Un facteur a joué en toile de fond : la révolution numérique touche l’ensemble des médias. Ses conséquences sur la presse quotidienne, sur la publicité elle-même, sur la communication en général génèrent l’inquiétude, l’avenir est indistinct, tout entier ou presque à inventer. L’époque des certitudes industrielles est terminée. Ce qui rend le pilotage au milieu de cette mutation très délicat. [Serge July, “Libération est unique”.]
Cette crise sociale est aussi une crise d’identité. Où sont nos valeurs ? [Des salariés en lutte, “Nous, Libé”.]
Je ne vous connaissais pas, les photos publiées sur votre site m’ont permis de faire votre connaissance et de comprendre le fond du problème : vous êtes vieux ! [Un lecteur.]
“The French are a kind of sibling, cast in the same mould as us, but showing how the same genes can express themselves in alternative ways,” says Dr Wendy Michallat, an expert in popular French culture.
“Given this common background, the English, in spite of themselves, tend to give way to what Freud called ’the narcissism of minor differences’. We make a great deal of what distinguishes us from the French, for fear of seeing our prized identity lose its uniqueness by being revealed as just another set of shared human traits.”
But the British have a more complicated relationship with the French than just straight forward xenophobia, says M Roudaut. While French folk might not appeal to the British, the way they live their lives does.
[BBC News Mag: Denise Winterman, “Les étrangers”.]
1. cul (827)
2. fellation (280)
3. bisounours (148)
Sans commentaire… Ceci serait-il ma définition synthétique en trois points, vue par les moteurs de recherche ?
Et je ne parle pas du “calendrier hommes nus” en 7e, du “onanisme ” en 10e, du “à poil” en 11e, du “auto fellation” en 22e et du “belles cuisses” en 24e position…
Heureusement que vous êtes là, les copains et copines de la blogosphère, parce que sinon, je me demanderais si je ne rêve pas : tant de vie, de chaleur, d’échanges, de solidarité, de débats d’idées, de remises en question, d’histoires racontées, de trouvailles de mots et d’images, toute cette richesse-là, même si je sais qu’elle voisinne avec la bêtise et la méchanceté, comme dans la vie matérielle, sommes-nous les seuls à en témoigner, entourés de censeurs qui nous montrent du doigt ? Tu tiens un blog? Pouah! [Samantha Dei : “Un peu parano…”.]
Comme le souligne Bix, le lauréat des Dicos d’Or s’appelle Karim Andreys-Keroui, et est prof de français à Dijon (et plutôt joli garçon).
Comme quoi la francitude n’est pas une affaire de patronyme. La France a bien réussi à digérer les Bretons avec leurs noms impossibles, sans parler des Basques ou des Alsaciens…
Un grand pas sera franchi quand des Français de longue date donneront le nom de “Karim” à leur rejeton parce que c’est un très joli prénom, ou qu’une série télévisée mettra en vedette un héros du nom de Karim — ça nous changera des ridicules Steevy, Cynthia, Kevin, Alizée, Enola, Brandon, Naomi, Alison, Jarod, Priscillia, Dylan, Maureen, Jordan, etc.
P.S. On a quand même plus de mille abrutis en France qui ont appelé leur fille Enola…
Blah ? Touitter !