À cause des révélations factuelles sur la surveillance de masse, le débat sur la vie privée fait rage. Certains partisans du système avancent l’argument que cette surveillance n’est pas un problème puisque « ils n’ont rien à cacher. » Il y a une certaine forme d’arrogance et d’innocence mélangée dans ce propos. L’arrogance est de penser qu’ils sont parfaits, que chacun de leurs actes ne contredisent jamais les lois en vigueur. L’innocence est de ne pas réaliser que la possibilité de vivre en société tient en partie de tous ces petits moments illégaux qui est la graisse de l’engrenage de la société.
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La surveillance de masse ne fonctionne pas avec des humains mais des automates qui appliquent des règles, qui suivent un programme. Il y a conservation, enregistrement. Lorsque la société est conditionnée par une algorithmie précise, nous ne sommes plus humains, nous sommes nous-même robots.
Karl Dubost - Karl & Cow - Le carnet Web : “Frictions douces de l’illégalité”.
[…] Les chercheurs expliquent ces résultats par une théorie économique du sexe, qui voit les relations hétérosexuelles comme un marché et le sexe comme une marchandise: les hommes cherchent à «acquérir du sexe» auprès des femmes en leur offrant d’autres ressources. Depuis que ce marché existe, les femmes voudraient que le monde perçoive leur corps érotisé comme «rare et précieux», comme l’explique Katy Waldman.
Slate, Alexandra Le Seigneur : “Le sexe dans la pub? Les femmes disent non, sauf pour des marques de luxe”.
Contexte :
Bref, c’est du concours de bite entre journaux orchestré par Médiamétrie. Il s’agit uniquement d’optimiser le prix de vente des espaces publicitaires, sans aucune considération de qualité pour les internautes ou le média web. Rigoureusement aucune. Le web géré par des dinosaures habitués à mesurer l’audience par le petit bout de la lorgnette.
En résumé, on fait de la merde pour vendre de la merde par la publicité. Le temps de cerveau disponible comme à la télé. Sauf qu’à la télé les bloqueurs de pub n’existent pas.
Le bloqueur de pub de la télé s’appelle la pause pipi… sauf bien sûr pour les placements produits dans l’image.
Karl, si tu regardes la télévision nord-américaine, consulte, tu dois avoir un problème de prostate.
heh. Oui, j’ai trouvé la solution ultime. Je n’ai pas de télé ;)
Nicolas B.
“Do not mute myself” est le nouveau “Laissez moi troller”.
Blah ? Touitter !