Mon quotidien du 4 novembre
Innondation. Colère.
Innondation. Colère.
J’ai complètement oublié de publier en temps et en heure cette charmante suggestion de costume pour Halloween…
Calligraphies de Mohammed Gabbadi (1995).
C’est en retrouvant aujourd’hui les originaux que je me suis souvenu que le calligraphe m’avait réalisé deux versions. J’avais alors choisi celle de droite.
Pour les initiés (soit Michel, Dave, Aurélie, et quelques autres), Bouddha est très, vraiment très loin… Ce billet est bien sûr dédié à la Fugitive, qui, non contente de ne pas vouloir se soumettre à la réalité, déverse sa haine du monde dans des injures grossières qui ne salissent qu’elle-même. J’en éprouverais presque une certaine pitié.
Le voile est, lit-on dans certains textes sacrés, recommandé à la femme vertueuse. Pour les autres, il servira à masquer la honte.
Non non, là c’est beaucoup plus clair :) la première version est à priori la transcription du mot :
النفيس
Al-Nafis
Adjectif : ce qui est cher, précieux, rare, ou aussi joyau.
Dans la deuxième version, la dernière lettre : س a été pas mal épurée, rendant la calligraphie pratiquement indéchiffrable!
Le mot peut signifier aussi “la richesse” (généralement matérielle).
Didier Decoin, par exemple, déjà coupable de l’inexpiable forfait d’avoir proprement équarri le Comte de Monte-Cristo aux fins d’adaptation télévisée pour TF1, a fait paraître voici quelques mois un livre intitulé Avec vue sur la mer (Nil). En page 103, on y lit : «Ce système-là, prédisait M. Bonnet, finirait par nous asphyxier aussi sûrement que les émanations d’oxyde de carbone avaient eu raison de ce pauvre Marcel Proust.» Quand on confond Marcel Proust et Emile Zola, il est à craindre qu’on ne parvienne pas non plus à distinguer entre Houellebecq et la littérature. [“Houellebecq, le scandale d’un Goncourt annoncé”, via l’inestimable “Journal virtuel d’un alcoolique mondain”.]
Sauf que c’est pour François Weyergans dont le livre, “qui sous les apparences d’une mise en abyme de l’impossibilité d’écrire, consiste en un insupportable et vain bavardage aux limites du remplissage”.
La littérature française est morte depuis si longtemps que son cadavre ne bouge qu’à coup de perfusions de maquignonnages, duperies, tapineries, fusions-acquisitions et dessous de table. Seule ombre, personne n’est plus dupe.
Pendant ce temps-là, ce sont des autos-dafés en banlieues sordides. La racaille est trop conne. C’est à Neuilly qu’il faut venir brûler de la Mercedes, du 4x4 et de la Jag.
Euh, c ’est un troll bien poilu, le “La littérature française est morte depuis si longtemps” ? Parce que Le Clézio et Modiano m’ont toujours l’air en vie, et en pleine forme littéraire.
Ton article mélange un peu tout, je crois. D. Decoin, jamais lu, mais effectivement … En revanche, j’ai découvert Houellebecq à travers un recueil publié chez Librio : Rester vivant, qui m’avait très impressionné. J’ai lu ses trois premiers romans, qui sont vraiment de la littérature (il importe davantage de lire que de répéter plus ou moins ce que les média disent). Je n’ai pas encore lu le dernier, mais, à la radio, j’ai entendu l’auteur en lire plusieurs passages : c’était bouleversant : j’avais non seulement le plaisir d’entendre une écriture authentique (limpide, intelligente,sans esbroufe), mais aussi celui d’être touché par une voix qui ne parvient jamais à taire complètement l’extrême sensibilité du texte. Non, je ne crois pas que la littérature soit morte, même si le milieu “littéraire” est en grande partie le règne de la magouille. Cela dit, je suis entièrement d’accord avec ce que tu dis dans ton dernier paragraphe.
