À noter qu’au Québec, le règlement obligeant les cyclistes à emprunter les pistes cyclables lorsque disponible a été aboli. En revanche, suite à une question de Pat Dion, le SPVM a annoncé via twitter que les cyclistes n’avaient pas le droit d’emprunter les voies réservées aux bus et taxis… ce qui est le summum de la dangerosité (je m’imagine tout à fait rouler entre 2 voies, doublé à droite par un bus et à gauche par une voiture).
D’ailleurs je profite de cette tribune peuplée de vrais Français de France (notamment des parisiens) n’ayant pas abandonné la mère patrie: est-ce que les vélos ont le droit d’emprunter les voies réservées au bus à Paris (ou ailleurs en France). Arigato.
A Paris, c’était pas uniquement les couloirs de bus élargis et que la signalisation routière indiquait comme tels ? (en théorie, en pratique, ils sont si pratiques ces couloirs de bus qu’on les emprunte même lorsque ce n’est pas autorisé).
Ou alors les choses ont changé depuis que j’ai quitté Paris. Ah oui, je faisais parti de ces courageux qui ont pédalé dans Paris avant le vélib’.
Et tout ça sans aucune protection. Suicidaire, masochiste, ou très bien truqué. Par ailleurs, je me souviens de l’avis tranché d’une célèbre avocate, cycliste, et blogueuse au sujet des pistes cyclables parisiennes, celles, du moins, qui font la fierté d’un Denis Baupin. Et pour ce qui concerne les vidéos, on en a aussi.
Mmm pas mal le Rémi Julienne :)
En France, nouvelle expérimentation : le feu vert pour cyclistes alors qu’il est rouge pour les voitures, comme ça tu peux te cogner celles ayant le vert (en perpendiculaire donc)…
À Paris, les voies de bus cyclables sont généralement élargies, et on est censé rouler à droite de la voie (et un bus peut nous doubler sans trop frôler). Je trouve ça plutôt pratique, et le danger vient beaucoup plus des piétons que des véhicules.
Pas mal la chute (dans les 2 sens du terme) à la fin de la vidéo. Il a l’air de buter sur quelque chose qui a été placé juste avant la voiture, en plus il a intérêt pour ne pas voiler sa roue sous le choc. Bon cascadeur le type, sur certains chocs on se demande comment il ne se fait pas trop mal.
Avant l’arrivée des Vélib’ et des cyclistes approximatifs qui vont avec, les voies de bus en site propre étaient un vrai bonheur pour les cyclistes parisiens parce que les chauffeurs de bus sont attentionnés (je ne dirais pas la même chose des chauffeurs de taxi, parfois aussi énervés que l’automobiliste moyen). J’avoue ne pas savoir comment ça a évolué depuis trois ans :p.
Il y a cependant des exceptions, comme le fameux couloir de la mort précité, œuvre qui rendait Denis Baupin fier comme un bar-tabac (sauf en face-à-face avec un vrai cycliste). Sur ces axes dits « civilisés », les cyclistes sont interdits de couloir de bus, pourtant fort tentants, mais plus étroits qu’ailleurs (ils ne permettent pas le dépassement en sécurité d’un cycliste par un bus, et les croisements sont délicats à négocier pour un vélo à cause de la position centrale de la voie de bus).
Hoedic
À noter qu’au Québec, le règlement obligeant les cyclistes à emprunter les pistes cyclables lorsque disponible a été aboli. En revanche, suite à une question de Pat Dion, le SPVM a annoncé via twitter que les cyclistes n’avaient pas le droit d’emprunter les voies réservées aux bus et taxis… ce qui est le summum de la dangerosité (je m’imagine tout à fait rouler entre 2 voies, doublé à droite par un bus et à gauche par une voiture).
D’ailleurs je profite de cette tribune peuplée de vrais Français de France (notamment des parisiens) n’ayant pas abandonné la mère patrie: est-ce que les vélos ont le droit d’emprunter les voies réservées au bus à Paris (ou ailleurs en France). Arigato.
Laurent Gloaguen
@Hoedic : l’usage des couloirs de bus est autorisé à Paris, sauf signalisation locale contraire. Tout du moins quand j’y vivais encore.
Aranno
@ Hoedic & Laurent : C’est toujours le cas.
Maxime
A Paris, c’était pas uniquement les couloirs de bus élargis et que la signalisation routière indiquait comme tels ? (en théorie, en pratique, ils sont si pratiques ces couloirs de bus qu’on les emprunte même lorsque ce n’est pas autorisé).
Ou alors les choses ont changé depuis que j’ai quitté Paris. Ah oui, je faisais parti de ces courageux qui ont pédalé dans Paris avant le vélib’.
Denys
Et tout ça sans aucune protection. Suicidaire, masochiste, ou très bien truqué. Par ailleurs, je me souviens de l’avis tranché d’une célèbre avocate, cycliste, et blogueuse au sujet des pistes cyclables parisiennes, celles, du moins, qui font la fierté d’un Denis Baupin. Et pour ce qui concerne les vidéos, on en a aussi.
Gilles
Mmm pas mal le Rémi Julienne :) En France, nouvelle expérimentation : le feu vert pour cyclistes alors qu’il est rouge pour les voitures, comme ça tu peux te cogner celles ayant le vert (en perpendiculaire donc)…
OlivierJ
À Paris, les voies de bus cyclables sont généralement élargies, et on est censé rouler à droite de la voie (et un bus peut nous doubler sans trop frôler). Je trouve ça plutôt pratique, et le danger vient beaucoup plus des piétons que des véhicules.
Pas mal la chute (dans les 2 sens du terme) à la fin de la vidéo. Il a l’air de buter sur quelque chose qui a été placé juste avant la voiture, en plus il a intérêt pour ne pas voiler sa roue sous le choc. Bon cascadeur le type, sur certains chocs on se demande comment il ne se fait pas trop mal.
padawan
Avant l’arrivée des Vélib’ et des cyclistes approximatifs qui vont avec, les voies de bus en site propre étaient un vrai bonheur pour les cyclistes parisiens parce que les chauffeurs de bus sont attentionnés (je ne dirais pas la même chose des chauffeurs de taxi, parfois aussi énervés que l’automobiliste moyen). J’avoue ne pas savoir comment ça a évolué depuis trois ans :p.
Il y a cependant des exceptions, comme le fameux couloir de la mort précité, œuvre qui rendait Denis Baupin fier comme un bar-tabac (sauf en face-à-face avec un vrai cycliste). Sur ces axes dits « civilisés », les cyclistes sont interdits de couloir de bus, pourtant fort tentants, mais plus étroits qu’ailleurs (ils ne permettent pas le dépassement en sécurité d’un cycliste par un bus, et les croisements sont délicats à négocier pour un vélo à cause de la position centrale de la voie de bus).
Blah ? Touitter !