“Miscellanées”

notes du carnet

Ce qu’ils en disent

Dans ce billet “special-ego-chevilles-qui-gonflent”, j’entreprends une collection des plus belles citations à propos de ma personne et de mon activité sur le web. À terme, ça servira de page de présentation du site.

Ils aiment (ou font semblant)

« Un blog sarcastique, et drôlement intelligent. — Le potager urbain, juillet 2012. »

« L’identité du capitaine, c’est aussi son graphisme dépouillé, hyper simple, minimaliste même. Sur son blog, ni chats, ni compteurs de visites, ni widgets, ni belles bannières qui flashent. Du texte, et de l’espace autour du texte. Et le favicon, la petite ancre qu’on retrouve sur tous ses sites. De part et d’autre de l’Atlantique, le breton est capitaine et marin. Et puis les liens. Embruns cite, Embruns lie, Embruns est plutôt un ramassis de nœuds marins. — Marie-Aude, mai 2009. »

« J’apprécie sa bonhomie et sa simplicité. » — Nick Carraway, septembre 2008.

« Je tiens à affirmer haut et fort publiquement que ce garçon est une crème. » — Xave, septembre 2008.

« J’aime beaucoup Laurent. Je ne vais pas tomber dans l’hagiographie, d’ailleurs je ne vois pas ce que je pourrais dire sur son compte qui n’ait pas déjà été dit ailleurs : son intégrité, sa sensibilité, ses crises de misanthropie nocturnes sont légendaires. Alors même si nous n’avons jamais été très proches, même si je ne partage pas toutes ses idées, imaginer que je n’aurai probablement plus jamais l’occasion d’entendre son très sexy petit cheveu sur la langue, ça me fait un putain de pincement au cœur. » — Pascal L., septembre 2008.

« Laurent Gloaguen, c’est le Jason Kottke français. En plus militant. » — Petites phrases, juillet 2008.

« On ne devient pas le lieu de rencontre et de discussions de quelques centaines de personnes par un simple hasard. C’est son talent, son goût de la polémique, sa rigueur dans la forme et l’humanité qui transparaît sous l’acide qui rendent ce blog attachant, utile, profond, qui font que l’on y va pour discuter, rigoler, polémiquer, se prendre le chou et découvrir des choses. » — Versac, juillet 2008.

« Qui fait, dans son blog, un journalisme d’avenir, qui innove et rénove ce métier en lui ouvrant de nouvelles perspectives ? C’est bien Laurent Gloaguen, d’Embruns (Et quelles perspectives ! Et quelle rénovation !). On lui a déjà dit qu’il était un média à lui tout seul. J’ajoute qu’il fait bel et bien du journalisme. Un genre journalistique pas si nouveau que ça d’ailleurs : il y a des antécédents. Laurent Gloaguen est un journaliste gonzo qui s’ignore. » — Narvic, juillet 2008.

« Embruns, c’est une belle source d’inspiration pour perdre son temps. » — La sœur Karamazov, juin 2008.

« Un héritier de Hunter Stockton Thompson et du gonzo journalisme. » — Narvic, juin 2008.

« Laurent fait partie de ceux qui se cachent de peur qu’on les démasque, de ceux qui aiment jouer au chat et à la souris, de ceux qui provoquent, qui éveillent et qui (souvent) agacent. D’une ambiguïté déboussolante, celui qui est surnommé le Capitaine (de par sa passion pour l’histoire maritime, la pipe et le bon whisky) a une plume aiguisée, parfois moqueuse, souvent provocante, des mots qui appuient là où ça fait mal. Quoi qu’il en soit, son style — tantôt fracassant, tantôt pudique — est toujours empreint d’intérêt. Avec Laurent, pas de demi-ton, pas de gris clair : on aime ses billets ou on les méprise. On salue sa prose ou on la traite d’inutile. Dans les deux cas, il suscite toujours réflexions et discussions, et c’est bien là tout l’intérêt d’un blog, non ? » — Ladyblogue, mai 2008.

« Laurent est quelqu’un d’une sagesse et d’une générosité extrême. » — Macsym, février 2008.

