Cela dépend de ce que trouvent les avocats des stars sur leur bureau le lundi. Chaque début de semaine, la douzaine de plaideurs parisiens spécialisés dans le genre décortique la presse people, et propose des procès à sa clientèle.
En cas d’info importante, les avocats obtiennent leurs exemplaires dès la veille au soir, grâce à des complicités dans les réseaux de distribution. Maître Emmanuel Pierrat, qui défend des personnalités comme Mazarine Pingeot ou Chantal Goya, et l’ex-couple Ferrari-Hugues jusqu’à son divorce, reconnaît que ses confrères et lui ont une sorte de grille tarifaire en fonction de l’information publiée :
« On regarde ce qu’il y a dans l’article, sa superficie, la taille des photos, le degré de notoriété des intéressés et leur complaisance avec la presse people. »
Cette « complaisance » désigne le « droit au caprice » que s’arrogent certains people : une interview autorisée dans Paris Match, et un procès à Voici qui évoque le même sujet. Ensuite, qu’on aperçoive une poitrine dénudée ou seulement un bout d’épaule peut faire varier la somme demandée d’un zéro.
[Rue89, Augustin Scalbert : “Les people en maillot pendant l’été, à la barre à la rentrée”.]
Maxime
They make and consume smart forebrain porn.
Avec des triples sodomies ? Ca se tiens.
So: where do this person’s obsessions take them?
Euh, DTC ?
padawan
So: where do this person’s obsessions take them?
Euh, DTC ?
ROTFLMAO ! :-))
Xavier
Clairement, Embruns est un bon blog :)
Blah ? Touitter !