La pipe de l’été
Le supplément “été” du Libération de ce jour.
J’avais espéré un dossier sur mon accessoire de plaisir préféré. Il va sans dire que je fus déçu.
Le supplément “été” du Libération de ce jour.
J’avais espéré un dossier sur mon accessoire de plaisir préféré. Il va sans dire que je fus déçu.
“OK, quand on les suce, on est à genoux. Mais en même temps, on les tient par les couilles.”
Citation extraite de la série Sex & The City, relevée par Libération aujourd’hui dans son “cahier été - spécial pipe” (article qui n’est hélas pas disponible en ligne).
Que ne ferait-on pas pour aller chercher le lectorat (autant valable pour le quotidien que pour le blogue qui publie la citation ! :)
C’est à cette heure-ci qu’on me prévient !… Et tous les kiosques qui sont fermés, pfff, c’est vraiment dégueu. (Chaudes larmes du lectorat qui a loupé ça.)
Euh Laurent, tu serais pas un peu… je vois juste à l’instant le titre de ton billet suivant. Etonnant garçon, toi quand tu sors d’une piscine, t’es complètement en feu ! Quelle belle nature…
On peut sucer dans plein de positions, avec ou sans tenir les couilles. Cette citation est bien réductrice !
Toujours dans Libé :
“Selon les premiers éléments de l’enquête, les policiers se sont rendus compte que le corps de cet homme avait été transpercé par… un étalon qui l’a sodomisé.”
On ne parlera jamais assez des conséquences tragique du dopage, y compris dans le milieu hippique.
Faut pas avoir les yeux plus gros que le ventre me disait ma maman…
Eolas
Non d’une pipe, il a refait surface.
Si tu cherches ton canard en plastique, c’est M le maudit qui te l’a piqué.
PS : Welcome back.
padawan
Roooh, Maître, nom d’une pipe, quel sens de la répartie ! J’aimerais beaucoup assister à l’une de vos plaidoiries pour voir comment vous enfoncez la tête de la partie adverse sous l’eau :-).
Salut Laurent, ça fait plaisir de te voir (enfin, façon de parler ;-)).
Laurent, Mou du Bulbe
J’ai pas compris l’histoire du canard en plastique…
Eolas
Humour de blogueur, t’as perdu l’habitude, normal.
Non, c’était juste une façon, assez pathétique semble-t-il, de filer ta métaphore sur la piscine. J’avais trouvé mignon d’agrémenter ta piscine d’un canard en plastique et d’y ajouter une dénonciation calomnieuse de M le Maudit.
Vala vala.
OK, je sors.
Laurent, Liquéfié de la Cafetière
Ah…
Faut comprendre ma perplexité, M. Le Maudit et moi, c’est un sujet sensible, une histoire compliquée, et je l’imagine très bien me piquer mon canard en plastique à moi, le petit monstre.
Veuve Tarquine
Et moi te voir l’attraper à bras le corps pour faire mine de le noyer… Si heureuse de vous lire Monsieur le Capitaine au long cours !
François Granger
J’arrive toujours en retard…. pour te dire que moi aussi j’ai grand plaisir à te relire ici, ailleur aussi d’ailleur ;-)
nicolas
C’est ce canard en plastique ci ?
M LeMaudit
COIN
(Tout ça se paiera ! :-p)
karl
Et il faut dire que la pipe a des convolutions bien particulières et riches. Cela tient de l’art, de la joute oratoire, de l’expression labbiale
“Freddy la Lope, qu’était gourmand de ce truc-là, taillait des pipes dans les tasses près de la gare Montparnasse (LE BRETON 1960).”
Jean-Marc Bondon
Ah Laurent, j’ai lu Libération ce matin et j’étais presque certain de voir le sujet dans un blog.
Elles ne sont pas toutes de bruyère ou d’écume.
Blah ? Touitter !