« le Capitaine ne garde pas sa langue dans sa poche et, comme dirait La Fontaine, “c’est là son moindre défaut”. Sa plume est assimilable à ces petites aspérités laissés par les chiffons sur les flûtes de champagne qui forment les bulles et donnent à cette boisson alcoolisée toutes ses lettres de noblesse et toute sa particularité. Oui, le Capitaine est un produit de luxe que l’on consommera avec modération tout de même puisqu’il frappe toujours là où l’on ne l’attend pas. Et gare à vous, car ce personnage singulier manie le français avec brio.
S’il y en a un qui baigne depuis longtemps dans l’excès, c’est bien lui. L’acidité de sa plume a plus d’une fois créé des tsunamis sur les rivages de la paisible blogobulle française qui, comme toute bulle que l’on asticote d’un outil pointu, finit par éclater. Il peut tout aussi bien étonner, que répugner ou droguer, mais rarement lasser, encore moins laisser indifférent. Chaque fois, on en redemande un peu plus et chaque fois il nous en redonne : il nous nourrit des carcasses laissées par les trolls de tous poils dans les recoins les plus sombres et mal famés du Web.
Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, peu importe : on le lit. Embruns est assez riche en goût et l’on n’apprécie sa saveur qu’après persévérance, comme l’on aime les épices qu’après en avoir souffert, le palais à vif et la gorge déployée. Mangez du pain, armez vous de patience et ça passera. Quelques temps après, vous verrez que vous en redemanderez… » — Guillaume Guérin, janvier 2008.

« Laurent, je le lis parce qu’il est chiant, parce qu’il provoque, parce qu’il est dans le refus, dans le doute, dans la colère. Parce que c’est un sale con, parce qu’il est touchant, parce qu’il est comme moi, comme toi. Parce qu’il vivant, surtout. » — Ron l’infirmier, janvier 2008.

« Ce que j’adore avec toi Laurent, c’est que tu es capable de nous toucher, aussi bien dans “le troll”, dans la folie, dans l’absurde que dans les sentiments. » — Erebuss, octobre 2007.

« Laurent Gloaguen tient probablement le blog que je préfère. (…) Ce garçon est d’une ambiguïté redoutable et c’est ce qui fait probablement tout son charme. D’une intelligence vive et aiguisée, très cultivé et d’un raffinement exigeant à la limite de la maniaquerie, il use et abuse de l’art de la provocation avec une finesse qui fait tomber chacune de ses cibles dans les pièges qu’il leur tend (moi le premier). Feignant la candeur et l’innocence sur certains sujets, son acuité est très pertinente. Il appuie là où ça fait mal, se joue des trolls avec délice. On sent qu’il jubile à écrire certaines de ses notes et à régner sur “sa” blogosphère.
Il a réussi à tenir un blog presque parfait. Il a compris qu’un bon blog devait d’abord proposer des liens vers l’extérieur pour être intéressant et visité. (…) Dans “la vraie vie”, il vous fera croire à son détachement alors qu’il est d’une sensibilité peu commune. Si vous devenez fidèle de son blog, vous tomberez parfois sur une note furtive, une note émouvante et poignante qu’il effacera quelques heures après l’avoir mise en ligne. Car son plus grand défaut, malgré les apparences et un exhibitionnisme de façade, c’est l’extrême pudeur.
Quand je vous disais qu’il était ambigu… » — Christophe Ginisty, juillet 2007.

« Le copain Laurent Gloaguen, alias Embruns, est un sacré foutteur de merde et un polémiste chevronné. Je dois même avouer qu’il m’inspire à ce chapitre. Il est de surcroît, un amoureux du Québec et un commentateur politique redoutable et redouté en France. » — Michel Leblanc, mars 2007.

« Embruns est un lieu à fréquenter : pas de dogmatisme, pas de bien pensance, pas de politiquement correct. » — Vancho, novembre 2006.

« Nombre de blogueurs néophytes se demandent ce qu’on lui trouve, pourquoi c’est un grand, pourquoi on l’appelle “capitaine”, réclamant une égalité de traitement entre eux et lui, se plaignant qu’il ait des groupies, que ses admirateurs soient aveuglés et aient perdu tout esprit critique. Ils trouvent que finalement, c’est un type très ordinaire. (…) Eh bien c’est parce que Laurent est un type ordinaire, mais un blogueur extraordinaire. Il a ça en lui, ce talent de la chronique, du mot qu’il faut, ce flair pour débusquer dans la blogobulle le truc à dénicher, le petit nouveau qui monte, la tête à claques qui fait le paon. Et de temps en temps, il s’attaque à un sujet qu’il va traiter à fond, en universitaire, avec les références qui vont bien, l’amour du jargon en moins. Un billet lisible par tout le monde, du lycéen au polytechnicien en passant par la ménagère de passage. Un billet qui vous apporte quelque chose, qui vous nourrit. Parce qu’en plus il sait écrire. » — Samantdi, septembre 2006.

