Hier soir, Denise Bombardier se défendait de ces accusations dans l’émission Tout le monde en parle :
Vous savez, dans les maisons d’édition en France, on me dit… les éditeurs me disent qu’y reçoivent comme ça je sais pas combien par mois de plaintes de gens qui disent « c’était sur mon blogue ». C’est sur des blogues, mais sur Internet, ça.
[…] De toutes les façons, je vais vous dire une chose, ç’a été… c’est terminé, on n’en a plus jamais entendu parler, c’est terminé, et pis ça a jamais sorti dans les journaux en France. C’est qu’ici que c’est sorti.
[…] Oui, mais faites le procès, il a pas eu lieu en France. On peut pas faire un procès qui a pas eu lieu. […] Non, enfin, vous êtes en train de faire un procès au Québec qui n’existe pas en France. Il y a pas eu de procès.
[…] Moi, j’ai rien à dire là-dessus et j’en ai plus jamais entendu parler. Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? Et personne n’en a entendu parler, Françoise Laborde non plus. Y a pas eu d’avocats qui ont été… Nos éditeurs ne sont jamais revenus…
[…] Si ça été fait, mais faut que ce soit prouvé, mais comme c’est pas prouvé.
[…] Vous voulez me faire dire une chose qui n’existe pas et qui n’a pas existé. Ben voyons donc. Si y a quelqu’un qui a fait du copier-coller, et ben, faut que ce soit prouvé. Pourquoi vous le savez et moi, je le sais pas. C’est quand même extraordinaire ! Et puis en plus, quelle sorte de procès vous vouliez faire à moi là-dessus ? Mais arrêtez, arrêtez. Moi j’ai rien à dire là-dessus.
[…] Je ne sais pas quoi dire là-dessus, parce que ça me concerne pas. Voilà.
C’est comme ça, si j’ai bien compris, chez Fayard, c’est ça qu’ils m’ont dit. Ils considèrent qu’il n’y a pas de plagiat, parce qu’il n’y a pas de droit encore pour ça sur les affaires de blogues et de sites comme ça.
On m’informe que le prochain livre de Denise-Bombardier sera co-écrit avec Joseph Macé-Scaron.
Un Africain, un Italien ou peut-être même un Canadien : les bookmakers parient déjà sur le nom du successeur de Benoît XVI, qui a annoncé lundi qu’il démissionnerait le 28 février.
[…] Un tête-à-tête confirmé par la liste de noms qui circule : le cardinal nigérian Francis Arinze mène le jeu à 2,90, suivi du Ghanéen Peter Turkson à 3,25 et du Canadien Marc Ouellet (6,00). Le premier Italien est l’archevêque Angelo Scola (8,00), suivi du cardinal secrétaire d’Etat Tarcisio Berlone (actuel numéro deux du Vatican).
Les bookmakers ont également lancé des paris sur le nom du prochain pape : Pierre (5,00), Pie (6,00), Jean Paul (7,00) ou un nouveau Benoît (9,00).
normalement c’est un rigoriste effrayant, un moderniste débridé (toutes proportions gardées, on parle de l’église quand même :D). ratzi était le rigoriste effrayant qui succérait à jean paul, le moderniste… On va peut être en avoir un assez moderniste cette fois ci pour ne plus mettre la capote à l’index ?
Pour les carcasses, 80 à 90 % de l’animal abattu est déjà affecté à un acheteur : la carcasse elle-même est dûment tamponnée, identifiée, tracée et étiquetée « au champ près », assure un expert.
Restent les 10 % à 15 % de « minerai » qui n’est pas directement valorisable et s’incorpore dans les préparations industrielles en boulettes, raviolis, lasagnes, hachis parmentiers…
Ce sont des « pointes de muscle », les deux extrémités d’un faux-filet par exemple, coupées sur 5 cm et invendable en l’état à l’étal, du gras et des morceaux prélevés sur les « avants » de la bête, moins nobles.
Ce minerai vendu congelé en sacs de 5 à 10 kilos n’est pas soumis aux mêmes obligations par la législation européenne mais relève des « conventions commerciales » entre vendeurs et acheteurs : à l’acquéreur d’énoncer ses besoins et ses critères et à lui de vérifier que la viande livrée correspond chez son fournisseur.
