“Miscellanées”

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Maîtresses très particulières

Maîtresses très particulières.

Claude Ogrel, alias Claude Bernard-Aubert (IMDB), est un prolifique réalisateur de films pornographiques des années 70.

Après quelques films classiques comme Le facteur s’en va-t-en guerre avec Charles Aznavour, Daniel Ceccaldi et Jacques Richard, L’Affaire Dominici avec Jean Gabin, Victor Lanoux et Gérard Depardieu, il s’oriente résolument vers le X sous le pseudonyme de Burd Tranbaree.

Dans sa riche filmographie figurent de nombreuses perles oubliées comme Les Grandes jouisseuses, Salopes et vicieuses, Cuisses infernales, Veuves en chaleur, La Grande mouille, Infirmières très spéciales

Mais l’un des films qui lui sont attribués a pris une dimension mythique en raison d’une réplique qui a fait de nombreuses fois le tour du Net, “Je parierais que tu t’imagines déjà que tu suces ma bite au rythme des coups de fouet de mes couilles sur ta gueule”. Il s’agit d’un extrait de “Maîtresses très particulières” (sortie en salles 1980).

Ce film, qui ne figure pas dans la filmographie officielle de Claude Bernard-Aubert, est en fait un remontage et doublage en français du film américain Jack ‘n’ Jill (1979) de Chuck Vincent, avec Samantha Fox et Jack Wrangler. Seuls les dialogues français et quelques inserts seraient donc à porter au crédit de Claude Bernard-Aubert.

DVD Jack n Jill.

Certains attribuent le doublage de Jack Wrangler à nul autre que Dominique Paturel, le plus célèbre des doubleurs français, à qui l’on devait, entre autres, la voix de J.R. Ewing dans Dallas et celle de David Vincent dans Les Envahisseurs.

J’ai toujours regretté qu’il n’existe pas sur le Web de retranscription écrite de cet inoubliable dialogue. Ne serait-ce que pour des raisons d’accessibilité aux sourds et malentendants (vous savez comme ce sujet me tient à cœur).

Le Web étant en grande partie une auberge espagnole où l’on trouve ce qu’on y apporte… et dans le but d’enrichir le patrimoine numérique mondial, je me suis donc mis à mon clavier.

Appréciez donc cet échange qu’un Michel Audiard n’aurait peut-être pas renié…

Version audio

Extrait audio de la première scène de la version française de “Jack ‘n’ Jill”, 9 min 09.

Version écrite

Première scène de la version française de “Jack ‘n’ Jill”.

[Ding dong.]

Lucie : Ah, enfin te voilà. Alors, ordure, tu croyais te débarrasser de moi aussi facilement ? Tu croyais que j’étais une michetoneuse de bas étage ? Je te saute et au revoir ? Je m’appelle Lucie. Là, faudra pas te gourer.

Didier : Tu ne comptes tout de même pas t’installer ici ?

Lucie : J’y suis déjà, tu voudrais peut-être que je m’en aille ?

Didier : Ah, là, là, si tu restes…

Lucie : C’est ça, dis-le. Qu’est-ce que tu feras ? Tu téléphoneras à la police et moi je leur expliquerai que tu es une vieille tante qui se tripote devant les petits garçons.

Didier : Tu oserais dire ça ?

Lucie : Et bien, téléphone, tu verras si je me dégonfle. Alors, c’est ici ton nid d’amour sur les toits ? Vise bien la chlorophylle… je t’imaginais bien [?] à la main, mais pas un arrosoir. Et si tu me servais un verre au lieu de compter les mouches ?

Didier : Ah, bien sûr. Tu prendras bien un doigt de Décap Four avec un zeste de citron ? Ça te dégraissera le gosier.

Lucie : [?] en conneries. Mais alors là, tu te dépasses.

Didier : Bon, j’ai pas de temps à perdre. Qu’est-ce que tu veux de moi ?

Lucie : Tout ce que je veux, c’est du pognon, du fric, de l’oseille. Et aussi, si tu me donnes 400 balles, je m’en contenterai.

Didier : Et en quel honneur, s’il te plaît ?

Lucie : Oh non, regardez-moi cet air d’ahuri. SI je suis venue ici lever les cuisses en l’air, c’est pour du fric. Alors, passons la monnaie mon petit vieux.

Didier : Si tu es venue jouer ton numéro de la bine en chaleur, sache que pour moi, c’est pas le jour.

