Ce soir, c’est Paris Carnet à Paris et Yulblog à Montréal. La similitude de date n’est pas un hasard, puisque l’idée du premier a été pompée sur le second.
N’étant pas doué d’ubiquité, ce sera Yublog pour moi. (Avec le lapin timide…)
Flash is a programming environment and should be used to offer users additional power and features that are unavailable from a static page. Flash should not be used to jazz up a page. If your content is boring, rewrite text to make it more compelling and hire a professional photographer to shoot better photos. Don’t make your pages move. It doesn’t increase users’ attention, it drives them away; most people equate animated content with useless content. [Jakob Nielsen: “Top Ten Web Design Mistakes of 2005”.]
Message to marketing: Flash is so web 1.0! [Padawan.info.]
La technologie Flash est pourtant particulièrement bien adaptée aux sites qui n’ont rien à dire (typiquement : produits de luxe, agence de pub et marketing, parfums, lessives, etc.) et, bien sûr, aux jeux, dessins animés et jolies bannières de publicité qui font mal aux yeux. Dès que vous avez des contenus, des idées, des textes à lire, que vous n’avez plus à masquer la vacuité du message, HTML, même 2.0, est fortement indiqué. Hélas, trop de designers et donneurs d’ordre confondent encore site web et cd-rom interactif (rip…).
Des messes pour Thom.
[Pour réf.]
Iznogoud, le film, sort aujourd’hui en 5e position chez Google sur la recherche “Sarkozy”. Il y en a qui ne vont pas de main morte… Allez, un petit pour la route : Nicolas Sarkozy.
Les photographies sont interdites à la Bibliothèque nationale du Québec. Dommage…
Dans la rubrique “interdits” débiles, il est interdit de “blasphémer” dans les espaces de jeux du Cineplex Odeon Quartier Latin.
Et on ne compte plus les interdictions de “flâner”, notamment dans les espaces commerciaux. Vous devez avoir un objectif, marcher d’un pas décidé, il est interdit de se promener sans but, d’aller au hasard. Un si beau verbe de la langue française, l’expression d’un art de vivre, ainsi sali par des argousins “bilingues”. (Inutile de me rappeler qu’il s’agit en fait d’une horrible traduction de l’anglais loiter.)
Dans la ville, on a parfois le sentiment d’enfreindre un interdit à chaque pas. Société coercitive, fliquée, étouffante où le spectateur déambule sous l’œil froid des caméras omniprésentes.
Société où tout ce qui n’est pas expressément autorisé est réputé interdit.
Ici, j’ai parfois le sentiment d’être interdit, ou tout juste toléré, de dépendre toujours d’une bonne grâce arbitraire révocable sans préavis.
Le vrai luxe de mes vacances, c’est de lire des livres. Ce dont je n’ai d’habitude pas le temps.
Je commence “Les mutinés de l’Elseneur” de Jack London, que mon lapin m’a choisi à la BNQ, sur la terrasse, au milieu des fleurs, avec une bonne pipe et une bonne bière. Le bonheur.
Blah ? Touitter !