Dans l’affaire Findus, les firmes françaises Spanghero et Comigel auraient dû s’assurer de la qualité de la livraison.
Les intermédiaires. Ce sont des circuits tout à fait légaux par lesquels un opérateur s’adresse à un trader pour s’approvisionner. Dans l’affaire Findus, au moins un basé à Chypre est intervenu : il sert d’interface grâce à son réseau et peut aussi démarcher des clients pour placer des lots « au plus offrant ».
Le trader qui dispose d’une tonne de minerai dans un abattoir en Roumanie trouve un acheteur : le lot arrive chez l’acquéreur ou directement chez l’industriel qui va le transformer.
Aucun des interlocuteurs contactés par l’AFP n’a pu donner de prix, « mais on est très loin de ce que paie le consommateur chez le boucher », confie l’un et c’est bien l’approvisionnement au moindre prix qui motive ces pratiques.
C’est néanmoins du commerce de gros, tout à fait légal.
AFP.
À votre place, j’éviterais les boulettes, raviolis, moussakas, lasagnes, hachis-parmentier, etc., plats industriels tous faits de “bœuf 100% déchets”… Et ces plats devraient être étiquetés “minerai de bœuf” pour l’information du consommateur.
De fait, il n’est pas impossible de penser que les plats Findus n’aient jamais été d’aussi bonne qualité que lorsqu’ils étaient faits avec du cheval.
Méfiez-vous aussi des similis steaks en “viande remodelée” comme le Tendregal, courant en restauration collective et cantines scolaires :
Tendreté garantie grâce à un procédé exclusif. Viande de boeuf coupée en feuilles ultra-fines et remodelées : une chair fondante pour une saveur intacte. 10% seulement de matières grasses, pour un apport modéré en lipides. Testé en cuisine collective, ce produit présente peu de perte après cuisson et reste goûteux et tendre, même avec une température à coeur de 65°C.
Fabrication : Utilisation de minerai de boeuf frais. Les muscles sont complètement parés sans aucune aponévrose. La viande est ensuite coupée en feuilles ultra-fines et remodelées.
Site Davigel.
Après l’invention de la VSM, l’industrie agroalimentaire est devenue très créative dans le recyclage du normalement invendable, voire immangeable.
Au final, je me demande si tout cela ne va pas finir par arranger les affaires de Findus, qui fait la quasi-totalité de son chiffre avec du poisson et des légumes.
ce minerai de boeuf peut aussi s’acheter au kilo surgelé, par la ménagère. je me suis fait avoir une fois en cherchant du boeuf pour mes boulettes. Je me souviendrai toujours de ces petits tortillons tout gris et tout secs flottant dans une mare d’huile et encore plus d’eau :D… J’ai tout jeté.
Vous ete des salopard. C’est vraiment inhumain, sale tas de medre nazi. Non le cheval, ca se mange pas!!!! Gros degueu d’encule t’as pas d’ame. C’est honteux l’hipophagie!!!
ah ben voilà, à force de lancer des hameçons avec des chevaux dessus, tu as quand même fini par choper un poisson :D (ce qui est assez paradoxal quand on y songe. quand on y songe pas, aussi.)
c’est DéGEULASSSSE la viande cheval, je n’en ai jamais gouté et j’en mangerai JAAAAMAIS !!!!!!!!!!!!
le cheval a aidé les hommes durant des siècles et on le remercie en le mangeant ???!!! c’est du gros nimporte quoi ! ceux qui en mange ils devraient avoir honte d’eux, c’est surement le PLUS BELLE ANIMAL DE TOUTE LA VIE !!!!!!!!!!!!! ayez honte, pfff l’agneau c’est pas la même chose, il a pas transporté des charges de 1000 kilos, ni nous emmenés dans des lieux très loin et dangeureux, et encore moins a la guerre !
donc je suis contre l’hippophagie à 100 000 000 000 000 000/100 % et je suis tout a fais d’accord avec gaëlle .
voilà !
Tu vois Laurent, quand j’ai vu passer ça ce matin, j’ai immédiatement pensé aux commentaires sur certains de tes billets, en particulier sur celui-ci. Quel bon timing…
Blah ? Touitter !