Lucie : Ah oui, je connais, avant l’heure, c’est pas l’heure, après l’heure, c’est plus l’heure. Ça sera 400 francs ou rien du tout. Et si ça t’arrange, je te signale que la maison accepte les chèques.

Didier : Mais qu’est-ce que tu me chantes, tu vaux même pas un verre d’eau.

Lucie : Il y a qu’une chose que tu as l’air d’oublier, c’est que moi, je suis une pute de luxe. J’ai avalé deux chiques aujourd’hui. En un quart d’heure, j’ai gagné 500 balles. Mais comme j’te connais, tu as une remise.

Didier : Et avec un sac sur la tête, il y a encore une réduction ?

Lucie : Ah, vraiment, ce que t’es drôle. Alors, l’ahuri, qu’est-ce que tu décides ? Tu veux le voyage en Concorde ? La brouette japonaise ? Mais peut-être qu’avec mes fringues, tu voudrais que je me déguise en travelo… J’ai une idée, je vais te pisser dessus, vieille tantouze.

Didier : Ferme-la sinon, je sens que je vais faire un malheur. C’est pour le fric que tu es venue ici… Alors en voilà, le voilà, tu peux te torcher le cul avec.

Lucie : Ah, tu es d’une vulgarité par moments, j’t’assure…

Didier : Mais attends, tu vas pas sauter en marche comme ça. T’es une salope, tu vas faire ton métier de salope.

Lucie : Ça alors, personne ne m’a jamais traité comme ça.

Didier : Et bien il y a un commencement à tout et je suis bien heureux d’être le premier.

Lucie : Arrête ! Qu’est-ce que tu veux encore ?

Didier : J’ai acheté une chose que je voudrais consommer, et si possible avant qu’elle soit périmée… En guise de hors-d’œuvre, je vais te défoncer ta gueule de conne avec ma grosse queue. Mais avant, il va falloir que tu le mérites. Déloque-toi. Tu retires tout, y compris le Tampax. Allez, grouille-toi ! C’est pas un concours de vitesse. Non… Je veux que ce soit un effeuillage de grand luxe. Je veux du sexy. Savoir créer la jouissance, c’est tout un art.

Lucie : Ça va là, je t’excite assez ?

Didier : Oui, c’est bien. Tu continues… Doucement ! Voilà… En ce moment, je parierais que tu t’imagines déjà que tu suces ma bite au rythme des coups de fouet de mes couilles sur ta gueule. Titille-toi les nichons. Ils doivent bander comme ma queue. Ouais, oui, pince-les fort, oui… Combien de mètres de queues tu t’es enfilés aujourd’hui dans la chatte ? Ça doit approcher le kilomètre, non ? Laisse parler ta chatte toute seule. Allez, vas-y, je t’écoute. Raconte-moi comment elles étaient toutes ces queues. Dis-moi tout, je veux tout savoir. Elles t’ont fait mouiller, hein…

Lucie : C’était fantastique. Ah, j’en suis encore toute gluante à l’intérieur. C’était extraordinaire toutes ces queues qui me pompaient dans le vagin jusqu’à la moelle. Ah, c’est “fat”, c’était foutral, j’en ai vu et j’en ai eu de toutes les couleurs. Celle du Noir était toute petite, quant à celle de l’Arabe, elle était si grosse et si longue que j’avais l’impression de m’envoyer en l’air avec un cheval. Ah, j’avais la chatte, on aurait dit une éponge. Oh, oh…

Didier : Arrête de te branler le clito ! Toutes les conneries que tu viens de raconter, c’est rien à côté de ce qui t’attend, tu m’entends ? Et pour ouvrir la danse que je te réserve, à genoux, à genoux ! Enculée ! À genoux, sale chienne ! Et vite ! Obéir, c’est dans ton intérêt, tu vas souffrir avant de me sucer les couilles. Tu auras le temps de jouir cent fois. Au pied ! Allez, viens Lucie ! Viens chercher le su-sucre…

Lucie : Vas-y, sors-la !

Didier : Qu’est-ce que tu veux que je sorte ?

Lucie : Sors ta queue !

Didier : Tu veux ma queue ?

Lucie : Oui, je veux ta queue.

Didier : Tu veux ma belle queue ?

Lucie : Je veux ta belle queue.

Didier : Tu veux ma gentille queue ?

Lucie : Je veux ta gentille queue.

Didier : Il faut d’abord que tu me mettes à poil. Commence par les chaussures, allez. Tout doux, hein, avec délicatesse. Quand je te montre ma queue, ça te fait vraiment jouir ?