« Une plume forte, originale et attachante. Un de ceux qui ont grandement agité une eau bien tranquille jusque-là. Mais quelle grande gueule ! » — Morgazilla, août 2006.

« Embruns, c’est un peu comme le pamplemousse ou les épinards, des saveurs d’adulte qu’on apprend à aimer avec le temps. […] Embruns, c’est un regard, en vrai. Quel regard, Laurent… » — Ron l’infirmier, mai 2006.

« J’adore le sourire goguenard et la subtilité du Capitaine. » — Matoo, mai 2006.

« Embruns a peu de billets intéressants, il faut bien le reconnaître, le Capitaine est un peu fainéant quand il s’agit de mettre à fonctionner sa substantifique moelle. Mais quand il le fait, il le fait remarquablement. Le reste des billets est une incitation à bons mots et réflexions qui fait de ce blog un must en matière de convivialité et d’esprit. Les commentaires valent toujours mieux dans ce cas que cette absence voulue du maître des lieux. » — Patrick, mai 2006.

« Laurent est une âme ‘pure’ de la blogosphère. » — Charles Liebert, mars 2006.

« Un guide spirituel de la blogosphère. » — Christophe Ginisty, février 2006.

« Merci surtout parce que l’étincelle qui anime votre blog, c’est celle des hommes libres. » — Anonyme, février 2006.

« Embruns est le point nodal de la blogosphère française. » — Ceteris Paribus, janvier 2006.

« Bon, que dire sur Embruns, tout le monde le connaît et si vous ne le connaissez pas n’hésitez pas à le lire. Il vous fera sourire, réfléchir, vous énerver… quoi qu’il en soit, il ne vous laissera pas indifférent… » — Julien Van Caneghem, décembre 2005.

« Parfois embruns, parfois postillons. Incontournable, toujours. » — Réflexions polymorphes, novembre 2005.

« Celui que le monde non blogosphérique nous envie… le Captain, le seul et l’unique Embruns, le grand Laurent Gloaguen… celui qui n’hésite pas à montrer du doigt les petits joueurs, les mesquins et les arrivistes… personne ne passera au travers des mailles de son filet… » — Emery Doligé, novembre 2005.

« Among the unavoidable reads of the old continent, sits Laurent Gloaguen, phlegmatic, pipe-smoking, contemporary critique with the dedication of a pro and the tongue-lashing skills of… err… an unpaid expert. His blog usually attracts an eclectic, if not selective, crowd of readers, whose comments span the full spectrum of the childish to the very insightful. As many observers have cauda-venenumously pointed out in the past: “the comments sometimes surpass the content itself”. Which is both slightly unfair to the nice synthetic work Laurent does, and true of every other institutionalized fixtures of the blogosphere. » — Dr. Dave, juin 2005.

« Je te lis depuis bientôt deux ans, depuis que je blogue, octobre 2003. Tu as réussi quelque chose de superbe, les discussions très animées et riches de ton blog, que je prends plaisir à lire même si je suis presque toujours d’un avis opposé à ce qui s’y dit. » — Loïc Le Meur, mai 2005.

« Le bon goût du large. » — 404 BNF, novembre 2003.

« Intelligent, engagé, souvent provocateur. Son auteur n’a pas eu peur d’incommoder les bons sentiments de la carnetosphère bien-pensante, dont il a à plusieurs reprises critiqué, quelquefois assez sévèrement, des habitants très connus. » — Sale Bête, novembre 2003.

« Propulsé en haut du blogomat, grâce à une qualité bloguesque soutenue, quelques contributions à la communauté des carnets, un esprit d’analyse percutant, un brin de provocation gratuite mais volontaire, et de polémiques fabriquées de toutes pièces. » — Houssein, novembre 2003.

« One of my favorite French bloggers, the extremely non-dogmatic Laurent. » — Maciej Cegłowski, juin 2003.

Ils n’aiment pas

« Pauvre minable… Tu as certainement une vie de merde. » — Hervé Ryssen, août 2012.

« Tu es beaucoup trop dérangeant et homosexuel pour moi. » — Ahmed K., février 2010.

« Putain de blogueur influent, si sûr de son fait, de son talent et si bouffi de certitudes. » — Guy Birenbaum, juillet 2008.

