Un homme dépressif assassine sa (probable) maîtresse, âgée de 43 ans et mère de deux enfants, avant de se suicider. Que fait l’Assemblée nationale, celle là même qui a voté les peines planchers, la rétention de sûreté et le jugement des déments ?
Réponse : une minute de silence.
[…] Qu’on me comprenne bien. Le suicide est un drame terrible, mais tous ceux qui décident de partir ne se sentent pas obligés d’emmener quelqu’un avec eux pour le Grand Voyage, surtout si cette personne est mère de deux enfants. Et un meurtre est un meurtre, fût-il perpétré par un député.
Cette minute de silence de la part de la représentation nationale est obscène. Et de la part d’une majorité qui vote des textes répressifs comme d’autres avalent des petits fours, ce geste sonne comme l’hommage de l’hypocrisie au crime.
[Eolas : “Devinette”.]
marie-Hélène
Clochemerle, les pieds nickelés, la famille Fenouillard, la guerre des boutons, ils ont de la culture les socialistes français, pas à dire !
Blah ? Touitter !