N’oublions pas, au titre des écrivains talentueux, l’inénarrable Maïa Mazaurette.
Modiano a sorti début 2005 “Un Pedigree”, qui est excellent tant pour ses qualités littéraires que pour l’émotion qui en ressort, cher Laurent. Seulement, lui et Le Clézio ne font pas la une de la presse. Tu considères la littérature version Goncourt/Nouvel Obs/Gala/Nothomb et tu dis ensuite que c’est la littérature qui est morte. Voyons, pour illustrer un peu l’absurdité de cette réflexion, c’est comme si un jour UBlog devait passer sous contrôle étranger et que les médias en diraient: “la blogosphère française n’existe plus”.
Modiano compte parmi mes écrivains aimés, mais je n’ai pas entendu son nom sur la scène médiatico-littéraire depuis très longtemps. À croire, effectivement, qu’il bouffait les pissenlits par la racine. Quand je dis “la littérature est morte”, je parle bien sûr de celle dont on parle, de celle qui est en tête de gondoles, de celle qui se vend au supermarché et à la station d’essence, à coups de marketing et de PLV. Du jetable.
Clichy-sous-Bois dispose d’un certain nombre d’atouts sur lesquels elle compte s’appuyer :
- une population jeune, source d’un grand dynamisme.
- la vitalité des réseaux institutionnels et associatifs ayant l’habitude de travailler ensemble et prêts à se mobiliser autour d’un projet de développement.
- un patrimoine vert remarquable, point d’appui possible d’une reconquête de la qualité résidentielle.
[Site officiel de la municipalité.]
Oui, nous avons pu juger du dynamisme de la jeune population de Clichy-sous-bois.
Le site de Clichy a été hacké le 02 novembre, qu’un message a depuis été publié pour expliquer ça, et que cette nuit la page d’accueil est DCD. Décidemment…
Je ne sais plus sur quel blogue (qu’il se manifeste), j’ai lu une citation du genre « le libéralisme, c’est comme un cent mètres avec sur la ligne de départ des handicapés physiques et des athlètes olympiques, avec comme bénédiction “que le meilleur gagne” ».
Je propose pour élargir le débat cet article de Daniel Riot, et ce commentaire chez Diner’s Room. Il me semble qu’aujourd’hui tous utilisent le mot “libéral” pour dire tout et son contraire, chacun étant pourtant persuadé de savoir ce qu’il désigne en l’employant.
À mon avis, c’est même l’article de Wikipedia qui serait une lecture saine pour la plupart de ceux qui veulent vraiment discuter du Libéralisme…
Libéralisme économique, libéralisme social, libéralisme politique etc. ne sont pas du tout la même chose et l’un n’entraîne pas les autres (cf. différences dans les glissements sémantiques entre la France et d’autres pays).
Je suppose que le libéralisme auquel s’adressent Laurent et sa citation, est de l’ordre du libéralisme socio-économique. J’ajouterais que l’image n’est guère adaptée si l’on reste en deçà de l’ultra-libéralisme et du néo-libéralisme (pas grand chose à voir). Le libéralisme économique classique n’exclue pas la Justice Sociale: même s’il est beaucoup plus réservé sur la notion de “bien être” de l’individu (qui n’est pas objectivement mesurable selon sa doctrine), il réserve à l’Etat une place (modeste) dans l’amélioration de la condition des citoyens tant que celle-ci ne se fait pas au détriment de l’individu (appréciation évidemment sujette à maintes divergences) mais au contraire bénéficie à la stabilité sociale essentielle à la pratique du libre-échange sur lequel il est fondée.