Lucie : Bien sûr que ça me fait jouir, connard ! En tout cas plus que de devoir te déshabiller…

Didier : Enlève l’autre. Sans vouloir te vexer, on sent que tu manques d’expérience.

Lucie : T’es con, je t’assure. Allez, sors-la maintenant. Dépêche-toi !

Didier : Ça t’excite, hein ! Ça t’excite de la savoir là…

Lucie : Oui, oui, sors-la.

Didier : Et bien, vas-y si tu es pressée. Sors-la, sors-la ! Mais qu’est-ce que t’attends ? Sors-la donc !

Lucie : Tu profites de la situation, mais je te prie de croire que quand je l’aurai dans la bouche, je la couperai en deux.

Didier : Oh, minute, bouffie ! Hein ! Hé ! Oh ! Quand tu t’énerves, t’as tendance à faire des bêtises. Alors, calme-toi. Hum, c’est pas beau ça ? Elle a de la conversation, hein ?

Lucie : Tu m’agaces, arrête !

Didier : C’est pas la plus fascinante biroute que tu ais connue ?

Lucie : C’est la plus fascinante biroute que j’ais connue.

Didier : Tu la voudrais dans ta bouche ?

Lucie : Je la voudrais. Donne que je la suce.

Didier : Tu la préfères dure ou molle.

Lucie : Je la préfère dure et raide.

Didier : Tu aimerais qu’elle te chatouille les amygdales, hein ?

Lucie : Jusqu’à m’en étouffer.

Didier : Rrrrr. Goûte voir ce tison incandescent sur ta peau.

Lucie : Ahhh. Non, je t’en supplie Didier, donne-la-moi. Donne-la-moi, je t’en supplie, que je l’avale toute entière.

Didier : Tout doux. Tout doux. La voilà. Elle est là. Tiens ! Oui… Ah. Oh, ce que c’est bon. Ah, c’est de la bonne pipe ça, vas-y. Serre les dents.

Lucie : Hmpf. [Bouche pleine.]

Didier : Oh, oui, c’est ça. Excellent le rythme. Continue. Oui, très bien !

Lucie : Hmpf.

Didier : Elle est raide, hein ?

Lucie : Gnii.

Didier : Oui, ça, c’est un gland digne d’Hercule. Hein… Oui, c’est super bon là. C’est hyper bon. Ouais, suce, suce jusqu’au fond de la gorge. Ah, j’ai le cœur qui éclate là. Oh, oui, c’est formidable. Oh, j’ai le cœur qui va éclater là. Allez, vas-y. Continue. C’est une vraie tronçonneuse, je vais te tronçonner la gueule moi, oui. C’est ça, là ! Oh, je te tronçonne, là.

Lucie : Gnaa.

Didier : Lache-ça, ça suffit, allonge-toi par terre. Parfait, le grand écart maintenant. Allez, écarte ! Écarte à fond !

Lucie : Ah. Oui…

Didier : Maintenant, ouvre ta boule. Écarte les lèvres. Ma main, là…

Lucie : Ah, oh.

Didier : Ah, ah. Hein, écarte encore.

Lucie : Ah, non, non.

Didier : Tu veux que je t’enfile un deuxième doigt ?

Lucie : Non, pas tout de suite.

Didier : Je suis certain que ma main entrerait. Même un gant de boxe aurait encore de la place. Oh, oui, ça s’ouvre ça.

Lucie : Non, arrête, pas tous les doigts. Pas tous, non.

Didier : Ça rentre. Tu préférerais que ce soit ma bite, hein ? Réponds ! Tu préférerais ? Ben non, je ne te baiserai pas tout de suite. Tant que tu ne diras pas : “baise-moi”.

Lucie : Oui, baise-moi. Baise-moi !

Didier : Non, plus fort que ça. Comme ça, c’est triste. Un peu plus de passion !

Lucie : Baise-moi !

Didier : Non ! Baise-moi !

Lucie : Baise-moi !

Didier : Voilà, c’est pas compliqué.

Lucie : Oh. Ah. Ah.

Didier : Rah.

Lucie : Oh.

Didier : Ah.

Lucie : Salaud, tu me le paieras cher.

Didier : Ah, ah.

Lucie : Ah, ah.

Didier : Et bordel, c’était long, mais c’est bon. Tu l’as ma queue, tu l’as ma grosse bite. Tu l’as dans ton sale con, vieille salope. Tu mouilles, hein, tu mouilles…

Lucie : Oui, je mouille.

