Orgasme divin
Écoutons Dominique Bertrand expliquer ça :
« Recroquevillée sur le canapé du salon, maigre à faire peur, à bout de nerfs comme de larmes, je fus saisis soudainement et sans avertissement d’une violente sensation vibratoire. J’eus l’impression de ressentir un choc électrique fulgurant de la tête aux pieds. Pendant ces secondes ou ces minutes pétrifiantes, j’avais le sentiment que se déversait sur ma tête une invisible coulée de miel chaud et lumineux. »
Du miel chaud… Intéressant.
Elle précise :
« Quelque chose me rentrait dedans par je ne sais où avec une force qu’il m’est encore aujourd’hui impossible de dépeindre. Quand l’étreinte s’est finalement relâchée, je me suis mise à pleurer comme une enfant. J’étais secouée de sanglots profonds qui trouvaient leur source dans une émotion plus que submergeante, dans la parfaite pureté de la vérité qui s’imposait à moi : Dieu existe. »
Et elle ajoute :
« À ce moment précis, j’ai su qu’on ne meurt pas. Dès lors, j’ai su que la vie se poursuit après la mort. Et je le sais toujours. Dieu, comme un soleil, illumine tout. Baigne tout, même les recoins les plus obscurs de ma vie. »
Cette preuve de l’existence de Dieu, vous la trouverez dans une autobiographie publiée non par Médiaspaul mais par les Éditions de L’Homme.
Le Soleil, Didier Fessou : “Dominique Bertrand a reçu la visite de Dieu”, via Antoine Robitaille.
Bashô
Sainte Thérèse d’Avila recommandait aux prieures de son ordre, en cas de transes, visions ou d’évanouissements chez une soeur, d’enquêter sur les mortifications qu’elle s’imposait (parfois sans le consentement de ses supérieures). Elle disait que c’était le plus souvent des hallucinations dûes à des austérités excessives. Et dans ces cas-là, tout rentrait dans l’ordre après ajout de la viande dans son régime et du sommeil en plus.
Yogi
“Je voyais dans les mains de cet ange un long dard qui était d’or, et dont la pointe en fer avait à l’extrémité un peu de feu. De temps en temps il le plongeait, me semblait-il, au travers de mon cœur, et l’enfonçait jusqu’aux entrailles; en le retirant, il paraissait me les emporter avec ce dard, et me laissait tout, embrasée d’amour de Dieu.
La douleur de cette blessure était si vive, qu’elle m’arrachait ces gémissements dont je parlais tout à l’heure: mais si excessive était la suavité que me causait cette extrême douleur, que je ne pouvais ni en désirer la fin, ni trouver de bonheur hors de Dieu. Ce n’est pas une souffrance corporelle, mais toute spirituelle, quoique le corps ne laisse pas d’y participer un peu, et même à un haut degré. Il existe alors entre l’âme et Dieu un commerce d’amour ineffablement suave. Je supplie ce Dieu de bonté de le faire goûter à quiconque refuserait de croire à la vérité de mes paroles. Les jours où je me trouvais dans cet état, j’étais comme hors de moi; j’aurais voulu ne rien voir, ne point parler, mais m’absorber délicieusement dans ma peine, que je considérais comme une gloire bien supérieure à toutes les gloires créées.”
Sainte Thérèse d’Avila
Olivier
Sainte Thérèse ? Il me semble que c’est celle qui rit quand on la chatouille…
Gagarine
Une femme ayant des orgasmes en se brossant les dents se croyait possédée par le démon (10 things you didn’t know about orgasm).
Conclusion:
Blah ? Touitter !