Iowa City: The owner of Napoleon’s penis died last Thursday in Englewood, New Jersey. John K. Lattimer, who’d been a Columbia University professor and a collector of military (and some macabre) relics, also possessed Lincoln’s blood-stained collar and Hermann Göring’s cyanide ampoule. But the penis, which supposedly had been severed by a priest who administered last rites to Napoleon and overstepped clerical boundaries, stood out (sorry) from the professor’s collection of medieval armor, Civil War rifles and Hitler drawings.
[…] It’s time to let Napoleon’s penis rest in peace. Museums are quietly de-accessioning the human remains of indigenous peoples so that body parts can be given proper burial rites. Napoleon’s penis, too, should be allowed to go home and rejoin the rest of his captivating body.
[IHT: “Meanwhile: The pathos of Napoleon’s penis”.]
Aujourd’hui, la question se pose du financement de l’entretien et de la réparation du bâtiment église. La solution la plus évidente pour ces églises du XIXe siècle est la démolition. Ce sont des bâtiments souvent remplis de malfaçons, le curé (ou la municipalité) à l’origine de la construction ayant vu grand sans mettre les moyens suffisants. Au début, c’est joli, neuf et moderne, mais qu’est ce que cela peut mal vieillir. Le bâtiment est donc souvent en mauvais état et surtout vide ou très peu utilisé. Et qui plus est inutilisable pour d’autres activités. C’est le diocèse qui est “affectataire” et donc unique utilisateur autorisé, et bien souvent, l’église catholique répugne à laisser d’autres utiliser ce lieu qu’elle estime sacré. Et même si le bâtiment était “désaffecté”, on ne voit pas bien comment le reconvertir. Dans ces conditions, j’estime abusif que l’on mette de l’argent public dans la rénovation à grands frais de ces bâtiments sans utilité et sans intérêt. Si les catholiques veulent préserver un réseau surdimensionné d’églises, qu’ils mettent la main au porte-monnaie.
[Authueil : “L’occupation de l’espace public”.]
Je suggère la reconversion en mosquée quand il y a le public pour (cela s’est déjà vu). Sinon, dans la plupart des cas, démolition sans regret. À moins que les usagers payent, comme le suggère Authueil.
Les églises postérieures à 1870 ne devraient pas être à la charge de la collectivité (sauf intérêt architectural particulier justifiant un classement à l’inventaire des monuments historiques). Ce qui permettrait de mobiliser les moyens ainsi dégagés (sur l’entretien du bâti 1870-1905) au profit du patrimoine religieux qui en vaut la peine et en a vraiment besoin.
[Photo : démolition de l’église de La Bassée, Pas-de-Calais, 1999, AFP. Condamnée par une construction peu saine trop coûteuse à sauvegarder, un bâtiment plus fonctionnel l’a remplacée depuis. Seul le clocher, reconstruit en 1950 après les bombardements, a été préservé.]
(P.S. Sinon, je suis toujours pour le dynamitage de ça.)
Matthieu M.
Mais qu’est ce que c’est que cette histoire de dingue… !
Blah ? Touitter !