Didier : Ah, ah.

Lucie : Ah, ah.

Didier : Ah, oui. Ah, oui, c’est bon.

Lucie : Ah, ah.

Didier : Ah, ah.

Lucie : Tu faiblis, c’est toi ou moi qui baise ? Du nerf, quoi !

Didier : Tu veux que je parte ? Tu veux que je reste jusqu’au bout ?

Lucie : Oui !

Didier : Jusqu’à la dernière goutte ?

Lucie : Oui !

Didier : La toute dernière goutte ?

Lucie : Oui !

Didier : Tu es sûre que tu le veux ?

Lucie : Oui, vas-y !

Didier : Et bien, tu vas l’avoir. Je vais te la décharger ma purée.

Lucie : Ah.

Didier : Ah.

Lucie : Oui, vas-y. Inonde-moi.

Didier : Rah. Non, avant, je vais te bouffer les seins.

Lucie : Rah.

Didier : Rah. Rah.

Lucie : Je jouis. C’est fantastique. Je suis partie. Non, reste. Continue !

Didier : Attend ! C’est pas fini, c’est pas fini, j’te dis.

Lucie : Ah. Ah.

Didier : T’es prête ?

Lucie : Oui, vas-y.

Didier : Tu vas repartir. Alors, je vais te les cracher ces spermatozoïdes que tu voulais. Tu les veux ?

Lucie : Oui.

Didier : Les voilà. Tiens !

Lucie : Oui !

Didier : Ah, ah.

Lucie : Oh. T’es parti…

Didier : Oui, je suis parti.

Lucie : Ah.

Didier : Rha.

Lucie : Oh, c’est bon.

Didier : Rha.

Didier : Ah.

Lucie : Tu t’es fini en te branlant, sale enculé ! Tu n’es qu’une pauvre pédale tout juste bonne à se faire sucer. Ordure ! T’as profité que je m’envoyais en l’air pour éjaculer en égoïste. Attends, c’est pas fini, j’aime pas les tricheurs. Tu crois peut-être que tu vas t’en sortir comme ça ? Sale bête ! Et tu t’en tireras pas sans m’avoir fait une langue !

Didier : Non !

Lucie : Non ?

Didier : Non !

Lucie : Ah, tiens donc… Qu’est-ce que tu te crois ? Tu es le dieu des baiseurs ? Le superman qui se donne le droit de retirer sa vieille nouille quand ça lui chante ? Qu’est ce que je suis ? Une vérolée ? C’est joli tes fleurs, hein… Ah ! [Bruit de vase brisé.] Et alors, tu veux, maintenant que je suis en crise, que je foute ta piaule en l’air, ou tu choisis de me bouffer la chatte ? Alors, tu préfères me sucer ? À fond ! À fond ! Oh, oh, oui. Allez, démontre à mon clitoris que ta langue est plus douée que ta queue. Oh la. Va à fond. Oh, ce que ça peut être excitant de sentir des poils de barbe qui me picotent. Ah. Ah. Une langue, c’est quand même autre chose.

Didier : Hmpf. [Bouche pleine.]

Lucie : Ah. Ah. Oh. Oh, oui, ça y est, je pars. Oui, oui, avale, avale tout.

Didier : Hmpf.

Lucie : Ah. Ah. Rha. Ah. Hmm. [Sonnerie de téléphone.] Mais, qui ça peut être ?

Didier : Bien j’en sais rien. Attends !

1. Le 3 septembre 2009,
xave

Ah voilà, le téléphone, on y revient !

2. Le 3 septembre 2009,
Stéphane Deschamps

Ah franchement, c’est une des plus belles pochettes que j’ai vues depuis longtemps. Magnifique.

L’auberge espagnole s’est enrichie :)

3. Le 3 septembre 2009,
Neovov

Énorme ! Merci !

4. Le 3 septembre 2009,
Pierre Carion

Le dialogue de film porno est un art perdu…

5. Le 3 septembre 2009,
brem

mort de rire!

6. Le 3 septembre 2009,
twenycent

Bravo! Depuis le temps que je cherche à mettre la main sur ce texte. En effet ça manquait d’avoir une retranscription écrite de cet échange cultissime. Encore merci.

7. Le 3 septembre 2009,
Dave

Lucie : Oh. Ah. Ah.

Didier : Rah.

Lucie : Oh.

Didier : Ah.