Ironiquement, l’allégorie en question colle beaucoup plus au libertarianisme, voire à – ahem – l’anarchisme: doctrines qui bien que se réclamant traditionnellement “de gauche”, revendiquent bel et bien le droit de l’athlète olympique à concourir à armes égales aux cotés du paraplégique, au nom de leurs “libertés individuelles” respectives. Pas si loin des libéraux néo- et ultra-, sauf dans leur conception respective du “que le meilleur gagne”…
Et pour information: en ce qui me concerne, et pour des raisons un tantinet plus complexes, je suis en désaccord sur la plupart du contenu des doctrines libérales économiques et sociales (on ne parle même pas bien sûr des tendances ultra), mais n’en suis pas moins las de les rencontrer mises à toutes les sauces, dans des interprétations manichéennes qui frisent le goldwynisme et ne font guère qu’encourager une pratique de la politicaillerie de basse-cours qui ne profite guère à la société.
Et Laurent, tant que tu es dans la refonte de tes gabarits, tu voudrais pas rajouter le respect des retours à la ligne standard? Ca serait vraiment chou…
Bonsoir
Voilà, je n’ai pas pu me retenir…
J’en rajoute donc :
http://www.france.attac.org/r66
Et j’ose à peine les citer… [peur des réactions face, rien, qu’au nom des auteurs]
http://www.homme-moderne.org/…
et
Voilà, merci pour l’espace d’expression Ô mon capitaine.
Cordialement.
« le libéralisme, c’est comme un cent mètres avec sur la ligne de départ des handicapés physiques et des athlètes olympiques, avec comme bénédiction “que le meilleur gagne” ». Donc les JO sont antilibéraux, puisqu’on n’y voit pas d’handicapés sur la ligne de départ ?
J’adore quand les débats dérapent sur la rhétorique ;) Maître Eolas faisant de la déformation professionnelle et jouant sur la forme plutôt que le fond. :) Moments savoureux. Et je viens de faire de même. Et hop !
Ha, merde, c’était un débat de fond ! Merci, Karl, j’avoue que ça m’avait échappé.
Bonsoir…
C’est bien ce que je disais…Dire «attac» pour certains…c’est comme de dire «Avocat» pour d’autres…ca allume des feux.. On l’a bien vu a une époque sur le blog publiusleuropeen.typepad.com avec certains echanges….
J’aurais voulu rajouter un ouvrage qui date (!!) de 1999… de Loïc Wacquant…
http://www.homme-moderne.org/…
Plutôt en plein dans l’actualité, comment le «moins d’état» d’un coté (école, education, educ, de reglementations des marchés….)se transforme en plus d’état de l’autre (de keufs, de répression, de controle de «la populace»,des «pauvres», de caméras….) mais ca fait le beurre - et la bedaine - de certains..et de belles carrières pour d’autres..
Je me permets, si «le papier» seduit toujours certains…Le monde diplomatique de ce mois, deux très jolis articles - entre autre - :
«Petits arrangement sur le dos des salariés» par Bernard Cassen.
et
«Ecofascisme ou écodémocratie» par Serge Latouche
Cordialement.
Merci de l’espace Ô mon capitaine.
[pardon mais je ne vois pas - encore - comment faire des citations d’url «propre» comme les votres, toutes mes excuses, inutile bien sûr de laisser ce commentaire entre crochet sur le billet, merci Ô mon capitaine]
Bonjour Bonjour
Bonjour bonjour
Merci «pour le propre» Ô mon capitaine.
Mais mon lien est faux, je me permets de le corriger,c’est donc un ouvrage de Loïc Wacquant,Les prisons de la misère.
Un peu de lecture après la messe ? Relisons ensemble un «vieux» texte d’Août 1997 , dont l’encre semble encore fraîche…bien trop fraîche…
Cordialement.
Merci de l’espace Ô mon capitaine.
Yeah. Après Attac, le Monde Diplo. Je propose ausi de faire des recherches sur le site de la Ligue Communiste Révolutionnaire, ça doit surement être aussi profond et objectif. En y rajoutant l’élégance des attaques personnelles, le portrait est complet : Dire «attac» pour certains…c’est comme de dire «Avocat» pour d’autres…ca allume des feux.. Il n’y manquait qu’un peu d’obséquiosité, la dernière phrase chacun des billets est la cerise sur le gateau.
