La Suisse, “citadelle de la chrétienté assiégée” a fortement inspiré le “réfugié politique” de Trois-Rivières.
Il y a deux jours, un petit pays isolé au centre de l’Europe occidentale, connu et moqué pour être un vulgaire « coffre-fort », a démontré qu’il était une forteresse du monde libre, une citadelle de la civilisation chrétienne et européenne, un sanctuaire de nos souverainetés historiques menacées par les agences humanitaires/néocommunistes de la Gouvernance Globale, bref, tout ce que haïssent ou méprisent les valets de la social-démocratie bruxelloise, comme tous les pitres qui s’agitent avec leurs « alternatives néo-nationalistes ».
On ne vantera jamais assez les talents comiques, souvent mal reconnus, des abrutis islamistes. Mais rien n’égale ceux de leurs esclaves nihilistes, égarés par troupeaux entiers au sein de nos « démocraties ».
Car pour Alain Bonnet de Soral et son comité « Égalisation-et-Réconcialité », le diagnostic est très exactement le même. Ainsi que pour les Indigènes de la République, les « nationaux-révolutionnaires » dhimmisés, Daniel Cohn-Bendit, Caroline Fourest, Ségolène Royal, Jean-Luc Mélanchon, le Parti Communiste, la droite carlabruniste, François Bayrou, Edgar Morin, Bernard Kouchner, les Verts (dans tous les sens du terme), les altermondialistes, les Francs-Maçons trotskistes, le « Nouveau Centre », la « Nouvelle Droite » – autant dire la Très-Vieille-Gauche –, bref pour l’ensemble du champ politique français, à jamais circonscrit dans la mélasse laxative du jacobinisme.
Pourtant, c’est désormais toute l’Europe, la vraie, la seule, la nôtre, qui montre lumineusement la direction. De la Hollande au Royaume-Uni, de l’Allemagne et de l’Autriche aux pays slaves, du Danemark à l’Italie, et désormais à la Suisse, la révolte des nations européennes prend l’allure d’une authentique guerre ouverte contre les institutions mortifères et liberticides du néo-communisme mondial et ses diverses succursales régionales.
[…] La Suisse est donc le pays des derniers hommes libres. À tous égards, leur conception de la démocratie est bien plus proche de la notion d’un Nord-américain (d’origine européenne, faut-il le rappeler ?) que de celle d’un descendant des guillotineurs et des génocidaires de la République franc-maçonne. Authentique fédération « trinationale », la souveraineté populaire n’y est pas un vain mot, les entités territoriales y jouent un rôle décisif, analogue au Collège Électoral américain, et tout citoyen y est un soldat. Sans parler de sa liberté fiscale et de l’équivalent helvétique du second amendement qui singularise à jamais cette nation de toutes celles qui vivent sous la tutelle des agences de contrôle humanitaire de l’Union Européenne.
Elle est le pays des derniers hommes libres, on comprend mieux dès lors pourquoi cette nation d’esclaves qu’est la République Française a réagi avec un tel consensus à son initiative.
Pendant que tous les tenanciers des bordels idéologiques de la République braillent à qui mieux mieux contre l’axe américano-sioniste, l’Histoire se fait, sous leurs yeux de larves myopes, sous leurs nez accommodés à leur propre pestilence, mais bien au-dessus de leurs anus féconds en théories politiques pour vers solitaires. Aux États-Unis et à Israël, il faut en effet ajouter les Cantons suisses qui ont voté contre l’invasion, une demi-douzaine de pays européens où la tension anti-islamique ne fait que s’intensifier chaque jour que Dieu fait, l’Inde, berceau de notre civilisation, la nation australienne, qui a déjà pris ses dispositions contre les adeptes de la sharia, tout comme le Canada, sans parler du peuple russe, qui ne s’en laisse pas conter et subit déjà les rétorsions des hérétiques de la Mecque, ou des « hérétiques » de ces derniers, en provenance de Téhéran.
