Creuser dans le passé
Sans moteur de recherche décent, les vieux tweets étaient fossilisés dans leur gangue numérique, inaccessibles. C’est désormais chose du passé.
Force est de constater que je touittais moins à mes débuts.
(Il faut aussi se souvenir qu’à l’époque, les iphones et les clients-mobiles n’existaient pas, et que je touittais pas mal par SMS — comme d’autres. Tu recevais même tes réponses et tes messages privés par SMS… c’était gratuit, mais ça n’a pas duré avec le succès de Twitter. Côté client-bureau, ça faisait “cui-cui” à chaque nouveau tweet dans ta TL… c’est dire l’intensité de l’activité à l’époque sur la plateforme où tu suivais au gros max quelques dizaines de personnes. Ah, et j’étais un rebelle à l’époque. Certains gourous du Web 2.0 se montraient circonspects.)
Guillermito
J’ai commencé à tweeter il y a un mois ou deux pour mon nouveau boulot, et je comprends maintenant que dans certains cas particuliers, par exemple pour un échange rapide de liens d’intérêt professionnel, ça peut être ponctuellement utile. D’autant qu’on a maintenant dépassé une masse critique d’utilisateurs, et donc il y a suffisamment de gens qui tweetent dans des domaines de niche. Même chez les scientifiques. Après, c’est comme partout, je ne vois que les 0.0001% de tweets qui m’intéressent et j’ignore les millions de messages sur Nabilla Kardashian et autres stupidités qui donnent envie de se flinguer.
Gagarine
Et il y avait beaucoup plus de commentaires sur votre blog!
Laurent Gloaguen
Autres temps, autres mœurs.
Blah ? Touitter !