Journal de bord

lundi 2 mai 2005

That’s life !

Betty, Pox, Spiff… nous nous attachons à eux à force de lire et de voir leurs aventures.

Et surtout, on mesure la douleur de leurs maîtres quand l’inévitable arrive, et on souffre pour et avec eux, cela s’appelle de la sympathie.

Bref, je suis attristé ce soir.

1. Le 2 mai 2005,
Vinvin

Le texte que tu as mis en lien chez moi est tout bonnement excellent… Essayons d’imaginer les phases d’après. Le repos. Les vacances. Le recul. Le recommencement. ET puis tout cela n’est pas très grave au fond. Pour moi les hommes sont des singes en col roulé, et tout cette farce est destinée à occuper le temps en attendant la mort. Le tout à l’égo, version je m’amuse.

2. Le 2 mai 2005,
Laurent

Heu, je ne pense pas que ce soit le billet forcèment très approprié pour parler de cela…

3. Le 3 mai 2005,
Veuve Tarquine

Betty, depuis tout ce temps qu’on la fréquente, on a l’impression de lui avoir passé la main dans son pelage soyeux… Alors je profite des commentaires de ce billet pour lui lancer un dernier salut et faire part de toute mon amitié à Edouard.

4. Le 3 mai 2005,
Vinvin

Désolé. fatigué en fin de soirée, je n’ai pas vu le contexte. Tu peux suppr si tu veux. Bonne journée.

5. Le 3 mai 2005,
Martine

C’est pas facile de perdre un compagnon/animal, d’autant plus qu’il y a peu de gens qui comprennent ce genre de deuil. On nous accorde le droit d’être triste pendant 24 heures et encore… Pourtant, il est rare qu’on passe 15 ans de notre vie avec la même personne comme on le fait avec un chien ou un chat. S’ajoute à cela un sentiment de culpabilité face au choix de l’euthanasie. Ce n’est pas facile d’avoir ce pouvoir de vie ou de mort, un pouvoir qu’on a rarement avec les humains.

Bon courage, Édouard.

Blah ? Touitter !

Malheureux

Oui, malheureuse inconséquence des mots. Et, pour le fond, je ne pense pas que ma caissière du Monoprix se libère au travers du travail. Et à Dachau, le travail libérait de la vie.

De toutes façons, Nietzsche ne connaissait pas Monoprix. O tempora, o mores !