiante. En avril 2004, Ressources naturelles Canada a octroyé un montant de 775 000 dollars, sur trois ans, à l’Institut de l’amiante, le groupe de pression pour une “utilisation sécuritaire” de l’amiante. Le ministère des Ressources naturelles du Canada est également à l’origine d’une directive fédérale faisant la promotion de l’amiante non friable dans les travaux de construction fédéraux.
EM
Il paraitrait qu’ils lèvent les dernières barrières qui nous retiennent du suicide. Ils permettent d’”oser” pour aider à la thérapie — que ce soit dans le bon ou mauvais sens du terme.
Nicolas
Si j’ai bien compris l’intérêt du Prozac c’est de permettre le passage à l’acte. Pour permettre au patient de ce décider à faire des choses.
Autant quant on à des idées optimistes cela peut être positif autant cela deviens dangereux quant les idées deviennent noire.
Mais, la prescription de ce genre de produit revient bien à un médecin qui est censé bien connaître ses patients, donc à eux de bien faire leur travail. Et dans ce sens la réforme de la sécurité sociale instaurant un médecin référant est une bonne chose puisqu’elle permet justement aux médecins de mieux connaître leurs patients et de les orienter de façon adéquates.
Steph-la-blonde
Nicolas: exactement ce que m’expliquait mon médecin lorsque je lui posais la question concernant les risques de devenir suicidaire avec du Zoloft. Le médicament aide la personne à “s’activer”, et dans des cas de dépression importante, “l’activation” (à laquelle la personne n’est pas habituée) peut avoir des effets malvenus.
Cela montre à mon avis qu’il est important que la prise de tels médicaments soit accompagnée d’un suivi thérapeutique sérieux, et ne devienne pas en soi la “solution unique” à un quelconque problème.
Bien entendu, il y a peut-être d’autres facteurs rentrant en ligne de compte pour expliquer la corrélation entre ce traitement et la hausse du taux de suicide.
Laurent
En fait, le Prozac doit libèrer aussi de l’anxiété face au passage à l’acte… D’où + de suicides. Surtout qu’il est prescrit en première intention par les généralistes à tous les déprimés ou presque. Une population à risques.
JP
Le problème est infiniment plus grave que celui du prozac, qui n’a rien de spécial. Tous les anti-dépresseurs efficaces découverts antérieurement augmentaient déjà le risque de suicide, et c’est parfaitement logique, puisque effectivement un anti-dépresseur, par définition, lève l’inhibition et facilite le passage à l’acte.
Dès le départ, le lien Prozac-suicide était donc très probable. Les administrations contrôlant le médicament devaient donc obligatoirement prendre au sérieux ce risque jusqu’à preuve du contraire.
Au lieu de suivre ce principe indiscutable, les administrations ont postulé (contre toute vraisemblance) l’inocuité du Prozac jusqu’à preuve du contraire.
FRED DU VAR
JE LIS AVEC EFFROI LES EFFETS CONTRAIRES DU ZOLOFT. MON EPOUSE EST DECEDEE IL Y A UNE SEMAINE D’UN SUICIDE PAR PENDAISON. ELLE ETAIT SOUS TRAITEMENT PAR ZOLOFT….. JE RESTE SEUL AVEC MES DEUX ENFANTS DE 10 ET 12 ANS DEVANT CETTE ENIGME: POURQUOI ?
florent
Je suis desolé de ce qui est arrivé à fred du Var. j’ai moi meme suivi un traitement de fluoxétine durant deux ans et demi. nous avions commencé par le seropram, qui failli me couter un accident de voiture lors de la premiere prise; je fus subitement pris de vomissement suivi qqe minutes plus tard d’un évanouissement. Je jetai bien sur ce medicament et retournai voir le medecin que fit un rapport au fabricant. je refusai bien sur de continuer un tel traitement. Quelque mois plus tard, ma dépression s’aggravant mon psychiatre finit par me convaincre de prendre du prozac. Les prises des premiers jours donnent indéniablement envie de se suicider. Néanmoins, au fil du temps mon état s’améliorait grandement. La désinibition facilte grandement la vie; j’ai été jusqu’à osé cesser mon travail pour reprendre les études dont je revais; Mais le revers peut etre tres inatendu. Je me levais un matin et passait une bonne journée dont j’avais pris l’habitude; le soir, à la suite d’une contrariété (perte d’un portefeuille), je me sentais tres nerveux; deux heures plus tard j’ai avalé 4 boites de médicaments. Aucun medecins n’a pu m’expliquer comment apres deux ans de “pillule du bonheur”, et une vie reconstruite, j’ai pu subitement me suicider? Pour la petite histoire, mon père s’est lui meme suicidé il y a qqe année en suivant un traitement de chlorydrate de fluoxétine (la pillule
Blah ? Touitter !