« Il me fait peur. » — Pierre Chappaz, mars 2008.

« Le contenu de son blog est à l’image de son titre : essentiellement constitué de vent. » — Le tronçonneur de blogs, janvier 2008.

« Merci de nous démontrer à chaque jour votre dédain, votre mépris et votre condescendance. Depuis que je vous lis, je n’ai plus besoin de laxatifs. » — Anonyme, Montréal, Canada, novembre 2006.

« Mon meilleur ennemi. » — Dark Planneur, novembre 2005.

Dans la presse

Paris Match n°3050.

Ci-dessus, Paris Match, 31 octobre 2007.

« Laurent Gloaguen, communiquant breton, militant homosexuel, mécontemporain à ses heures, réellement cultivé, parfois indigné, toujours concerné. » — Nouvel Observateur, Claude Askolovitch, 4 janvier 2007.

Embruns dans Science et Vie Micro. Septembre 2006.

« C’est le carnet très fourni d’un ancien des blogs, Laurent Gloaguen […]. Surnommé le “capitaine” par ses fans, il commente l’actualité et ne se gêne pas pour placer quelques coups de gueule sans concessions. Embruns, c’est aussi un site incontournable pour tout savoir ce qui secoue la blogosphère francophone. » — SVM, septembre 2006.

Le Monde n° 19 035.

Le Monde n° 19 035.

« Laurent Gloaguen, 39 ans, alias « le Capitaine », Paris, France. »

« Sur le blog de Laurent Gloaguen, on parle de tout et de rien, de politique, de loisirs, de recettes, de voyages et beaucoup de blogs. Il y a deux ans, par dérision, Laurent Gloaguen avait lancé un comité et une campagne comique anti-chats. Un succès, qui lui vaut encore des courriers et des commentaires sur son site. Embruns reçoit jusqu’à 5 000 visiteurs par jour, qui se connectent beaucoup depuis leur bureau. » — Le Monde, “15 blogueurs leaders d’opinion sur la toile”, 7 avril 2006.

« Embruns est le carnet Web de Laurent Gloaguen, un précurseur qui travaille sur Internet depuis 10 ans. Connu comme le loup blanc dans le monde des blogues, Laurent Gloaguen est un agitateur qui dit ce qu’il pense et qui reconnaît aimer la polémique. Ce jeune parisien, baptisé le Capitaine, représente aujourd’hui un courant à lui tout seul, celui des blogues anti-commerciaux, exigeants, qui ne versent jamais dans la facilité. Avec une plume toute personnelle, le Capitaine entraîne dans son sillage toute une myriade de lecteur, 5 000 personnes, tous les jours, le suivent sur son bloc-notes et se régalent de ses billets, de ses coups de gueule. “C’est le meilleur d’entre nous” pensent la plupart de ses visiteurs. “Il est d’une constance et d’une qualité rédactionnelle hors normes” ajoute un autre ; c’est vrai que Laurent Gloaguen écrit beaucoup, tous les jours, publie des photos, il assure une permanence sur Internet depuis une décennie. Gardien du phare, un peu sauvage, il est à Internet ce que l’amiral de Kersauzon est à la voile, un solitaire qui n’en fait qu’à sa tête, mais qui gagne à être connu. Laurent Gloaguen arrose gratis tous les jours sur son blogue. Tapez embruns au pluriel, point net. » — Europe 1, Cathy Nivez, 28 décembre 2005.

« Laurent Gloaguen est l’auteur quotidien d’embruns.net salué comme l’un des premiers blogs francophones et l’un des plus représentatif de cet “art de bloguer”, entre chronique de soi, poésie partagée et commentaires sur le cours du monde. » France Inter, 7 juillet 2005.

« “Best of blogs, en français dans le texte.” Laurent Gloaguen, passionné de navigation, il écrit Embruns, chronique engagée et provocatrice de son quotidien depuis décembre 2002. » — Figaro Madame, “Comment mon blog a changé ma vie”, 4 juin 2005.

Télérama n° 2890.

Télérama n° 2890.

