A l’Insia
J’essaie de bloguer de l’Insia, sur un Dell en plastique sous KDE, avec un vieux clavier qwerty tout pourri… Ne comptez donc pas sur moi pour le moindre accent ou autre coquetterie typographique. Je pollue du bruit de l’immonde clavier mécanique la présentation sur les “bonnes pratiques” assurée par Elie Sloim et, en guest star, Denis Boudreau.
Elie nous retrace l’aventure du projet Opquast. Il achète le public en offrant a chacun le memento publie chez Eyrolles. Nous entrons dans le concret avec l’exposition de quelques fiches extraites du référentiel qualité Opquast. Avec des points comme “Il est possible de revenir a la page d’accueil depuis toutes les pages” ou encore “Chaque page comporte un titre significatif et représentatif de son contenu”.
Plus technique, Elie nous présente les bonnes pratiques liées au serveur. “Le serveur envoie les informations relatives a la nature des contenus (présence ou absence de contenus a caractère sexuel), “Les entêtes envoyés par le serveur contiennent les informations relatives au jeu de caractère employé”, “Le serveur envoie les informations permettant la mise en cache des contenus”, etc.
Ces aspects serveur suscitent réactions et questions parmi l’assistance.
(Ahhh, je viens de découvrir le correcteur orthographique qui va me permettre de placer quelques accents.)
La conformité a 100%, dans le cadre d’un référentiel, n’est pas une obligation et pas forcement souhaitable. Il s’agit de s’inscrire dans une démarche qualité. Il faut demeurer pragmatique.
Elie expose le process de création des règles Opquast, au travers de propositions de bonnes pratiques qui furent écartées.
Mon-Opquast 2.5 (encore en version alpha) se veut un véritable outil de pilotage, notamment pour les entreprises possedant de nombreux sites. Certains points d’evaluation sont désormais automatisés via un validateur, qui recouvre environ 15 % du référentiel. Nous testons la page http://www.paris-web.fr/2007/. Ouf, pas trop d’erreurs…
Tous les aspects de la qualité Web ne peuvent faire l’objet d’une automatisation, une évaluation humaine est incontournable.
Pris par le temps, Elie se doit deja de conclure, avec les axes de développement futur du référentiel OpQuast. Faciliter le pilotage de parcs de sites, le travail en équipe, développer l’évaluation automatique (quand c’est possible).
karl, La Grange
Parisweb En images
Laurent Gloaguen
Merci Karl !
Marc
Putain, je ne comprends rien à ce billet.
MQ
La prochaine fois que tu es sur une machine en QWERTY US, utilise la disposition “US International” qui est la même que le US standard, mais avec des touches mortes permettant de faire les accents. Ça a l’avantage par rapport à l’AZERTY français de permettre d’écrire les majuscules accentuées. C’est plus rapide que le correcteur orthographique.
Yhp
Je dirais plutôt
xmodmap -e ’keycode 117 = Multi_key’
qui transforme la touche windows menu en une touche compose. Ça s’utilise sur le modèle «compose ’ e» -> é, le seul nom intuitif étant le ç qui s’obtient avec «compose , c».
MQ
Mmmmh… en utilisant une ’compose key’ je dois faire 3 frappes de touches pour faire un É. Désolé je garde le clavier US-Intl parce que tous mes claviers sont qwerty et j’écris pas mal en français quand même.
Sinon c’est toujours bon de savoir qu’il y a plusieurs façons de faire… (par contre y’a sûrement un truc à bidouiller pour faire un ç avec compose parce que ça marche pô chez moi).
Ah, et je voulais aussi dire que j’ai rien compris au billet non plus (et j’ai pas vraiment essayé).
Yhp
L’ennui, avec les deadkeys, c’est que quand on veut taper une apostrophe (ou autre accent) seule, ça fait deux touches au lieu d’une (et pour ma part, ça devient en général 5 touches parce que je n’ai pas l’habitude…).
MQ
Je pense que dans un cas comme dans l’autre c’est surtout une question d’habitude et de préférences.
Sinon à part ça… emacs ou vi(m)?
Lova
Salut. Tu me parait bien fameux dans la blogosphère francaise, mais j’ai du mal à suivre tes posts quand meme. Je viens de decouvrir ce blog, et je reviendrais souvent.
Blah ? Touitter !