Slug Party
(Les pièges à la bière sont forts pour attirer les limaces, moins pour les attraper…)
(Les pièges à la bière sont forts pour attirer les limaces, moins pour les attraper…)
[…] Il est un cortex sur pattes, qui convoque, interpelle et interroge tout ce qui passe à sa portée, dont voici la liste officielle : les conditions d’apparition de la peinture dans l’espace social, la valeur, l’évaluation esthétique, sociale et psychologique des expériences éprouvées, les notions d’infiltration ou d’exfiltration de l’art contemporain dans des lieux ou des contextes donnés, les notions de traversée, de contamination, d’interaction ou d’illusion, la représentation et de sa mise en scène, l’espace urbain ou de celui d’un centre d’art, les mutations des structures de pouvoir, la perception du lieu, les relations entre les individus, les rapports de force, de rapprochement et d’interaction des uns avec les autres et avec les belles-mères, la métamorphose de la perception commune de l’espace, les espaces de narration issus du théâtre et de l’exposition artistique, les matériaux de notre monde contemporain, les questions sociopolitiques, comme la mondialisation, la culture médiatique, la consommation ou la propriété, les systèmes qui organisent notre lecture du monde, l’aspect tangible et aléatoire de notre position dans le monde, notre condition en tant qu’être physique, social et psychologique, la mécanique du vivant, le corps, les mutations dues aux technologies du vivant, le vivant et le construit, le réel et le virtuel, le pérenne et le temporaire, la conception du projet urbain, les mégas récits du progrès liés au modernisme, notre existence contemporaine individuelle, les objets issus de notre quotidien, l’espace d’exposition, le temps et l’espace, les questions sociales et culturelles, la position de l’artiste dans l’interface de l’individuel et du collectif, les notions de territoire et de déplacement, les matières et images industrielles, le goût et l’autorité, notre degré de conditionnement par l’espace urbain, la « nature » et la « culture », la perception de l’espace dans lequel nous nous trouvons, les modalités de la création des objets d’art l’espace urbain, les champs artistiques diversifiés qui s’articulent autour des notions d’apparition, d’identité et d’altérité, les économies variables, de langage, de genre, d’espace, de géographie, de classe, se réunissent pour résolument former le médium même – le langage – au sein duquel nous les performons. etc. […]
Le Schtroumpf Emergent : “Grande débandade dans l’art financier contemporain”.
“Blogger Fined by French Court Because Negative Restaurant Review Was Too Prominent in Google.”
[…] To my American ears, this sounds absolutely crazy.
Daring Fireball : “Blogger Fined by French Court”.
Ça va commencer à se savoir qu’il n’y a pas de traduction française à “Freedom of Speech”.
Il semblerait que la personne en question se soit représentée elle-même, sans prendre conseil auprès d’un avocat, ce qui semble l’avoir plus que fortement desservie.
Peut-être qu’Eolas nous apportera quelques précisions et éclaircissements concernant l’affaire ainsi que sur la décision du tribunal.
Au passage, j’ose espérer que pareille mésaventure n’arrivera pas à Mademoiselle Minette dont nous sommes sans nouvelles depuis presque deux semaines ! ;)
Ah, le gros troll velu sur la liberté d’expression qu’elle est pure aux US et inexistante en France. Tu vois, je préfère celle qui existe en France où ma liberté s’arrête où commence celle des autres et pas devant le canon d’un fusil dans un pays où il est légal de virer quelqu’un parce qu’il est homo au nom du sacro-saint respect des convictions religieuses et de la liberté d’expression des personnes (dont les entreprises). Juger une culture étrangère selon le prisme de la sienne est un exercice très subjectif (et souvent vain).
Scoop, la diffamation est un délit aux USA. Ah tiens, mais ça veut dire que la liberté d’expression n’y est pas absolue ? Eh oui.
Autre scoop, l’appel au boycott est interdit en France. Titrer un coup de gueule par « l’endroit à éviter » n’est pas très malin. Se plaindre de la justice après être allée se défendre toute seule en réfèré non plus.
Il ne faut pas attribuer à une quelconque malice du législateur et des juges sur notre liberté d’expression ce qui s’explique simplement par la stupidité (laquelle est partagée entre les parties, d’ailleurs).
Surtout, tous les articles en anglais font référence à un mystérieux argument du “ranking Google” trop haut (et autre sujets à la mode), alors que l’article original du monde se contente de mentionner qu’elle a été condamnée pour “dénigrement” (que mes très maigres connaissances en droit assimile à une vague forme de diffamation avec une teinte commerciale).
Bref, j’ai l’impression qu’un bozo de l’AP a traduit avec les pieds et que tout le monde a repris en coeur parce que ça faisait mode.
“Ça va commencer à se savoir qu’il n’y a pas de traduction française à “Freedom of Speech”.” Oui, c’est peu de dire qu’on en crève, d’une manière ou d’une autre, dans un domaine ou dans un autre…
J’ai tapé “Freedom of Speech” dans Google Traduction qui a renvoyé : “Liberté d’expression” https://translate.google.fr/?hl=fr#en/fr/Freedom%20of%20Speech
Me remerciez pas.
On peut rire de tout ! Daring fireball, le relais d’opinion d’Apple, le relation publique du plus gros vendor locking de l’ordinateur individuel, le monomaniaque d’une entreprise qui met des accords de confidentialité sur l’utilisation du papier toilette de ses batiments, vient nous faire la morale sur le freedom of speech. Freedom of speech sous réserve du non disclosure agreement. Chez lui la censure est de gré à gré, sur un papier en tête à signer pour pouvoir travailler ! désolé pour le troll mais ça fait du bien… beurk
(Mode troll) Étalage de la médiocrité française et de la xénophobie anti-allemande ordinaire, à la Une de Marianne cette semaine http://www.marianne.net/Cette-semaine-dans-Marianne-Pourquoi-l-Allemagne-nous-gonfle-_a240184.html - 100 ans après le début de la première guerre mondiale, toujours les mêmes vieilles lunes.
Those crazy Americans: 23,6 milliards de dollars pour un cancer du poumon.
flor
c’est l’allégorie du blog?
Off Topic
A la 43ème seconde, une belle limace noire arrive pour picoler un coup, et plouf … Suicide alcoolique.
Blah ? Touitter !