Cher mettre…
Que reprochez vous a Attac ? - ou au monde diplo - Chronologiquement dans ce billet, c’est vous qui agressez en 1er (nananèreuuu, ca vole pas plus haut hein)
Attac ? Quelle excellente source d’information sur le libéralisme. . Oui c’est une excellente source d’information et d’éducation pour plein de gens que vous dégnigrez sans arguments.
Vous utilisez vos capacités - indéniables et reconnues - pour détourner le propos de personnes. Tout le monde n’a pas votre «capital culturel» - qui vient d’où d’ailleurs ? vous n’êtes pas né «éolas» tout fait - Je ne vois pas le rapport avec la LCR au passage…attac ne fait pas de «politique»… Vous me citez mais de facon incomplète C’est bien ce que je disais…Dire «attac» pour certains…c’est comme de dire «Avocat» pour d’autres…ca allume des feux.. On l’a bien vu a une époque sur le blog publiusleuropeen.typepad.com avec certains echanges…. j’avais senti le truc venir..citer attac ou le monde diplo…pire..un sale indigène cagoulé et en revolte , forcement…ca fait sauvage…pour certains…mais vous ne me dites pas en quoi son analyse est fausse…le travail des enfants c’est un mensonge ? la conquete de nouveaux territoires aussi…n’y a t’il pas un super sommet des Amériques dans l’actualité…entre deux voitures qui crament - tiens pourquoi elles crament d’ailleurs ? - ..Qui va se réunir a hong-kong (belle democratie) prochainement pour discuter d’AGCS ? AGCS dont peut de gens savent que ca existe même et que pourtant ca va - a - changer et avoir de grandes implications dans leur vies….
Enfin..vous m’accusez -déformation professionnelle encore sans doute, ou reflexe pavlovien - de lécher le cul de notre hôte*…et alors ? Un rapide coup d’oeil à votre blog me fait voir que vous savez également lécher, fort prestement, les culs qui vous attirent…ici mais sous pretexte pédagogique hein..faut pas déconner non plus - mais la pédagogie d’attac , elle, elle pue - ..mieux..en y regardant bien..- le vrai visage d’éolas ?! - vous léchez même le cul de certains qui l’on plein de vers, avec une larme a l’oeil on dirait..sniff..et fermeture des commentaires pour éviter la remonté des odeurs de merde qui pourraient gêner votre activité linguale…non franchement..critiquer marcos et son combat, le monde diplo et ses reflexions attac et ses objectifs éducatifs quand on respecte un mec comme ca….et me critiquer de lécher le cul du capitaine….ca remet des choses en perspectives..belle brochette d’escrocs en tout genre de ces 50 dernières années..médecin..léotard..bob denard !!! et bien sûr quel honneur suprême avoir le borgne à son dernier hommage…la grande classe..mais je ne suis pas équipé pour comprendre certainement…Donc si ma cerise sur le gateau vous deplait cher mètre - et pas un de plus - et bien..étouffez vous avec, ou enfoncez vous la dans le cul, cela m’est bien égal.
Cordialement.
<cerise sur le gateau>Merci pour l’espace Ô mon capitaine </cerise sur le gateau>
*Le Ô mon capitaine fait uniquement référence a un film célèbre où des étudiants abreuvés de poésie par un professeur «hors-normes» se découvrent. La fin est célèbre pour leur hommage au «capitaine». Mais peut être que notre hôte et d’autres l’avait, lui/eux, compris ainsi…
Ah, la colère du gauchiste pas content content qu’on ne soit pas d’accord avec lui. Et qui ressort avec force de mauvaise foi un hommage à Varault des tréfonds du blog d’Eolas.
On n’est plus très loin du point Godwin.
