Franck, homosexuel bordelais, âgé de 35 ans raconte : « Le poppers était un produit un peu ringard il faut bien le reconnaître, à l’image du Viagra… Du fait de l’illégalité, il a gagné une seconde jeunesse. Une espèce de “revival”. Et surtout, nous n’avions aucun mal à en trouver. On entrait dans un sex-shop pour acheter du poppers, on nous répondait “vous savez que c’est interdit” et en général, on nous sortait une ou deux fioles de derrière les fagots. Le fameux stock à écouler… Il existait un trafic dans les bars gays, les vendeurs vous hélaient jusqu’aux terrasses des cafés. Et puis, les gens achetaient sur des sites Internet belges ou anglais à 20 euros la fiole, au lieu des 15 habituels. »
Les « faux » poppers n’ont pas tenu la route bien longtemps. Ainsi témoigne Franck : « Aucun effet, sinon celui de déboucher le nez. Ce faux poppers sentait les herbes de Provence. Dans les back-rooms des bars homos ça sentait les tomates provençales… que de la frime. »
[Sud Ouest : “Le poppers de retour dans les vitrines”.]
Ah ca se met dans le nez le poppers? (C’est peut-etre pour ca que ca marche pas pour eux…)
PS: Merci d’avoir satisfait ma requete :)
Pep
Et Merde ! Obligé de se rabattre sur l’Equipe…
lorent
La Corse garde son indépendance d’esprit …
Blah ? Touitter !