« Laurent Gloaguen, Embruns, est l’un des plus visités. La raison : un ton très personnel, à la fois sérieux et provoc. »

« Beaucoup sont spécialisés, d’autres sont multithématiques, transversaux. C’est le cas de l’excellent Embruns, où Laurent Gloaguen aborde tous les sujets - du référendum européen au wagashi, qui n’est autre que la pâtisserie japonaise traditionnelle… - sur un ton très personnel, mélange de sérieux et de provocation, agrémenté d’une pincée de mauvaise foi : “Alimenter la polémique, j’adore ça”. Son blog est extrêmement lu (quelque 5 000 visites par jour), très commenté. Et souvent recommandé par d’autres blogueurs. “C’est un signe de popularité qui ne trompe pas : un bon blog est recommandé par d’autres. Un peu comme si on jugeait le succès de Libération au nombre de fois où il est cité dans Le Monde, explique Cyril Fievet, blogueur (pointblog.com et nanoblog.com) et auteur de Blog Story ».

Télérama, n° 2890, La planète blogs, 1er juin 2005.

« Laurent Gloaguen, avec son site embruns.net, est devenu une figure de la blogosphère française. » — Le Monde, “L’univers des blogs, ses habitants, ses rites, son langage”, 22 mai 2005.

« Un carnet Web “100 % pur beurre”, écrit de main de capitaine par une figure la blogosphère française. Une plume vive et un style assuré, au service d’un blog parfois très personnel, souvent engagé et toujours mordant. Assurément représentatif de ce que l’on peut faire (de bien) avec un blog. » — Cyril Fievet, Emily Turrettini, Blog Story, Éditions Eyrolles, septembre 2004.

Portraits photographiques

Laurent Gloaguen, portrait par Michel Valdrighi.

Photo Michel Valdrighi.

Laurent Gloaguen, portrait par Guy Verville.

Photo Guy Verville.

Laurent Gloaguen, portrait par Benjamin Boccas.

Photo Benjamin Boccas.

Laurent Gloaguen - Photo Tina Mérandon pour Télérama.

Photo Tina Mérandon pour Télérama.

1. Le 16 décembre 2005,
Veuve Tarquine

He he he, je revendique également mon statut de groupie et m’en vais appuyer ma déclaration par les extraits d’un ancien billet :

“Pour être un compagnon idéal, il faut être un homme idéal”

  • un peu d’art de saisir le côté drôle des choses,
  • un peu de modestie,
  • une bonne part d’aptitude à se regarder soi-même, de l’extérieur, en se disant “mon gaillard, vois un peu ce que tu es en train de faire !”
  • la notion qu’après tout chacun peut se tromper,
  • l’art de ne rien exagérer,
  • probablement pas mal d’amour des autres,
  • et tout cela, pourtant, sans septicisme !
2. Le 2 février 2006,
Darkplanneur

“Ils n’aiment pas”

Pas du tout, c’est de l’amour vache : )

3. Le 11 février 2006,
ezaekiel

Laurent, notre messie !

4. Le 17 février 2006,
kristen

Y fait beau hein ?

C’est comme ça qu’on se salue en Bretagne… J’ai découvert tantôt “les embruns”, vous pensez ça attire le breton ça ! Eh bien je n’ai pas été déçu, le blog porte très bien son nom. J’ai vraiment beaucoup apprécié…

Allez, un haiku en l’honneur du Capitaine :

J’aime comme je vis

Sans votre consentement

J’aime comme je vis.

Ouais, ce soir y fait beau.

Bon vent Capitaine.

Kristen

5. Le 16 mai 2006,
Tristao

C’est la première fois que je te vois avec une pipe. Impressionnant.

6. Le 18 janvier 2007,
nakipa

je met un lien avec mon site dans la rubrique LIBRE OPINION

http://www.nakipa.com

Salut

G.R.

7. Le 11 mars 2007,
Adoonis

Comment ne pas être honoré de ta visite, toi qui maîtrise les vents, les courants actuels et nous gratifie de temps en temps d’un beau départ au lof ! Tout en cultivant volontairement un coté émotionnel, j’avais besoin d’un exemple, d’un skipper … c’est chose faite … Bravo et merci à toi Laurent..
Adoonis

8. Le 15 avril 2007,
Jean Lançon

Je lis Embruns depuis un moment. Pas toujours d’accord avec ce qui y est écrit, mais c’est toujours superbement rédigé, pertinent et intéressant. Alors que ce petit commentaire soit pour toi un encouragement de plus à continuer, Capitaine !

9. Le 21 avril 2007,
perroud

Quelle surprise de lire ….tout ça, tout ce changement-évolution , moi qui te cherchais bêtement ds le 22 par ex ! J’en suis un peu retourné….

Blah ?