Journal de bord

mardi 27 mars 2012

Zou Bisou Bisou

When Don sees the Sterlings outside his door and realizes what’s in store for him, he looks stricken. He has always hated birthdays; I gather from his post-party dialogue with Megan that he hated them even before he even took another man’s identity and had to maintain the fiction. Plus, he micromanages every interaction that personally interests him and ignores or resists what doesn’t, and he’s not in charge of this event. When he tells Megan later, “I don’t like being the center of attention,” Megan calls him out on what is, at best, a half-truth: Don loves being the center of attention when he’s running the room and overseeing every detail, but when others set the terms of engagement, he has to work to seem comfortable. Megan’s improvisation traps Don into pretending to enjoy an event that he actually despises. When she fires up the cocktail jazz-pop band she hired for the occasion and performs a slinky little song-and-dance number — covering the 1961 French version of Sophia Loren’s “Zoo Be Zoo Be Zoo,” as performed by ye-ye girl Gillian Hill — he’s seated in a chair in the middle of the room. His placement and posture suggest a prisoner who’s about to be tortured. Megan’s unselfconscious abandon — and Jessica Paré’s slinky-innocent performance, which I suspect will be looked back on as the moment that made her a star — also confronts Don, and other characters, with another harsh fact of life: none of them are getting any younger, or hipper. In context of the generational changeover that was fast approaching — in a year, 1967’s Summer of Love would be the moment when the Baby Boomers decisively wrested control of pop culture from the World War II generation, and shook up political discourse as well — it’s a bombshell moment. Don has never looked as ancient and terrified as he looks when Megan sidles closer to him, putting on a show that’s as much a celebration of her own youth and sexiness as a present for her husband. Its subtext — not lost on anybody at the party — is, “Isn’t she adorable? Isn’t he lucky?”

Vulture, Matt Zoller Seitz: “Mad Men Recap: Dawn of an Old Age.

Gillian Hills - “Zou bisou bisou” (1962 - Barclay).

Sophia Loren - “Zoo Be Zoo Be Zoo” (1961 - Odeon).

1. Le 27 mars 2012,
Jean

Quand on entend ce qu’on voit et qu’on voit ce qu’on entend on a du mal à concevoir que le cha-cha-cha, né au milieu du siècle dernier, est un lointain rejeton de la contredanse française du XVIIIe siècle. :-)

PS : attention il y a des chats dans le diaporama de Sophia !

2. Le 28 mars 2012,
celui

Lu sur Facebook “Any day I expect to hear Françoise Hardy and France Gall playing at Banana Republic and J. Crew.”

Blah ? Touitter !

Axa se lance dans l’e-réputation

Partout où il y a du blé à se faire, les assureurs occupent tôt ou tard le terrain.

5.2.2.3. Les garanties en cas d’atteinte à l’e-réputation

En cas d’atteinte à son e-réputation, l’assuré bénéficie des prestations mentionnées ci-après.

L’atteinte à l’e-réputation désigne la diffamation, injure ou divulgation illégale de la vie privée de l’assuré à l’aide d’une photographie, d’un écrit, d’une vidéo, d’une déclaration publiée sur un blog, forum de discussion, réseau social, site web.

  • La diffamation consiste en une allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne auquel le fait est imputé.
  • L’injure correspond à une expression outrageante, terme de mépris ou invective, se distinguant de la diffamation en ce qu’elle ne renferme l’imputation d’aucun fait.
  • La divulgation illégale de la vie privée peut notamment porter sur la vie sentimentale, la santé et le droit à l’image de l’assuré.

[…] La mise en relation en vue d’un nettoyage ou d’un noyage des informations

En cas d’atteinte à son e-réputation, Juridica met en relation l’assuré avec un prestataire spécialisé qu’elle a engagé et dont elle prend en charge les frais et honoraires dans la limite de 5 000 € TTC par an et par litige (cf. tableau page 29) et sous réserve des conditions et exclusions de garanties définies pages 25 et suivantes.

Ce prestataire aura pour mission de procéder à la suppression des informations préjudiciables.

À défaut de suppression des informations préjudiciables et à condition que l’assuré ait déposé plainte, le prestataire procédera au noyage des informations.

L’obligation de Juridica et du prestataire de procéder à la suppression ou au noyage des informations préjudiciables à l’assuré constitue une obligation de moyens et non de résultat. Juridica et le prestataire s’engagent donc à mettre en œuvre tous les moyens utiles à la bonne fin de l’opération sans garantir que le résultat escompté soit nécessairement atteint.

Axa France : extrait des conditions générales de l’assurance “Protection Familiale Intégrale”.

L’histoire de Fiona

Qui a épluché des oignons dans le coin ?

1. Le 27 mars 2012,
Gagarine

Ah, j’espérais une euthanasie. Petite déception quand même.

2. Le 27 mars 2012,
Karl, La Grange
3. Le 27 mars 2012,
Laurent Gloaguen

@Karl : ça fait froid dans le dos…

Blah ? Touitter !

Micro-bibliothèques publiques

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Sandy Coen et Florence Jain, Columbus, Ohio, participent au projet Little Free Library.

1. Le 28 mars 2012,
moi j'm'en fous (j'ai du poil aux pattes)

la première photo m’a fait immédiatement penser à Grant Wood, Gothique américain - en plus souriant mais l’idée y est indéniablement.

Blah ? Touitter !