Après une période très anti-nationaliste à la fin de l’adolescence et au début de l’âge adulte, j’en étais venu à faire la paix avec le nationalisme, à concevoir que l’on pouvait être nationaliste et de gauche, à travailler, même, avec des nationalistes, à arriver à me concevoir, globalement, comme étant du même bord que (certains) nationalistes. Sur la question de l’indépendance du Québec, j’en étais même venu à me dire agnostique, c’est à dire ni contre, ni pour, juste indifférent (avec peut-être même un fond de préjugé favorable).
Et puis, boum! PKP se présente. Je me dis, et j’écris, que si ça ne provoque pas un électrochoc chez les nationalistes de gauche, rien ne le fera. Quatre jours plus tard, je suis bien obligé de constater que ça a choqué très peu de gens en dehors d’une poignée de syndicalistes. À ma grande surprise, un grand nombre de nationalistes de gauche le défendent. Même Foglia ostie!
Je suis flabergasté. […]
Libre expression, Nicolas Phébus : “Élections générales | Jour 9 | La maladie”.
Tiens, voilà qui me va bien, je suis nationalo-agnostique.
Les modes dans l’Histoire, ça va, ça vient. La nation est une échelle mal-aimée alors que les villes sont à la mode… la preuve de la fragilité des nations (de l’Ordonnance de Villers-Cotterêts à nos jours) ? La chocolatine. Car comment imaginer qu’une nation forte tolérerait blabla blabla blabla…
no.
WOW, j’aurais jamais pensé que son solarium était aussi grand. Ça fait loin pour aller faire pipi visiblement.
Laurent Gloaguen
Oui, mais elle est déterminée à y aller.
padawan
Où ça, aux toilettes ?
Blah ? Touitter !