Journal de bord

vendredi 16 juin 2006

Versac libertin

Pourquoi, selon Versac, sauver les apparences? C’est parce qu’il faut chercher son plaisir personnel aux dépens d’autrui ; trouver le moyen de supplanter la vanité de l’autre par la sienne: « Tout homme qui vous blâme de trop parler de vous, ne le fait que parce que vous ne lui laissez pas toujours le temps de parler de lui : plus modeste, vous seriez le martyr de sa vanité ». La vanité, pour Versac, sert à faire resplendir et résonner son nom. Il veut se faire un nom à tout prix parce que c’est par ce nom que passent tous les privilèges de la vie sociale et, de ce fait, les plaisirs. C’est d’ailleurs pour ce but ultime que Versac fait tant de bruit… [Réf.]

Comme c’est bien dit.

1. Le 16 juin 2006,
versac

Facile ! Ceci-dit, j’aime bien le personnage du marquis de versac, finalement. Beaucoup plus intéressant que le Valmont des Liaisons dangereuses, plus fort encore dans sa vanité et le sens de l’inutile… Plus dans une optique de revanche, plus rustaud, peut-être, plus méchant, mais avec un objectif. Tout à fait moi, en somme ;)

2. Le 16 juin 2006,
Laurent

Je savais que tu allais te reconnaître…

3. Le 16 juin 2006,
OlivierJ

J’aime beaucoup celle-ci : Sacha Guitry lors d’un dîner : « Mais, ma chère amie, je parle, je parle, je suis trop bavard. Parlons plutôt un peu de vous. Avez-vous vu mon dernier film ? »

Blah ? Touitter !

Kilos à la radio

Entendu ce matin sur les ondes de la radio suisse Couleur 3 :

Précisions : non, je ne suis pas métrosexuel, et, NON, je n’ai pas quarante ans.

1. Le 16 juin 2006,
Martine

“Non, je n’ai pas quarante ans”. Vaut mieux t’y faire, mon capitaine. Le choc risque d’être trop dur sinon. T’as quoi là, 30 jours pour t’y faire?

2. Le 16 juin 2006,
Laurent

Moins que ça…

3. Le 16 juin 2006,
Lliana

Mouais… Ben plus intéressant à lire qu’à écouter ! (et bon courage pour les jours qu’il vous reste)

4. Le 16 juin 2006,
garfieldd

Embruns… un blogueur devient un poids lourd dans les médias ! :p

5. Le 16 juin 2006,
lolosquared

Y’a une enveloppe qui tourne les gens ? Je lui offrirai bien le poids de ses… en macaron Ladurée et le reste en whisky Bushmills (c’est son préféré), n’hésitez pas à me contacter pour l’enveloppe, je saurai être très généreux…

6. Le 16 juin 2006,
lolosquared

Je lui offriraiS bien le poids de ses… en macaron Ladurée

Zut, j’ai oublié le S du conditionnel.

7. Le 16 juin 2006,
lolosquared

Je lui offriraiS bien le poids de ses… en macaronS Ladurée

Zut, j’ai oublié le S de macarons.

8. Le 16 juin 2006,
Brad-Pitt Deuchfalh

C’est moi ou ils ont tendance à décredibiliser ton article ? Tiens j’en profite pour signaler qu’il y a aussi des gens qui ont du mal à prendre du poids. C’est aussi un problème. C’est pas une blague. Et personne n’en parle.

Et tant que j’y suis j’en profite pour saluer mon ami Mathieu de l’emission Pointbarre.

9. Le 17 juin 2006,
Guillermo

“Les hommes sont désormais comme les femmes”… En tout cas on apprend que le débit scandé façon VRP avec des accents toniques qui n’existent pas en Français n’est pas qu’un privilège de la radio française…

Blah ? Touitter !

Passion Football

Ce matin, j’ai reçu une carte postale de Marseille.

Passion football.

Heu… Merci, François.

1. Le 16 juin 2006,
mauriz

Damn, du foot et des chats.

2. Le 17 juin 2006,
padawan

Dès que j’ai vu la carte j’ai su qu’elle était pour toi ;-).

3. Le 17 juin 2006,
padawan

Ah, et puis presqu’une semaine pour acheminer une carte postale timbrée au tarif lettre normale, je vois qu’on est toujours aussi rapide à La Poste en région PACA.

4. Le 17 juin 2006,
Laurent

Il y a des choix dans la vie, regarder le foot et siroter le pastaga, ou trier le courier…

5. Le 22 juin 2006,
François Granger

A propos (ou pas du tout…

Blah ? Touitter !

Ce dimanche

Voici les prévisions météorologiques pour ce dimanche :

Météo de dimanche.

Il va faire chaud et beau sur Paris. Quoi de mieux que de profiter de l’ombre des frondaisons et du doux zéphyr du bois ? Tout cela pour vous dire que ce dimanche, il y a pique-nique de blogueurs à Paris.

Charles Liebert a promis de venir avec son string rose, je porterai donc mon string blanc. Nous aurons l’occasion de voir le maître sous son panama, ou encore l’apollon et son kangourou blanc.

N’oubliez pas le petit vin blanc que nous boirons sous les tonnelles (j’apporte le tire-bouchons). Les filles seront belles, et qui sait fautera dans les bois, dans les prés (nous devrons, semble-t-il, un bébé à l’un de ces déjeuners champêtres de l’année dernière, car, à ces jeux charmants, la taille prend souvent l’avantage ; ce n’est pas méchant — même si la mère demande, sévère, à la jeune enfant : “ma fille, raconte, comment, triste honte, as-tu fais ton compte ?”).

Sûr, sous la charmille, l’amour vous guette. Car, c’est toujours pareil, tant qu’il y aura du soleil, on verra les amants au printemps, s’en aller pour fauter, dans les bois, dans les prés, du côté, du côté de Vincennes.