Cher Stef,
Vous êtes tellement bête que vous en êtes attendrissant.
c’est vous qui agressez en 1er (nananèreuuu, ca vole pas plus haut hein)[en disant] : Attac ? Quelle excellente source d’information sur le libéralisme. Je présente mes excuses aux lecteurs du Capitaine pour leur avoir imposé la vision de cette agression sauvage. Je ne sais pas ce qui m’a pris.
attac ne fait pas de «politique» Non, Attac ne fait pas de politique.
un sale indigène cagoulé et en revolte , forcement…ca fait sauvage…pour certains…mais vous ne me dites pas en quoi son analyse est fausse.. Son analyse ? Brûler une bagnole est une analyse ?
Un rapide coup d’oeil à votre blog me fait voir que vous savez également lécher, fort prestement, les culs qui vous attirent…ici mais sous pretexte pédagogique hein..faut pas déconner non plus - mais la pédagogie d’attac , elle, elle pue - ..mieux..en y regardant bien..- le vrai visage d’éolas ?! - vous léchez même le cul de certains qui l’on plein de vers, avec une larme a l’oeil on dirait. Mention spéciale à votre élégance, une fois de plus. Enfin, vous m’avez démasqué. Oui, je suis servile avec un nourrisson et un mort. J’implore votre pardon.
critiquer marcos et son combat Je n’ai jamais critiqué Ferdinand Marcos.
critiquer le monde diplo et ses reflexions attac et ses objectifs éducatifs quand on respecte Jean Marc Varaut belle brochette d’escrocs en tout genre de ces 50 dernières années..médecin..léotard..bob denard !!! et bien sûr quel honneur suprême avoir le borgne à son dernier hommage…la grande classe..mais je ne suis pas équipé pour comprendre certainement… Bon diagnostic. Assimiler l’avocat à son client montre une absence d’équipement basique. Tenez, puisque vous liez l’article Wikipédia, voici deux citations de Varaut que je vous invite à méditer :
« Mes droits importent moins que de reconnaître en l’autre, mon prochain, celui qui a des droits »
« L’avocat ne doit avoir de cesse de s’être déraciné, dépolitisé, déclassé, d’avoir pris ses distances avec la réalité sociale du moment comme avec ses propres préjugés. »
Le Ô mon capitaine fait uniquement référence a un film célèbre où des étudiants abreuvés de poésie par un professeur «hors-normes» se découvrent.
Sachez qu’avant de faire les belles heures du Cercle des Poètes Disparus, il s’agit d’un poème de Walt Whitman, extrait de son recueil posthume “Leaves of Grass”. Les mots “Ô mon Capitaine” n’y figurent jamais, chaque strophe commençant par “Ô Capitaine ! Mon Capitaine !”, et le Capitaine en question étant Abraham Lincoln, à qui ce poème rend hommage.
Donc si ma cerise sur le gateau vous deplait cher mètre - et pas un de plus - et bien..étouffez vous avec, ou enfoncez vous la dans le cul, cela m’est bien égal.
Votre maîtrise de la rhétorique me laisse pantois.
Je proteste violemment, cher Maître, on me fait signe que “Ô mon capitaine” est à la base une calligraphie de Massoudy.
Cher mis,
Vous êtes tellement bête que vous en êtes attendrissant.
Me voilà donc designé comme bête…par un homme qui porte une robe pendant ses heures de travail…nous sommes pas au prétoire, quelle légitimité à votre jugement sur ma personne ?! - d’autant plus avec une nécro d’un sacré margoulin sur votre blog - D’ailleurs je me demande où est l’insulte dans votre propos….«bête» ou «attendrissant»…mon cheval et mon âne en débattent…votre estocade est là, bien mollassonne….
Non, Attac ne fait pas de politique.
Non j’insiste, Attac ne fait pas de politique, plutôt qu’un lien vers des affiches qui informent - c’est le but d’Attac - un lien vers les status de cette l’associaton aurait été plus judicieux, vous qui la jugiez ironiquement Attac ? Quelle excellente source d’information sur le libéralisme.