Ah oui, en effet, on dirait du Audiard…

Quoi qu’il en soit, j’admire le dévouement et la fidélité dans la retranscription.

8. Le 4 septembre 2009,
ML

Dans nos discutions au boulot on essayait de placer des phrases chocs du dialogue… Et bien personne n’a réussi à placer une des grande phrase avec un boss.

9. Le 4 septembre 2009,
gilda

Tiens, en aurais-tu soudain eu marre que les gens viennent te lire connectés de leur bureau ? :-)

10. Le 4 septembre 2009,
Tristan

@Xave : enorme :-D

Sinon, je me demande comment ils arrivent à dire des dialogues pareils sans être pétés de rire :-D

Ah, j’aurais aimé faire dialoguiste, mais je suis sûr que je pourrais pas leur arriver à la cheville. Tant pis, je retourne faire du logiciel ;-)

11. Le 4 septembre 2009,
Nicolas B.

Je… je m’insurge, je suis la plus fascinante biroute qu’on peut connaitre !

12. Le 4 septembre 2009,
Olivier G.

Ah tiens, je tombe sur cette vidéo (par contre, je ne sais pas si les images sont d’origine).

13. Le 4 septembre 2009,
Laurent Gloaguen

@Olivier G.: oui, ce sont bien les images d’origine, hélas de mauvaise qualité.

14. Le 4 septembre 2009,
Jean

C’est quand même très bavard comme film…

15. Le 4 septembre 2009,
Bladsurb

On peut trouver par Google une version plus longue (avec un préambule “Decap four / zeste de citron”).

16. Le 4 septembre 2009,
Bladsurb

Si vous préférez une version plus SFW, y a aussi.

17. Le 4 septembre 2009,
Laurent Gloaguen

@Bladsurb : merci pour les liens. La version SFW mérite le détour :-)

18. Le 4 septembre 2009,
Laurent Gloaguen

Bon, je vais devoir compléter ma transcription, il me manquait le début de la scène… On ne peut pas laisser dans l’oubli ce “doigt de Décap Four avec un zeste de citron”.

19. Le 4 septembre 2009,
Tania

“tu t’en tireras pas s’en m’avoir fait une langue !” sans*

(et il faut que ce soit ce passage que je retienne… Pauvre de moi)

Sinon, merci de m’avoir enculturée ce soir !

20. Le 4 septembre 2009,
Laurent Gloaguen

@Tania : je corrige. Merci.

21. Le 5 septembre 2009,
Pierre

c’est une maitresse avec des amitiés particulières !

22. Le 17 septembre 2009,
franc belge

Par souci de complétude, on peut souligner que l’acteur masculin n’est autre que Jack Wrangler, qui nous a quitté récemment.

23. Le 5 juillet 2010,
Pipelineforever

C’est tellement bon qu’un duo techno de femmes libérées en a fait un mix :

https://www.youtube.com/watch?v=LoivBRX4byo

24. Le 8 décembre 2012,
pezzo

Didier : Mais qu’est-ce que tu me chantes, tu vaux même pas un verre d’eau. Ce n’est pas un verre d’eau mais un berlioz (ancien billet de dix balles)

25. Le 8 décembre 2012,
Laurent Gloaguen

Merci de cette précision :-)

26. Le 16 février 2013,
karl, La Grange

impôts, riches et émigration Et pourquoi sur ce billet ? Parce que Depardieu y est mentionné et que je trouve que ce billet devrait réapparaître dans le flux. Trop bon :)

27. Le 16 février 2013,
Laurent Gloaguen

Pour l’anecdote, Google m’a viré du programme Adsense en 2011 à cause de cette page.

28. Le 18 avril 2015,
Laurent

Retrouver ce texte aujourd’hui après l’avoir découvert pour la première fois ici en 2009 me fait chaud au cœur. Merci, Laurent.

29. Le 23 août 2020,
Au rythme de coup de fouet de mes couilles

Ce dialogue m’obsède depuis la première écoute! Ma réplique préférée restera toujours: « Arrête de te branler le clito ! Toutes les conneries que tu viens de raconter, c’est rien à côté de ce qui t’attend, tu m’entends ? Et pour ouvrir la danse que je te réserve, à genoux, à genoux ! Enculée ! À genoux, sale chienne! » Merci beaucoup pour cette contribution. J’en sais enfin un peu plus sur ce chef d’œuvre d’écriture ????. A noter que la version complète du film est disponible sur la plateforme de porno en streaming pornhub. A regarder absolument pour les fans!

Blah ?