La « France » de Dieudonné montre ainsi son véritable visage : une unanimité de fond, ontologique, définitive, et mortelle.
Cette nation de lopettes finira où elle se doit, là où les vrais Européens l’enterreront, sans fleurs ni couronnes, recouverte de ses propres cendres.
[…] Cette Tri-Unité de la civilisation pan-européenne n’est rendue possible que par la guerre de cent ans qui vient de commencer. Elle n’est rendue possible que par la disjonction des civilisations (et non leur « choc », avis aux bouffons qui me prennent pour un thuriféraire de Huntington), […] Cette civilisation est née de la rencontre entre trois entités fondatrices : les nations celtes, la culture gréco-romaine, les confédérations germaniques.
[…] Il est temps, en effet, de refonder le projet civilisateur qui a guidé l’humanité pendant 3000 ans, et qui nous permet de concevoir la division irrémédiable qui est en train de s’opérer comme la plus grande chance de s’affranchir, au sens strict, de la dictature démocratique mondiale.
Désormais, la guerre pour la restauration de l’Homme Libre, c’est-à-dire historiquement souverain, va moins se livrer contre les adeptes de la Loi Coranique que contre les collaborateurs, et ils sont myriades, de cette entité post-nazie dénommée ONU.
[…] L’Hyperium des Nations Libres, cet anneau de souverainetés solidaires, n’émergera donc, comme toutes les civilisations fondatrices, qu’en tant que résultante d’un conflit nodal, désormais planétaire, voire extra-orbital, et où sa Constitution, organique comme écrite, ne pourra voir le jour qu’en tant qu’Acte de Séparation absolu avec l’État Supranational qui se met en place.
Le IVe Reich écolo-eugéniste/multiculturaliste/socialo-islamisé qui forme désormais l’Agence de Gestion du « Parc Humain » est le pire complot jamais ourdi contre l’homme au cours de toute son histoire, la plus ténébreuse obstruction à son devenir dont il ait eu à forcer le passage, lui et l’ensemble des formes de vie de cette planète. Les complices de ce totalitarisme démocratique sont des blocs de pays, des partis politiques officiels, des commissions des Droits de l’Homme, des juges, des dirigeants syndicaux, des organisations humanitaires « non gouvernementales », des institutions internationales, des « leaders d’opinion », des journalistes, des patrons de presse, des hommes d’affaires et des lobbyistes professionnels, de petits fonctionnaires d’État, de hauts administrateurs, des animateurs de télévision, des « artistes », comme aux bons vieux temps de toutes les collaborations.
Il est un outrage au Monde Créé. Il est l’entité démiurgique usurpatrice de ces crétins de gnostiques. Il est l’Ennemi.
Il doit être détruit.
By all means necessary.
Maurice G. Dantec, “Montréal, le 1er décembre de l’An de Grâce deux mil neuf”.
le roncier
De quoi me rendre homophobe. Va falloir que je le dise à mon mec.
vieuxmoutard
Les homosexuels à l’UMP, c’est comme les Auvergnats chez Hortefeux : quand il y en a un, ça va ; quand il y en a plus d’un, c’est “quand même très très open”.
michel v
UMP, Union pour la Majorité Pédésexuelle ?
Thierry
Pauvre Grebert qui a choisi le(s) mauvais parti(s) !
Jujupiter
Les pédés sont de droite, et les gouines de gauche. Cette affirmation est aussi vraie que “Les hommes viennent de Mars, les femmes de Vénus”.
Jean
Pas de quoi devenir homophobe. Mais ma foi, m’est avis que l’identité nationale part à vau-l’eau.
Maxime
Ainsi que chez les nazis…
C’est quoi ce truc “Godwin” déjà ?
Olivier G.
“car il n’est pas autorisé par le parti à parler aux journalistes”. Heu… WTF ?
Blah ? Touitter !