Je présente mes excuses aux lecteurs du Capitaine pour leur avoir imposé la vision de cette agression sauvage. Je ne sais pas ce qui m’a pris. en, comme souvent, détournant le propos juste pour vous faire mousser et amuser votre cour habituelle, je ne connais pas votre blog, - je vous «connais» plus a travers celui-ci bien que très souvent «en lien» sur d’autres, je ne vous donne donc aucun crédit, a part celui d’être un n’avocat et comme déjà dit plus haut, vous n’êtes pas né éolas .
Très bonne association d’information, puisque, entre autre, dès février/mars 2004 elle relayait sur la directive «Bolkestein» qui deviendra un thème central de la campagne du référendum en France. Je dis qu’Attac ne fait pas de politique, car vous ne trouverez pas de «parti» Attac aux élections. Votre lien vers ses affiches ne peut être un reflexe de ouiouiste - encore ! - véxé de ce «NON», faisant de la france un joli mouton noir pour certains, lui rendant sa dimension «nation politique» par excellence. Mais vous avez le droit - encore heureux ! et c’est également à votre attention cher M.K - de ne pas aimer cette association qui vous a fait tant et tant de mal et de ne pas être d’accord avec moi.Détourner mes propos pour me faire passer pour votre sganarelle et détourner le sujet d’origine est beaucoup moins acceptable.
Je parlais, suite à votre - normal vous avez une profession libérale - rejet des mes liens (attac, le monde diplo) je vous cite Yeah. Après Attac, le Monde Diplo. encore sur le ton habituel du mépris qui le dispute à la satisfaction personnel - certain que votre cour prendra parti - de mes sources donc, en demandant ce que vous reprochiez j’avais senti le truc venir..citer attac ou le monde diplo…pire..un sale indigène cagoulé et en revolte , forcement…ca fait sauvage…pour certains…mais vous ne me dites pas en quoi son analyse est fausse…le travail des enfants c’est un mensonge ?[…] vous me repondez Son analyse ? Brûler une bagnole est une analyse ? je n’ai jamais parler de bagnole ou de personne brûlant des bagnoles…. l’indigène qui vous associez donc - si je déduis bien - aux jeunes des banlieues…était l’auteur de l’article du monde diplo…un marcos . L’association (jeunes/indigènes/revolte)que vous en avez faite est vraiment très drole..et révélatrice…
Vous m’invitez à méditer sur des citations du margoulin Varaut…très drole…surtout celle-ci :«L’avocat ne doit avoir de cesse de s’être déraciné, dépolitisé, déclassé, d’avoir pris ses distances avec la réalité sociale du moment comme avec ses propres préjugés.» Quand on sait comment il a ratisé large pour sa carrière., comprendre «l’avocat ne doit avoir de cesse de manger a tout les râteliers, savoir taire ses convictions si il a du fric a se faire, ramasser la mise et fermer sa gueule, les gouvernements changent si vite» en tout cas, il se l’ai bien appliqué, c’est déjà ça.
Vous poursuivez avec une, ma foi, belle explication de texte qu’un gamin de quinze ans ayant vu le film se serait empressé d’écrire, merci de l’effort, mais j’aurais souhaité la même minutie et exhaustivité pour la nécro du margoulin sus-cité.
Votre maîtrise de la rhétorique me laisse pantois. Bête, attendrissant et pantois…et bien…vous dévoilez là une riche palette d’émotions qu’on ne prêterait pas à un avocat.
Attendrir un avocat, c’est comme de seller une vache;beaucoup d’efforts, aucun intérêt. Anonyme américain.
Avocat : personne qui persuade deux personnes de se battre, s’offre à porter leurs manteaux, et s’enfuit avec
Cordialement.
<cerise sur le gateau> Merci pour l’espace Ô mon capitaine </cerise sur le gateau>
Blah ? Touitter !